Chapitre 21

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J'en profite pour attraper mon téléphone dans ma poche et vais dans mon répertoire. J'appelle le premier numéro qui me vient, Arthur.

Allez réponds abrutis!

Il décroche au bout de trois sonneries.

— Oui athena?

— Arthur, venez me chercher elles m'ont embarqué dans l'entrepôt à côté de l'aéroport, j'ai mal Arthur viens tout de suite avec beaucoup de renfort elles sont largement armée et il y a d'immenses machines de torture...Arthur viens s'il te plaît j'en peu plus, j'ai mal à ma cuisse aussi..

— Débrouille toi.

— Comment ça Arthur?

— T'as très bien entendu démerde toi toute seule.

Je raccroche et appelle le deuxième numéro.

Putain c'est Aaron l'erreur...

Il décroche tout de suite, surprenant...

— Écoute Aaron je sais que tu m'en veux, beaucoup et que je suis vraiment désolée mais elles m'ont à nouveau embarqué dans l'entrepôt à côté de l'aéroport, elles ont des multitude de machines de tortures et j'ai très peur d'y passer et j'avais appeler Arthur parce que je pensais que tu n'allais pas répondre mais il m'a dit démerde toi toute seule, viens j'ai encore mal à ma cuisse en plus s'il te plaît j'en peu plus...j'éclate en sanglot à la fin de mon récit.

— Bouge pas j'arrive mais quand on rentre je lui ferais la misère à celui là, j'arrive ma petite fleure bouge pas et met toi au extrémité de la pièce où tu te trouve, ça nous faciliteras la tache pour défoncer la porte, bouge surtout pas j'arrive vite.

Il raccroche et je pars comme je peux à cause de ma jambe me mettre au bout de la pièce. J'attends une bonne demie heure avant que la porte sois défoncé en un coup. Aaron et Lucas sont derrière celle ci avec les gars qui tabassent les gardes à l'autre bout.

Je cours comme je peux jusqu'à Aaron et me réfugie dans ses bras, ma tête dans son coup à humer sa bonne odeur, mais ce n'est pas celle de d'habitude.

Il a sûrement dû changer de parfum entre temps.

— je suis désolée pour tout ce que j'ai pu te faire Aaron, moi aussi je t'aime et je veux aussi finir ma vie avec toi. Dis je en l'embrassant.

Il répond à mon baisé et je sens qu'il sourie contre mes lèvres. Je me recule de lui et la personne enlève son masque.

Merci de nous avoir prévenue que tu lui a téléphoné maintenant on pars ma jolie.

Il me prends de force mes poignets et m'embarque en dehors pour me mettre dans un plus grand fourgon

J'essuie de toute mes forces ma bouche. Ils démarrent.

Je crois qu'il a oublié que j'avais encore mon téléphone, il est comme ma mère, teubé c'est tout.

Je vérifie que personne ne me vois et envoie un message à Aaron. J'avais enregistré toute la conversation de quand il est entré sans faire exprès, au moins, je pourrais le faire écouter à Aaron.

Aaron

Il a vu que je t'ai
téléphoné, regarde ma
localisation, je l'ai activée
et essaye de faire de ton mieux
j'ai trop mal...

D'accord j'arrive ne
bouge pas sinon ils
vont s'apercevoir de
quelque chose, je suis
désolé de ne pas être resté
avec toi hier soir..

C'est rien c'est pas grave
c'est plutôt moi qui doit
être désolée de comment
je t'ai dis ça alors que je ne
le pensais pas, bref on
s'expliqueras plus tard,
ce n'est pas le moment.

Tu as raison.

J'éteins le téléphone et le remet dans ma poche ni vu ni connu et fais semblant de mettre endormie.

Le fourgon freine d'un coup sec et je me suis cogne fortement contre un marteau posé contre la parois du fourgon. Des bruits se font entendre de dehors mais je suis captivée par mon mal de crâne qui ne cesse pas.

Un liquide coule le long de mon front ainsi que ma joue en s'écrasant sur mon haut blanc.

Du sang, je saigne...

La porte du fourgon s'ouvre sur le gars qui me pointe une arme dessus me forçant à descendre.

— Descends, maintenant!

Je descends tant bien que mal du fourgon et on contourne celui ci avant de nous poster devant au moins quatre grand 4 4 noir et tout les gars de la mafia.

— Donc maintenant vous allez dégager ou je la bute.

Je chercher des yeux Aaron et le trouve directement devant moi qui me regardait déjà. Il me fait un clin d'œil et un 1 du doigt.

Notre code rouge.

Je me place devant le type et lui mais mon genoux en plein dans son membre et lui fou un coup de boule avant de courir comme je peux vers Aaron. Celui ci tire sur le type deux fois et me prends directement dans ses bras.

J'aime son odeur et reconnais directement, non il n'a pas changé.

— je suis tellement désolée de tout ce que j'ai pu te dire Aaron, en fait moi aussi je t'aime et je veux aussi finir ma vie avec toi.

Il se sépare et me regarde bizarrement.

— Ils t'ont drogué?

— Non, pourquoi?

— Attendez, rendez moi la vraie Athéna, poète sort de se corps. Dit il en rigolant.

— Putain t'es con. Dis je en me joignant à son rire.

Il prend mon visage en coupe et me demande permission.

— Je peux?

— Oui, vas y.

— Oh, depuis le temps que je rêvais de ça...

Il s'empare de mes lèvres et m'embrasse comme si s'était la dernière fois qu'il pouvait. Je lui rends son baiser et nous nous arrêtons, haletant.

Il me regarde tellement amoureusement, je pourrais fondre sur place. Il m'embrasse à nouveau et je fais de même.

— Bon, je ne veux pas gâcher se bon moment mais on a l'avion à prendre...

— Ouais partez sans nous, on arrive.

Ils partent nous laissant seule à seul avec le corps du père de Aaron, inanimé.

— Allez vers un endroit plus chaleureux que des cadavres, non?

— Volontiers, chef.

Nous montons dans la voiture et rentrons à l'hôtel. Je vais dans ma chambre et prend une douche pendant qu'il fait la même chose de son côté.

J'enfile mon pyjama et me faufile sous la couette. J'ai pas trop faim donc je pense ne pas aller manger. Ma porte s'ouvre et la personne cours vers moi et me met une immense gifle.

Sous grand dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant