Chapitre 14

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Il part en bas et pendant ce temps je pars chercher dans mon sac mon pyjamas et pars dans sa salle de bain l'enfiler. Je met le pyjamas qu'il m'a offert depuis que je l'ai reçue, je ne l'ai jamais enlevé ou même lavé puisque il reste encore un petit résidu de son parfum dessus qui titille mes narines à chaque fois que je le porte.

Je reviens dans sa chambre et fouille de fond en comble sa chambre à la recherche de son parfum. Je le prends ouvre l'opercule et m'asperge de celui ci à s'en étouffer tellement j'en ai mis.

Un rire surgit ce qui me fait sursauter et tourner d'un coup sec ma tête vers se bruit dont je reconnais un peu plus tard l'éclat de voix dans son rire, c'est lui.

Vas-y vide le, non mais oh, ça coûte chère hein.

— Putain tu m'as fait peur, j'ai le droit non?

— Je n'ai jamais dis que tu n'avais pas le droit, j'ai juste dis que tu en a beaucoup trop mis. Me certifie-t-il en m'arrachant le flacon des mains, le refermant et le rangeant.

Je range mes affaires dans mon sac et pars m'emmitoufler dans sa couette qui elle aussi a son odeur imprégnée dessus. Je ramène mon doudou à ma main et mes paupières commences à sombre et à être attirées par les bras de Morphée tout doucement.

Il me rejoint, dos à moi et éteins sa lampe de chevet qui elle seule éclairais la pièce sombre. Je me sans frustrée et fait le premier pas. Je me retourne et lui tapote l'épaule.

— Qu'est ce qu'il y a?

— Je peux dormir dans tes bras?

Il ouvre en grand ses bras et je grimpe sur lui afin qu'il puisse m'encercler les hanches et dormir paisiblement. Je lâche un râle de plaisir et m'endors en humant une dernière fois sa bonne odeur.

22h41

Mon réveil a sonné il y a à peu près une minute et j'essaye comme je peux de réveiller Aaron pour partir. J'arrive enfin à le réveiller et le sortir du lit.

Nous nous préparons, de mon côté, je m'habille dans la salle de bain et lui dans sa chambre. La porte de la salle de bain toque et je pars la déverrouiller pour qu'il puisse entrer.

Il entre et prépare sa brosse à dents afin de ce les brosser. Moi je suis en train de le faire et j'ai terminé alors je crache tout le dentifrice de ma bouche, rince ma bouche ainsi que la brosse à dents et la range puis sors mon mascara afin d'en mettre avec un peu d'anti-cernes.

— Tu n'as pas besoin de mettre tout ça, tu es t'es belle au naturel et ne t'en fait pas, mes parents vont t'adorer. Me sourit il après avoir recracher son dentifrice et essuyé sa brosse à dents.

Imagine ils ne vont pas m'aimer?

— Mais arrête, ils vont t'adorer.

Je le regarde à travers le miroir et lui souris avant de refermer le tube d'anti-cernes que je n'ai pas mis au vu de ce qu'il m'a dit. Je range tout dans ma trousse de toilette et la ferme avant de rejoindre la chambre, d'ouvrir ma valise et la ranger dedans pour que ma valise soit au complet avant de la fermer complètement.

J'attends Aaron assise sur le lit. Il arrive prends sa valise ainsi que la mienne et me dit de le suivre d'un coup de tête. Nous descendons les escaliers et trouvons la plupart des garçons en train de regarder fait and furious 8 à la télé.

Aaron part mettre les valises dans le coffre et moi je me,pose derrière le canapé afin de regarder un peu le temps qu'il charge les valises. J'ai oublié mon sac en haut donc je monte vite, le récupère et met un des tee shirt d'Aaron, ferme mon sac et redescends.

Je traverse le long de la propriété et trouve Aaron en train d'allumer le moteur de la voiture pour qu'elle soit directement prête. J'ouvre la portière arrière, devant mon siège et pose mon sac.

Je contourne la voiture et trouve Aaron au téléphone. Je me pose devant lui et écoute la conversation sans entendre l'autre interlocuteur puisque il n'a pas mis en haut-parleur.

On s'apprête à partir là.

— Oui.

— Non.

— Non, mais maman, elle est adulte elle va se débrouiller toute seule, elle me saoule.

Entre deux mot il n'arrête pas de me faire des grimace, se qui me fait éclater de rire.

— Hein?

— Bien sûr, attends deux secondes.

Il enlève le téléphone d'entre son oreille et son épaule et appuie dessus, j'entends directement une voix féminine.

Elle m'entends la?

— Oui elle t'entends. Souffle-t-il en levant les yeux au ciel.

Alors Athéna, comment tu va? Me questionne-t-elle.

Je prends le téléphone des mains d'Aaron et lui réponds,

— Très bien et vous madame Rodriguez?

— Tu peux me tutoyer et m'appeler Anabelle, ça me fait vieille si tu me vouvoie, je vais très bien. Pour tout te dire, j'ai une hâte monstrueuse de te voir, Aaron m'a tellement parler de toi que je connais tout sur toi, ton plat préféré, tes choix préférés etc...il ne s'arrête plus à ton sujet.

— Moi aussi j'ai très hâte de te voir, Aaron m'a dit que vous êtes une superbe maman à l'écoute d'Aaron malgré lui pour le coup.

Elle rit et je me joins à elle quant à Aaron qui se contente de râler et d'afficher un petit sourire en coin.

— Allez je vais vous laisser mes petits je vais me coucher, à demain avec grande hâte ma belle petite Athéna.

— À demain, Anabelle. Lui répondis je tout en souriant.

Elle raccroche et je tends le téléphone à Aaron après l'avoir éteint. Il me sourit et je lui rends son sourire avant d'ouvrir les portes de la Range Rover et de nous attacher.

Il fait marche arrière et avance jusqu'au portail qu'il ouvre de la clé magnétique avant d'accélérer et de refermer derrière lui.

01h36

Cela fait bien plus d'une heure que nous roulions. Enfin, Aaron roule et moi je le regarde. Je n'ai jamais remarqué ses fossettes qu'il a dès qu'il sourit ou même qu'il rit. J'adore ces yeux puisqu'ils sont d'un bleu océan azur magnifique, avec des petites touches de vert par ci par là où coin de ses iris.

Il est magnifique...

Sous grand dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant