Sous grand danger

Chapitre 24

Je sors de la villa pour rejoindre celle des garçons il fait un froid glacial dehors. Une voiture se gars dans l'allé et Liam sors de celle ci avant de prendre pleins de sachet mais en perd sur le passage.

— Attends je viens t'aider Liam. Lui cris je.

Je marche vers lui et lui prends quelques sac en posant mes affaires dedans pour l'aider. Il ferme la voiture et on marche vers la villa. On y entre et la plupart des garçons sont en train de jouer à la play dans le salon.

Je pose tout sur le plan de travail et ressort mes affaires. Il commence à vider les courses des sac.

— Laisse je vais le faire, va jouer avec les autres.

— Ok merci, athé'! Dit il en courant vers le salon.

Je sors toute l'entièreté des courses et plie les sac de courses avant de les ranger dans le placard dédié à ça. Je range toute les courses dans le frigo, le placard et sors une grand poêle pour faire cuire à manger.

Je sors des morceaux de poulet, de la crème, du curry et du riz. Je sors les morceaux de poulet de leur emballage et retire les nerfs. Je met un filet d'huile d'olive dans la poêle et y met les morceaux de poulet à l'intérieur avec.

Je sors une casserole ou je met un peu d'eau dedans et la fais cuir pour y mettre par la suite le riz.

Tout est près, je prends 6 assiettes dans le placard et sers les portions à chaque assiette. Je prends les couverts et vais les mettre sur la table de la salle a manger. Je dispose tout et part appeler les garçons.

— Vous venez manger? C'est près.

— On arrive.

Ils terminent leur partie et viennent tous autour de la table. Aaron vient, me prend par les hanches avant de m'embrasser le haut du crâne et d'aller s'asseoir à table.

Je les regardent dévorer leur repas tout en discutant entre eux. Liam se retourne vers moi et me questionne.

— Tu ne manges pas?

— J'ai déjà mangé tout à l'heure.

— Viens au moins t'installer avec nous! Poursuit il.

Je me décale de la bordure du mur et m'installe à côté d'Aaron.

— Et tu as commencé à faire quoi comme étude? Me questionne Harry, un des six mafieux autour de cette table.

—J'allais commencer en étude de médecine pour ensuite basculer sur des études de vétérinaire, mais bon, je n'avais pas les frais...

— Ah, mais là tu vas pouvoir te lancer, tu as assez maintenant non? Renchérît Ilyas.

— Bas, il faut déjà que je dirige cette mafia, si je suis recherché ce n'est pas la meilleure des idées.

— C'est vrai...

— Je reviens! leur dis je pendant qu'il étaient entrain de rire sur une blague complètement débile d'Arthur.

Je vais vers les toilettes. Après avoir fais se que j'avais à faire, je me lave les mains et ressors. Je longe le couloir et m'arrête en écoutant le
sujet de discutions qu'ils ont abordé.

— Mec, tu peux la quitter le pari est terminé, enfin, tu l'as baisé, si tu l'as baisé c'est fini. Dis Arthur.

— Oui mais... réponds Aaron, hésitant.

— Mais quoi? On a dit si tu résistais tu devais quitter la mafia, quitte la putain, elle nous sert à rien en plus dans la mafia. Poursuit Lucas.

— Ouais, je vais le faire.

Je sors du couloir et me plante devant eux, les larmes aux yeux.

— C'est bon tu l'as fait. Bonne soirée tout le monde.

Je montes dans sa chambre, prends toutes mes affaires et redescend. Je sors de la villa et reviens à la principale en tombant sur belle. maman.

— Qu'est ce qu'il se passe ma chérie...

— C'est..fini entre nous deux.

— Oh, tu veux que je te console ou tu préfères rester seule, je sais que dans ses cas là, tu aimes bien rester seule donc..

— Oui, merci, c'est fou tu me connais super bien..lui sourie je entre les larmes qui coulent.

— Dors bien ma puce, à demain.

Je pars, monte les escaliers et m'enferme dans ma chambre. Je pose toute mes affaires et commence à mettre un long tee shirt noir en guise de pyjama et range le pyjama dans la boîte qu'il m'a offert...

Écouter, vous savez quoi? On dit souvent « la vengeance est un plat qui se mange froid. » bas là, il vas carrément se prendre un congélateur et mon poing en pleine gueule cet enculé.

Décidée, je prends mon ordinateur et vais sur leboncoin. Je tape dans la barre de recherche: « appartement à vendre, cherchant un proprio ». Je tombe sur plein d'annonce et défile les choix afin de voir ce qu'il pourrait me plaire.

02h27

Je suis toujours entrain de faire mes petites recherches, toujours les larmes aux yeux en repensant à lui, il s'est juste servi de moi, pour satisfaire ses besoins, mais pas tout ce qu'il aurait voulu apparement...

Ma porte est tambourinée par une personne, se qui me fait sursauter de surprise à cette heure si.

— Entrez! Dis je tout bas pour ne pas réveiller ma belle mère.

La porte grince avant de s'ouvrir en entier, mais je suis toujours plongée dans mes recherches, lunette sur le nez, je n'aperçoit pas qui ça peut être.

— Athéna...

Me sors la tête de mes affaires, cette voix. La voix de cette personne est rouillé, grave avec une tonation importante. Des reniflements se font entendre par la suite.

— Écoute, les garçons ont..

— Ta gueule et dégage.

— Laisse moi au moins t'expliquer, s'il te plaît?

— Vas-y. Dis je en tournant ma chaise de bureau vers lui. Installe toi, tu vas pas restez debout.

Il s'assoit sur le lit me regarde tristement avant de baisser son regard face au miens, noir.

— Ils avaient inventé une sorte de « action vérité » et j'ai pas voulu répondre à une question sur vérité du coup, c'était un gage sois un pari. Et ils ont choisis que j'aurais un pari quand une nouvelle arrivante ou arrivant sera la. Et pour le coup ça a été toi, donc leur première réaction c'était « oh putain comment elle est bonne! » alors que moi c'était plutôt « la pauvre il faut qu'on l'enlève vite des mains de sa mère, elle doit vivre un sale enfer » et du coup leur pari c'était très clairement, «  baise la! » je n'avais pas du tout envie de faire ça puisque je ne prends pas les femmes pour des objets, donc je n'avais pas envie de te faire du mal alors je leur ai fait croire que j'allais le faire. De fil en aiguille j'ai commencé à t'aimer, vraiment beaucoup à même en être raide dingue de toi, quand les garçons s'approchait de toi et qu'on était même pas encore ensemble j'avais qu'une envie c'était de les écarter de toi..et quand je leur ai dit qu'on a « baiser » ensemble, toi même tu sais très bien que c'est faux, je ne te ferais jamais l'amour sans ton consentement, sans que tu sois bourrée ou quoi, sobre pour profiter du moment pure, et je n'ai aucune envie de me séparer de toi et je le précise, jamais je ne te « baiserais » je te ferais l'amour comme il se doit, et croit moi, ils l'auraient déjà entendu!
Me sourit il, des étoiles dans les yeux, regardant droit dans les miens.