Chapitre 17

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À chaque fois qu'il me parle au téléphone depuis que tu as « intégrée » la mafia, mime t'elle, il ne fait que ça...il dit que tu es resplendissante, qu'il aimerait te garder qu'à lui parce que je site, il ne partage pas. Tu vois quand vous vous êtes embrassé quand mon père et ta mère allait te kidnapper, il rêverait de te faire ça chaque seconde où il te voit et quand Arthur vous a coupé alors que vous étiez à deux doigts de vous embrasser, il allait le tuer sur place d'avoir gâcher ce si bon moment pour lui, rie t'elle, te prendre dans ses bras et renifler ton odeur chaque jour, te voir dans son lit tout les matins, tout les aprems, tout les soirs...bref il t'aime vraiment beaucoup mais il ose pas se lancer par peur que tu ne l'aime pas alors je me dois de te demander avant qu'il ne le face et que tu lui dise non et qu'il soit déprimé comme jamais on ne l'aurait vu, alors, tu l'aime?

— Oula..ça fait tellement de choses à la fois...dis je, perdue.

J'aimerais tellement t'avoir comme belle sœur, on passerait notre temps à rigoler de tout et de rien, il t'aime comme il n'aurait jamais aimé quelqu'un d'autre. Tu es tellement tendre et adorable avec lui, il m'avait raconté que tu t'était inquiétée pour lui une fois, que tu voulais qu'il, arrête de fumer, ce qu'il a fait puisque il m'a prévenue depuis le jour où tu lui a dis ça, il a arrêté de fumer pour toi, il est tellement heureux quand tu es là, et je te dis pas comment il était dans une colère noire au téléphone quand tu faisait des clins d'œil à Arthur sous son nez, ça le mettait en rogne de savoir sa, dit elle en me prenant les mains, ma mère t'adore déjà et se serait le comble que tu fasse partie de la famille!

— Moi aussi je l'aime mais ça ne le dérange pas qu'on est 1 ans d'écart? Que pour le coup je n'aurais peut être pas les mêmes envies que lui? Il pourrait être dégoûté et voir ailleurs si je n'ai pas encore envie de faire, tu sais quoi... dis je en perdant tout espoir.

— Il t'accepte t'elle que tu es, crois moi il attendrai ciel et terre pour toi, il ferai tout pour toi, alors que, il est très impatient et quand il n'a pas ce qu'il veut il ferait tout pour l'avoir! Alors maintenant on va descendre je vais vous prendre tu va lui dire vous allez vous embrasser et je serais tata depuis le temps que j'attends cela!

— Oui, je vais lui demander mais je ne suis pas prête pour ça...

— Ne t'inquiète pas, moi aussi j'attendrais. Me sourit elle sincèrement avant de m'emmener en bas à la recherche d'Aaron.

Nous cherchons partout dans la maison, il n'y est pas alors on décide d'aller voir dehors et devant la maison. Il n'y a personne dans le jardin alors on pars vers l'entrée voir s'il serait en train de discuter avec potentiellement une personne qui fume dehors, ou il pourrait céder et fumer en cachette, qui sait...

On travers le jardin et nous ouvrons le petit portillon qui rejoint l'avant au jardin. On y trouve Aaron en train d'embrasser à pleine bouche une jolie nana bien gaulée faut se le dire, avec des formes parfaites qui épousent parfaitement bien la robe moulante qu'elle porte.

Il se sépare d'elle la regarde amoureusement et tourne sa tête vers nous puisque la nana nous a pointée du doigt. Il me regarde avec un regard qui veut tout dire sauf un simple, « pardon ».

Line et moi , nous rejoignons la famille qui s'apprête à passer à table. Nous nous installons et la mère à Line commence à servir un peu tout le monde en même temps. Je me suis assise à côté de Line et Louis est venu s'assoir à la place libre à côté de moi.

Nous commençons à manger quand vient la question fatidique.

— Il est où Aaron? Nous questionne la mère de Line.

Line et moi, nous nous regardons puis plongeons notre regard au fond de notre assiette avant que Line fini par prendre la parole.

— Il est en train d'embrasser Anaïs dehors.

Sa mère toussote, manquant de s'étouffer avec ce qu'elle vient de manger et bois un peu d'eau pour faire passer le tout.

— Pardon?

Elle se lève et pars de la table. Tout le monde recommence à reparler entre eux comme si de rien était et je commence à avoir les yeux larmoyants rien qu'en y repensant.

Une main vient caresser ma cuisse. Je reconnais deux bagues, celle que Line porte.

— C'est qu'un con mon frère, je suis désolée ma belle... me susurre t'elle à l'oreille avant de se replacer et de manger.

Aaron et sa mère revienne accompagné de la nana de tout à l'heure, je n'ai pas retenu son prénom et il s'installe en face de moi, avec la nana à ses côtés.

Ils mangent comme si de rien était. Je vois qu'il pose sa main sur la cuisse de celle ci tout en mangeant.

Comment il peut me..enfin..comment il peut faire ça?

Je termine mon assiette recule ma chaise et pars attraper Noah pour aller me reposer avec lui dans la pièce où j'étais en début de soirée.
Je déverse toutes les larmes que je retenais et Noah passe sa main sur ma joue et essaye de les enlever.

Je le regarde faire et lui sourit tendrement. Nous nous allongeons sur le canapé et je lui fait des papouilles jusqu'à ce qu'il s'endorme. Je lui chante des comptines en même temps, ça me berce aussi.

Je m'endors peu de temps après lui, mon visage baigné de larmes.

01h38

Des gigotements contre ma poitrine me réveille. C'est en effet Noah qui vient de se réveiller qui gigote dans tout les sens pour manger j'imagine.

Je prends mon téléphone et regarde l'heure, 01h38. Je me lève du canapé le prenant dans mes bras et pars à la cuisine en allumant les pièces qui reflètes des lumières basse, réglée pour ne pas être à fond directement.

Je parviens à la cuisine et cherche un peu partout dans les placards une poudre à lait et un biberon.

Sous grand dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant