Je m'approche du lit et m'allonge. Je pose ma tête contre ses côtes pendant que lui, dépose son bras sur le matelas et pose sa main dans mes cheveux faisant des vas et viens à l'intérieur de ceux ci.
Je dépose un délicat baiser sur sa joue avant qu'il éteigne la lumière et qu'on s'endort paisiblement.
8h49
Mon réveille a sonné il y a quatre minutes à peu près et je poireaute dans le lit à enlacer Aaron. Celui ci embrasse mes cheveux avant de se lever définitivement et de descendre en bas.
Je fais de même en prenant soin de mettre un gilet et trouve tout les gars dans la cuisine en train de parler, ou plutôt de débattre pour savoir comment on va déménager toutes les affaires.
— Si vous voulez, j'ai l'ancienne camionnette spacieuse de mon père, à la maison. Dis je en m'appuyant contre l'évier, face aux garçons.
— Ouais, ce serais une bonne idée, en plus on a pas mal d'affaire, vous en pensez quoi? Dit Harry, se servant un café.
— Ouais, c'est vrai, se serait vraiment bien! Dit Arthur en continuant, je t'accompagnerai la chercher. Me dit il d'un sourire pervers.
Je regarde Aaron qui lui a son regard rivé sur moi avant de jeter un regard glacial à Arthur.
— J'ai des choses à faire avec Harry, Aaron t'accompagnera. Lui sourie je faussement.
— Je peux aussi vous aider, je n'ai rien à faire? Dit Vincent en lavant sa tasse.
— Bien sûr, plus on ait, plus on rit!
Ils me dévisagent tous.
— Bah quoi? C'est pas ça la devise?
— Non non, c'est « plus ont est de fous, plus on rit ». Rit Lucas avec le reste de la bande.
Je met ma tasse, à présent vide, dans l'évier et monte à la chambre d'Aaron. Je vais dans sa salle de bain et prends une douche. Après avoir pris celle ci je me rends compte que j'ai oublié le plus important.
J'ai oublié mes affaires et mes sous vêtements, je ne peux pas prendre les affaires d'Aaron sinon je nage clairement dedans. Je sors de la salle de bain et entre-ouvre la porte de sa chambre et cris son prénom à travers celle ci.
— Aaron, viens vite!
Quelques secondes plus tard je vois Aaron qui court dans les escaliers et relève la tête voyant que la mienne dépasser de la porte.
Je suis tellement gêner d'être dans cet accoutrement...
Je sourie gêner et le laisse entrer avant de refermer la porte directement après.
— Est ce que tu pourrais aller dans ma chambre à coter, me prendre un haut et un bas, n'importe lequel, choisis, avec des sous-vêtements s'il te plaît, merci.
— J'y vais, laisse moi, deux minutes. Tu as besoin d'autre choses?
— Non, c'est bon, merci beaucoup. Lui sourie-je, sincère.
Je fait le tour de sa chambre en examinant de plus près les photos affichées. Il y a beaucoup de photos avec ses sœurs.
Il doit vraiment bien les aimer...
Je sourie sincèrement dès que mon regard glisse sur une photo où il embrasse le front de sa mère pendant que celle ci le câline.
La porte s'ouvre pile au moment. Je me retourne les larmes aux yeux et marche pour récupérer les affaires qu'il m'as apporté.
— Ça ne vas pas? Me demande-t-il, voyant mon état.
— Tu as de la chance, d'avoir une famille soudée malgré tout, du moins, vivante, jamais ivre, jamais donné de coup, de balle à flingue réel dans la cuisse de ses enfants. Jamais la traiter de grosse larve qui ne sait rien faire de sa vie, jamais éventrer le ventre avec un morceaux de bouteille de vodka, de plus, imbibé d'alcool...
— Et, tout va mieux maintenant. Ma famille est désormais la tienne, à vie. Elle sera toujours la pour toi, quand tu en auras toujours besoin, quoi qu'il en soit. Me sourit-il tendrement.
Je lui souris en retour de la même manière et part dans la salle de bain m'habiller. Il m'a prit un petit haut à épaulettes à bande blanche et bleu marine avec un short en jean bleu clair.
J'enfile tout, me brosse les cheveux, les laissant sécher à l'air libre et sors de la salle de bain. Il est assis dans son lit, téléphone en main.
— On part dans quatre jours pour rester deux semaines chez ma mère et mon beau père, sa te vas?
— Oui, j'ai hâte de voir toute ta famille, la meilleure de toute! Dis je en souriant tout en pliant mon pyjama.
Je prend mon parfum, j'en met un peu et regarde Aaron qui lui a fermer les yeux.
— Tu t'endors ou quoi?
— Non, j'ai juste sentit ton odeur donc j'en ai profiter, maintenant c'est ma chambre qui va sentir ton parfum, parfait. Le dit il en prenant mes hanches tout en m'embrassant, je vais y aller, bonne chance avec les cartons, tu n'est pas obligée de faire ma chambre, elle peut attendre.
— Mais si, j'aurais le temps de faire ta chambre. Je lui sourie puis on sort de la chambre pour redescendre vers les garçons.
Kathleen est là, à rigoler, bouche grande ouverte, avant de me regarder hautainement et de sourire à pleines dents, à Aaron. Je l'ignore et vais vers Harry, après avoir dit à Aaron que j'y allais.
— Du coup, c'est toujours bon pour toi de m'aider? Lui sourie-je.
— Évidemment, on y va!
On sors de la maison tous ensemble. Aaron, Arthur, Lucas et Liam vont chercher la camionnette, pendant qu'Harry, Vincent et moi allons vers l'autre villa.
On a des cartons vides pleins les mains. On entre dans la maison puis on se diriges vers le salon. On commence par les petites dicos simples à ranger.
Les garçons s'attaquent au gros meubles pendant que je termine toute le déco. Au fur et à mesure, on dépose les cartons en dehors de la villa.
En fait d'après midi, le salon et enfin terminer ainsi que la cuisine et le bureau. Les chambres, on en s'en occupes pas, chacun doit r'agir sa chambre.
À présent je suis dans ma chambre à trier les affaires que je garde et que je donne, en même temps que de faire ma valise. Aaron m'avait envoyé un message pour savoir si tout allait bien de notre côté, évidemment tout c'est passé pour le mieux.
De leur côté, ils ont eu des bouchons sur l'allée et le retour donc ça a été compliqué mais ils ont fini par revenir quand même. Apparement, ce soir, on fait la route de nuit, chacun une voiture et deux voir trois personnes dans la camionnette.
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Sous grand danger
Teen FictionMa mère..elle me frappe à bout. Mon père, son ex mari le découvre petit à petit et va demander à ses hommes du gang de me protéger des ennemis et de ma mère, sans savoir que... (Il y a des fautes, je suis désolée..)