Des coup de feu retentissent dans l'immense salle et tout le monde se baisse, se couvre et se cache sous la table. Je n'ai pas trop l'impression que c'est grave à cause de l'alcool que je viens de boire, ça commence à faire vraiment effet sur moi, un peu trop même.
— Qu'EsT..cE qUi Ce PaSsE AaRoN? Dis je en secouent ma tête lentement de gauche à droite.
— Chut, tais toi il vont nous trouver! M'ordonne-t-il en chuchotant.
— QuI ViEnS mE cHeRcHeR? Il M'aPpRoChE, jE lE bUtEs SaNs AuCuNe PiTiÉe! Dis je en levant le doigt.
— Tais toi je t'ai dis!
— MaIs QuOi, J'Ai RiEn FaIt!
Il me regarde et d'un coup, il s'élança, pose ses mains sur mes hanches, m'approche de lui et s'empare de mes lèvres en un baiser doux et sensuel. Je répond à son baiser.
Il se sépare de moi à bout de souffle et c'est comme si l'alcool dans mon sang c'est dispersé et que d'un coup j'ai repris mes moyens.
Des talons sont juste devant nous deux et je les reconnais direct. C'est ceux de Myriam, pointue comme un couteau, rouge sang comme le peux qui a atterri sur ses mains ou pour camoufler le sang qui peux se faire éclabousser et effet brillance, plus simple pour laver le sang dessus.
— Sors de ta cachette ma petite conne, sinon, je tue ta belle et charmante belle mère. Dit-elle d'un ton hargneux.
Je tourne ma tête et ancre mon regard dans suis de Aaron. Il hoche sa tête négativement, il ne veut pas que j'y aille, mais moi je n'ai pas envie que belle maman meurt de ma faute, comme toujours...
Je place mes mains sur le cou d'Aaron, l'embrasse tendrement, me sépare de lui et me relève de dessous la table avant qu'il ne m'attrape. Ma mère est en train de faire une ronde dos à moi avant de ce retourner intriguée par le bruit que je viens de faire en me relevant, avant d'approcher dangereusement avec Rosa, belle maman dans les bras, terrorisée.
— Tiens tiens, ça fait longtemps, ma fille. Me sourit-elle,
faussement.— Il n'y a que de Rosa que je suis la fille, toi tu a été une distraction pour papa, je ne suis rien pour m toi et de toi. Dis-je avec hargne.
Je me prends une violente gifle, mais je n'y porte aucune attention, tellement j'en ai souffert mon enfance, je ne ressens plus aucune douleur concernant une claque.
— Je n'ai pas oubliée ce que tu m'as fait. Dis je en soulevant un peu ma robe pour montrer l'énorme bandage du à la balle qu'elle m'a tiré dans la cuisse. Tu délivres Rosa. Lui ordonne-je.
— Pour ça tu devras venir avec nous, ta belle famille t'attends. Me lâche-t-elle avec pitié.
Elle lache d'un coup ma belle mère et m'attrape fermement le bras et m'amène en dehors pour sortir de la propriété. Un homme arrive avec un tissu blanc et le place sur ma bouche, qui recouvre aussi un peu mon nez. L'odeur est immédiate, je pense que c'est de l'éthers, un liquide qui m'endors dans les secondes qui suivent.
C'est le cas, je me sens de plus en plus légère et je commence à planer comme quand j'ai bu les 8 ou 16 shots d'alcool fort. Avant que je sombre dans le noir obscur, des coup de feux et des cris retentissent avant que mon corps rentre en contact brutalement avec le sol et sombre dans l'obscurité de mes paupières fermée.
Lundi,19h58
Mes yeux me brûle dès que j'essaye de les ouvrières du à la petite lumière tamisée que diffuse ma lampe de chevet, allumée. Je sens que le côté droit de mon lit forme un trou du à une personne qui c'est assise sûrement sur mon lit, à mes côtés.
J'arrive quand même malgré le mal, à ouvrir les yeux et constater que je suis dans une chambre qui m'est encore inconnue, avec des sombre et de l'effet bois sur les meubles autour de moi pour compléter les couleurs, grisâtre qui penche plus vers le noir.
Je tourne ma tête vers la droite et constate Aaron qui me regarde les yeux qui fixe le sol, perdu, il ne c'est pas aperçu que je me suis réveillée vu qu'il est dos à moi sur le bord du lit.
J'essaye tant bien que mal de me redresser. Ma tête tambourine dans tout les sens et mon bras me fait affreusement mal. Je constate que j'ai une attelle au bras gauche et un énorme pansement, comme celui la où j'ai reçu la balle dans ma cuisse, mais à l'autre jambe.
Aaron tourne d'un coup sec la tête vers moi et me lance un regard inquiet avant de ce précipiter vers moi et relevez mon menton à l'aide de son index et de son pouce.
— Tout vas bien? J'ai pris un cachet je savais que tu allais avoir mal à la tête.
Il me le tends, je le prends et l'avale à l'aide d'une gorgée d'eau fraîche qu'il m'a apporté d'un verre. Je laisse reposer ma tête en arrière, soufflant d'exaspération.
— Il c'est passé quoi? Lui demande-je, perdue.
— Ta mè..Myriam est venu à nouveau te kidnapper mais je l'ai arrêter à temps avec l'aide de deux trois mafieux de la salle et de Arthur et Liam qui ont entendus les coup de feu.
Quelques passages me reviennent mais pas le plus gros de la soirée je me rappelle juste du moment où elle avait ma belle mère dans les bras mais après... ROSA!
Je me lève d'un coup du lit mais ma cuisse me fait atrocement mal que je retombe au sol, rompant pour aller voir comment va ma belle mère.
— Oh, doucement tu es encore fragile, elle va très bien en t'en fait pas, elle n'a pas reçu de balle ni rien, c'est la moins endommagée du drame. Dit-il en me portant comme une princesse pour me réinstaller, allongée, dans le lit.
— Et toi? Tu a quelque chose? Dis-je en m'inquiétant et en bougeant ma tête dans tout les sens en parcourant son corps à la recherche d'éventuelles blessures.
— Je n'ai rien! Juste quelques égratignures de rien du tout. Me répond-t-il tout en rigolant.
— Il n'y a rien de marrant.
— Bah si, tu t'en fait pour moi. Me dit-il, tout sourire.
— Et alors?
— C'est mignon, j'aime bien quand tu t'inquiètes pour moi, ma petite fleure.
Je pourrais fondre sur place pour ce surnom...
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Sous grand danger
Teen FictionMa mère..elle me frappe à bout. Mon père, son ex mari le découvre petit à petit et va demander à ses hommes du gang de me protéger des ennemis et de ma mère, sans savoir que... (Il y a des fautes, je suis désolée..)