Chapitre 34

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On est tous à table, y compris ma belle mère. Elle en a profité tout cette après midi pour jardiner en grande partie et faire la visite à des nouveaux acheteur, qui ont fini par prendre les clés des maisons.

Toute mes affaires sont prêtes pour directement partir chez les parents à Aaron par la suite. Ma belle mère y viendra la semaine qui suit avec les gars, pour le mariage de Line.

Pas pour y assister, mais faire en quelques sorte, des gardes du corps. J'ai très hâte d'y être. Je n'ai jamais vraiment assisté à un mariage, ça va être le premier.

Donc j'ai assez peur que tout se passe mal pour le premier. Aaron m'a assez rassuré en disant que tout allait se passer pour le mieux. Mais il y a toujours une part de moi qui a peur, et ça, il m'a dit que c'était normale, puisque c'est le premier j'ai mes raisons d'avoir peur.

On a tous terminer. Je suis en train de faire la vaisselle, tout en parlant à Vincent qui me raconte sa rencontre avec sa copine à un mariage. La façon dont il me raconte me fait marrer.

Je lui donne les assiettes à essuyer, et met les nouvelles dans le lave vaisselle à la place. Il a fini par me dire qu'au départ, il lui avait versé une coupe entière de champagne pour exprès l'emmener dans un coin reculer des autres, pour être qu'à deux.

C'est mignon mais à la fois con. Ce qui me fait rire d'une part. On se salut pour aller au lit. Je monte dans la chambre à Aaron pour dormir, pendant que ma belle mère va dormir dans la mienne, dans l'autre maison.

Je monte à l'étage laissant quelques garçons encore à discuter entre eux au salon. J'ouvre et referme derrière moi la chambre à Aaron. Je l'approche de son lit et récupère mon pyjama que j'avais déposer sous l'oreiller.

Je me change et me glisse sous les draps, en l'attendant. Celui ci, reviens de la salle de bain avec un Cotton dans les mains, qu'il me tend directement.

Pour te démaquiller, fleur.

Je me démaquille alors et donne à Aaron qui est resté debout devant moi. Il repart le jetter dans la poubelle à côté de sa commode et se glisse sous les draps.

Je m'approche de lui et il enroule ses bras autour de ma taille. Je lui fait un bisous sur sa joue et on commence à discuter un peu de tout.

— Écoute, Athena, j'ai envie de parler d'un sujet qu'on a vaguement évoqué.

— Lequel ?

— L'amour, si tu veux que je n'emploie pas le mot dur.

— Oh... ris-je nerveusement.

C'est vrai, il n'a pas tort.

— Je sais que tu n'as pas envie de te précipiter, moi non plus, tu sais très bien que j'attendrais le moment venus, mais j'aimerais bien qu'on en parle un peu.

— Si tu veux, on peut en parler alors. Lui sourie-je.

— Tu l'as déjà fait, ou autre choses?

— Non, je ne l'ai jamais fait mais je ne vois pas ce que tu veux dire par « autre choses »?

— Se chauffer en quelques sortes..

Mes joues commencent à virer au rouge de gêne, à parler de cette situation...

Non, jamais... dis je honteuse.

— C'est pas grave, me dit-il en prenant mon visage en coupe, je t'aiderais à tout. Dit-il en finissant par m'embrasser.

— Tu commences pas à te lasser de moi?

Comment pourrais-je me lasser de toi alors que tu es la femme parfaite?

— Pour ne pas te donner la chose que tout les hommes ont déjà fait..

— Mais ça on s'en fou, on prend notre temps, c'est le plus important !

— Si tu le dis.

— Allez, dors, demain on débute tôt fleur, bonne nuit mon amour. Dit il en m'embrassant le front et en me serrant de plus belle dans ses bras.

Mes yeux se ferment de fatiguer, en tombant tranquillement dans les bras de Morphée.

2h30

Le réveil sonne et il faut se dépêcher. Je me lève directement du lit et vais vers la salle de bain. J'enfile un de mes pulls, prends ma brosse à dents, met du dentifrice dessus et me brosse les dents.

Après sa, je referme ma trousse de bain et la met dans ma valise que je refermes par la suite. Sur le chemin, j'embrasse Aaron qui pars se doucher et je descends ma valise a la cuisine.

Je salut quelques garçons qui sont déjà réveillé et sors mette la valise dans le coffre de l'Audi. Je reviens vers la maison et y rentre. Je remonte à l'étage et débranche mon téléphone et le range dans mon sac accompagné de son chargeur.

Je met un pull à Aaron dans mon sac aussi et met mon doudou. En parlant du loup, celui ci ressort, serviette autour de la taille avec ses cheveux clair qui lui retombes sur le front, dégoulinant d'eau.

Je lui sourie et sors de la chambre. J'entends à la seconde mon prénom crié de la chalande où je suis sortie.

Et merde...

Je rentre dans la chambre et aperçois Aaron un sourie en coin, avec une de ses main qui tiens le tiroir.

— Mon pull. Dit il en tendant la main.

— Je ne vois pas du tout de quoi tu parles. Lui dis je, telle une menteuse.

Il hausse un sourcil et encre son regard clair dans le miens, sombre. Je lui sourie et commence à courir dans la chambre, à son opposé. Lui, commence à me courir après, il m'attrape par la taille, le forçant à être collé à lui et en prime, à être face à lui.

— Tu es sûre de ça? Dit il en relâchant un peu sa pression sur la taille.

— Oui, très sûre.

Je m'enfouie de ses bras et sors de la chambre. Je salut ma belle mère qui prépare des morceaux de fruit dans la cuisine. Je traverse la propriété et entre dans la voiture.

Quelques secondes plus tard, la porte du côté passager s'ouvre laissant place au bras d'Aaron, tatoué par ci par là. Il démarre le contact et repars.

J'allume la Clim, même à deux heures du matin il fais chaud, c'est absurde. Je met mon sac et mon plaid à l'arrière, sur la banquette. Aaron reviens s'assoir, avec une boite en main.

— Ta maman qui nous a coupé des fruits, c'est trop bien. Me sourit-il.

Super !

— On sera tout seul, les autres prennent eux la camionnette et on doit finalement partir là pour aller chez Line parce que finalement ils ont besoin d'aide tôt.

— Ah ok, pas grave je verrais la villa quand on rentrera. Lui sourie-je, avant que nous fassions au revoir à tout le monde pour aller en direction du port.

Sous grand dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant