Chapitre 29

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Son téléphone vibre. Je le prend et regarde la notification.

Non, non non, c'est pas possible...

Je laisse un petit mot à Athéna puis, je prends mes affaires et sors de l'hôpital. Je prends les clés de la voiture et fonce à la villa. Arrivé à celle ci, je fonce vers la villa, afin de voir sa belle mère.

Elle est dans un brancard que les pompiers embarqué dans le camion. Ils étaient en train de la brancher dans tout les sens, avec des tas et des tas de tuyaux.

Je m'approche d'elle et elle me prend ma main, difficilement.

— Elle, elle n'est pas la?

— Elle a eu des examens médicaux à faire, je..je suis vraiment désolée qu'elle ne puisse pas, enfin,...

— Je comprends, ne..ne t'en fait pas.

Elle tousse difficilement et les pompiers l'embarque. Je récupère des affaires d'Athéna et passe à la villa des gars.

J'ouvre la porte et ils sont tous là, autour de la table, sans parler ni bouger, à attendre que quelque chose se passe.

Dès que j'arrive, ils tournent tous leurs têtes vers moi d'avant de regarder la pile de vêtement dans mes mains et d'à nouveau me regarder.

— On est désolée pour athéna.. dit Liam, avant de me taper amicalement l'épaule et de monter à l'étage.

— Mhh, on va partir chez mes parents, vous garderez un œil sur la villa d'à côté, je compte sur vous et en particulier sur toi, Lucas. Dis je en lui faisant un sourire, sincère.

Essayez de profitez au max, hein. Me dit Lucas.

Ouais, on va essayer, je m'approche de la porte d'entrée après avoir fait un tchèque aux gars, à bientôt.

— A bientôt. Disent ils tous en cœur avant que je referme la porte.

Je monte dans la voiture et prends la route direction l'hôpital. Une larme s'écoule le long de ma joue, sans que je ne le veuille. Je l'essuie d'un revers de la main et essaye de trouver une place sur le parking de l'hôpital.

Je me gare et sors de la voiture. J'entre dans l'hôpital, montre ma carte de visite et monte à la chambre d'Athéna. Celle ci est accroupie dans son lit, ses mains qui emprisonnent son visage, sûrement baigné de larmes.

J'ouvre dans un fracas la porte de la chambre et marche rapidement vers elle. Elle enlève délicatement ses mains de son visage. Effectivement, celui-ci est baigné de larmes.

— Elle est partie? Elle est partie sans moi?

— Non, ma petite fleure, elle a été emmenée à temps, elle doit être sous traitement, je pense, à moins que..

— Si elle ne prend pas le traitement je lui en obligerais, qui l'as trouvée?

— Un agent de ménage, à l'aube.

— Il va falloir le récompenser, on peut aller la voir?

— Oui, viens. Je t'y emmène, elle va être ravie de te voir.

Elle me sourie sincèrement et je l'aide à se relevez du lit.

Point de vue d'Athéna

Il m'emmène à l'accueil, pour prendre le numéro de chambre de maman. On monte dans l'ascenseur et dans celui ci, il me prend dans ses bras.

On toque à sa porte et un « entrer » se fait entendre, de bonne foie, se qui me fait légèrement sourire.

On entre et nous trouvons belle maman, avec une petite laine autour d'elle en train de lire un livre. Elle relève le visage, sourie sincèrement et ouvre ses bras afin que je puisse m'y réfugier.

— Athéna, il faut que je te dise quelque chose..

— Oui? Dis je avec une énorme lueur d'inquiétude dans mes yeux et dans mon expression faciale.

Je prends le traitement. Me sourie-t-elle de toute ses dents.

Je saute de joie à travers toute la salle et cours partout avant de la prendre dans mes bras et de prendre Aaron dans mes bras.

On en a aussi une pour vous. Dit Aaron sur le coup.

— Athéna va pouvoir sortir, et la dame d'accueil m'a dit que vous aussi vous pourriez sortir, et demain, en même temps que Athéna pour le coup. Poursuit il.

Elle me sourie et replonge dans sa lecture des qu'on sort de sa chambre environ deux trois heures plus tard.

Je reprends Aaron dans mes bras et sur un coup de tête, l'embrasse passionnément. Il est surpris mais répond à mon baisé à la seconde. Nous nous faisons coupé par une infirmière qui nous apporte le dîner du soir.

Oh, désolée de vous déranger jeunes gens, dit-elle en riant, bonne fin de soirée, pas trop de bruit..dit-elle en faisant référence à notre baiser qui pourrais virer au drame..

Elle nous dépose les plateaux et repars. Je dois sûrement être rouge écarlate au vu de ce moment gênant que nous venons d'avoir.

Tu veux, tu veux qu'on en parle?

— Quand on sera à la maison, se serait mieux merci..

Nous mangeons, enfin, lui pas moi, ce n'est pas très bon..dans le silence le plus gênant que j'ai pu connaître, à part des moment glaciaux qui m'ont mis mal à l'aise.

Je me diriges dans la salle de bain et oublie j'avais oublié que j'avais se putain de plâtre et que je dois forcément demander à l'aide à Aaron, alors que ce n'est pas du tout le moment.

Le moment que je redoutais arrive.

— Aaron, tu peux venir...dis je d'une petite voix, puisque la porte est un tout petit peu entre ouverte pour laisse passer un brin de luminosité.

Des pas se rapprochent de plus en plus jusqu'à ce que j'aperçoive des chaussure au bas du cadran de la porte avant que celle ci ne se fasse délicatement pousser pour laisser place à Aaron.

Il s'approche de ma robe de chambre attrape l'ourlet de celle ci et s'arrête.

— Je peux ?

— Oui, j'ai confiance en toi.

Il retire délicatement ma robe de chambre laissant place à ma poitrine que je cache directement à l'aide de mes bras.

Il attrape le bout de dentelle de ma culotte et fait comme avant, il s'arrête.

Je peux à nouveau?

— Oui, je te fais encore et toujours confiance.

Il retire ma culotte et se retourne à la seconde sans avoir jetter un seul regard à mon intimité,

quand j'y repense je l'ai laisser voir mon intimité sans problème et là je ne le laisse pas, je vais le laisser, il n'y a aucun problème si il l'a déjà vu.

Je retire mes mains de ma poitrine et par sous la douche.

— Tu peux m'aider à me savonner?

— Ça ne te dérange pas?

— Non, sinon je ne saurais pas comment faire..ris-je gênée.

Sous grand dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant