Aaron. Il est là et me regarde mis habillé, sans même se tourner pour me laisser mon intimité.
— Wouah...t'es..magnifique...euh je enfaite..je voulais que tu la garde, c'est un cadeau. Dit il en me tendant la robe qui était dans le colis, il l'a déjà eu?!
— Merci mais tu peux te tourner s'il te plaît. Dis je en essayant de cacher comme je peux mon corps.
— Non.
— Pardon?
— J'ai dis, non.
— Pourquoi?
— Parce que, tu n'as pas besoin de cacher ton merveilleux corps, j'ai tout inventé avec mon ex, c'était pour te rendre jalouse mais enfaite je suis con, j'aurais tout de suite dû te dire au lieu de tout cacher et de jouer à un jeux stupide...
—Mhh, mais encore.
— Quoi mais encore?
— J'ai besoin d'avoir un peu plus d'arguments. Levais je les yeux en l'air.
— Ok alors, j'ai une envie folle de te prendre sur se lit, de te faire hurler mon putain de nom pour que tout l'hôtel sait que tu es qu'à moi, et que je ne partage pas ce qui est a moi. Alors quoi qu'il arrive, tu seras dans mon lit jour et nuit, dans ma vie jour et nuit et si sa ne te conviens pas, je m'en fou, je te marierais quand même. Je pense jour et nuit à toi et tu penses que ça va m'arrêter, m'arrêter de t'aimer, m'arrêter de rêver de toi jour et nuit à en mourir, m'arrête de penser à toi alors que j'ai du travail, m'arrêter d'aller te voir pour pouvoir t'embrasser et te prendre dans mes bras juste à l'idée de pouvoir sentir ta bonne odeur de femme, détrompe toi, jamais je n'arrêterais. Tout ce que ma sœur a dis de moi sur toi, c'est vrai, et je n'arrêterais pas de tout lui raconter comme par exemple, nos ébats tard le soir, nos discutions jusqu'à perpète, nos baiser inoubliables, nos câlin à en mourir d'amour, à ton odeur à m'en étouffer, quand j'adore rire, grâce à toi...ma sœur sais à quel point je t'aime et à quel point j'ai merdé avec toi alors que tu es une fleur dont toutes les pétales sont tombées par la peur, le manque de confiance en sois, les blessures à cause de ta mère, le décès de ton père, les épreuves à traverser, mais moi, je recollerais une par une toute ses petites pétales pour que tu ne sois plus aussi fragile et que tu n'auras pas à traverser toute ses épreuves seule. C'est bon? Je peux te prendre sur se putain de divan maintenant, et te faire rouler des yeux autrement ainsi qu'apprendre mon nom de famille encore plus que tu ne le connais déjà?
— ..je suis choquée de tout se que tu viens de dire, je..je ne sais pas comment réagir..moi aussi je rêverais de tout ça mais, ton ex,la mafia, ton frère qui on dirait a le béguin pour moi, les coéquipiers, tout ça, c'est...
— Et! Ne t'en fait pas, on va y aller petit à petit comme il le faut, si il le faut on prendras une éternité, mais ne t'inquiètes pas prends ton temps pour toi et seulement pour toi je ne suis pas pressé.
— C'est gentil de me comprendre mais, toi tu a envie de faire des choses au lieu d'attendre donc tu vas aller voir ailleurs...
— Mais non ne t'inquiètes pas. Je saurais attendre patiemment pour ne pas te brusquer, je prendrais soin de toi en m'assurant que tout ailles bien et non, je n'irais jamais voir ailleurs, tu es parfaite à mes yeux, petite fleure.
— Désolée mais pas après tout ce qu'il c'est passé du moins pas maintenant...
Il me regarde les yeux larmoyant avant d'hocher la tête délicatement et de partir après avoir fermer la porte de ma chambre. J'enfile mon pyjama et me couche dans mon lit en réfléchissant à tout ça.
Le lendemain
6h36Je me réveille avec un mal de tête inexplicable. Je regarde l'heure et me rendors. J'ai passé toute la soirée à me bourrer la gueule en apercevant Aaron qui embrassait son ex, et qui me jetait des fois des regards froids.
Ça explique mon putain de mal de tête...
Je me lève et m'habille puis vais vers le mini bar remplir un verre qui est à disposition d'eau et prends un cachet pour ne plus avoir mal à la tête.
Je met des habits de sport finalement et sors de ma chambre. Je descends les escaliers et mon bras se fait tirer de l'autre côté des escaliers, côté des chambres.
Je me retourne vers la personne qui m'a attrapé et c'est ma demie sœur.
Qu'est ce qu'elle fait là elle.
— Tu vas mourrir à avoir pris ma place aux yeux de maman.
— Je ne vois pas de quoi tu parles. Dis je étonnée.
— Au que si, aller on y vas Myriam.
Elles me prennent de force mais je ne parviens pas à me séparer de leur emprise. Elles sortent vite dans l'hôtel en ayant vérifié que l'hôtesse ne regardais pas.
Elles me font entrer de force dans un fourgon en m'attachant les mains à une grille au dessus de moi. Je cris de toute mes forces mais mes bruits sont étouffés à cause du bandeau dans ma bouche.
Le fourgon avance à toute allure. Je me rappelle que j'ai pris mon couteau. Je bouge dans tout les sens afin de faire glisser le couteau. Bingo! Il glisse un peu trop loin même et se glisse entre des sac.
Putain de merde, dans quoi je me suis fourrée à aller dans une mafia moi aussi...
Des larmes commencent à perler quand j'aperçois que le fourgon s'arrête à un entrepôt pas loin de l'aéroport, je l'avais aperçue. Elles ouvrent les portes du fourgon et m'emmènent à l'intérieur de l'entrepôt.
Elles me font traverser différentes salles avec différents engins de torture de toute les formes, toute les tailles et toute les souffrances inexplicable...
Elle me jettent dans une salle avant de fermer une porte renforcée pour ne pas entendre les bruits de l'autre côté. Mes mains sont à présent libre donc j'en profite pour...
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Sous grand danger
Teen FictionMa mère..elle me frappe à bout. Mon père, son ex mari le découvre petit à petit et va demander à ses hommes du gang de me protéger des ennemis et de ma mère, sans savoir que... (Il y a des fautes, je suis désolée..)