Chapitre 7

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Je me réveille peu à peu. Ma tête me fait mal, on dirait qu'il y a des tambours qui font que de me frapper la tête à mainte et mainte reprises.

J'essaye d'ouvrir les yeux mais la lumière me fait extrêmement mal aux yeux. J'arrive après plusieurs essayé à ouvrir les yeux.

Je me trouve dans une pièce avec des lumières tamisées, il n'y a aucun meuble à part la chaise ou je suis assise et les murs gris, blancs cassé a vrai dire, rempli de tâches d'humidité.

Il y a une forte odeur de renfermer et d'humidité qui mélange le tout qui rends tellement pas bon.

J'essaye tant bien que mal d'avaler ma salive. Tellement ma gorge est sèche ça me fait mal à la gorge.

T'es réveillé connasse?

Myriam.

Je sens un morceaux de métal se coller à ma tempe et un cliquetis s'entend.

Je t'avais dis de ne pas prononcer mon nom, tu le sali.

Sale pute, papa est mort de ta faute!

Ça tu t'en fou, tu lui faisait la gueule puisque il n'à pas fêter ton anniversaire mais suis de sa belle fille.

Et toi? Il t'a quitté comme une lâche!

La ferme!

Non! Il t'a quitté tu t'es retrouvé à la rue. Tu utilisais mon argent que papa mettais sur mon compte pour payer la maison et à manger parce que tu savais qu'il était riche et que tu a fait l'ingrate et tu m'as jamais acheté de jouets.

Ferme ta bouche de petite merdeuse sinon je tire.

Papa a toujours su que tu aurais été une mauvaise mère et une mauvais femme.

Il avait raison. Continue-je.

Un coup de feu retenti et ma cuisse me fait atrocement mal.

Salope. Grimace-je entre mes dents

Le sang coule de plus en plus, le long de ma cuisse et je chercher un moyen de me sauver.

Elle sors de la pièce par une porte de l'autre côté de ma chaise. Trois hommes arrivent par la suite, ils sont très baraqué, que vêtu de noir et me regard avec un regard glaçant.

Ils s'approchent dangereusement de moi. D'un coup, le premier gars arraché le haut de mon pyjama dévoilant ma poitrine nue. Un autre baisse mon short sans aucune délicatesse, me faisant mal à ma cuisse.

Je suis à présent à moitié nue et il me comptemple. Il commencent à tirer mes cheveux et à toucher tout mon corps.

Ces gars là sont pires que des porcs...

Ils profitent de moi et j'en profite le temps qu'il ne me regarde pas pour essayer de me défaire de la corde qui scelle mes mains mais en vain.

Je hurle de toute mes forces mais pareil, en vain. Mes hurlement résonnent mais ne font pas d'éco pour appeler à l'aide...

Je suis foutue

Je remarque que le gars dos a moi à un couteau au dessus de sa ceinture. Je déplace ma chaise assez pour pouvoir l'attraper mais je me prends une bonne gifle.

Je réussis à attraper le coteau très délicatement et coupe la corde. Après une minute la corde se coupe enfin et je fais genre t'avoir toujours les mains attachées pour ne pas capter l'intentions et pas me faire frapper, qui sait, à mort.

D'un coup, je dégaine le couteau et planté un part un les gars. Je les assainent de plusieurs coup de couteau pour être bien sûr qu'il soit, soit mort, soit endommagé.

Je le lève silencieusement attrape le short et le haut de pyjama et remet mes habits. J'ai beaucoup de difficulté à cause de la balle qui est toujours dans ma jambe.

Je sors pars la porte d'ou est entré les hommes et me faufile entre les couloirs. Des voix que j'entends sont très proche mais vu que je fais doucement j'ai pas peur.

Mes cheveux sont tiré pas une main me faisant tourner la tête vers la personne.

— Tu croyais pouvoir t'échapper, salope?

Je sors le couteau de derrière mon dos et lui plante en plein dans le ventre. Elle se tord de douleur se qui le fait beaucoup rire intérieurement.

Je longe les couloirs et tombe sur un escalier. Je le monte et trouve une sortie. J'ouvre la porte et mes pieds nu, rencontré l'herbe fraîche et l'humidité de la tombée de la nuit, mouille mes pieds.

On est quel jours là?

Ma cuisse et ma tête me fait extrêmement mal mais je résiste et sors par un trou au fond de la cour dans un grillage.

Je marche dans la rue et trouve un restaurant de motard ouvert. J'y entre et l'odeur de la bonne nourriture vient me frapper délicatement le visage.

Les bruits de personnes qui rigolent entre elles me fait plaisir à entendre.

— Vous voulez quoi, jeune fille?

Je tourne la tête vers cette voix et trouve ma tante. Elle fait tomber au sol le verre qu'elle était en train d'essuie et cours pour me prendre dans ses bras.

Je lâche le couteau au sol et la prends moi aussi dans mes bras. Bizarrement ça ne me gêne pas de l'avoir dans mes bras.

— Qu'est ce qu'il t'arrive, ma douce petite Athéna jolie?

— Maman, elle a recommencer mais en bien pire dans l'entrepôt la elle m'a tirer une balle à la cuisse j'ai mal...aide moi tante Rose, je t'en suppli! Dis en m'effondrant de pleure.

Oh mon dieux, vient suis moi je vais te soigner et tu pourras téléphoner quelqu'un qui pourras te chercher.

Elle m'emmène dans un petit bureau où se trouve mon oncle. Elle lui dis que je suis gravement blessée et que sa sœur a recommencer qu'il faut lui apporter un téléphone.

Il part cherche rue téléphone et reviens vite avec. Pendant ce temps, Rose me soigne en retirant la balle, me désinfectant et me mettant un bandage.

Elle me laisse téléphoner tranquillement en sortant et qui si jamais il y a un problème, je l'appelle.

Je tape le numéro de Aaron et attends.

Allez réponds!

Aucune réponse. Je réessaye et cette fois ça décroche.

— Allo?

— Aaron...

— Athéna? T'es ou? Tout le monde s'inquiète on est à ta recherche depuis deux jours? Il se passe quelque chose? Dis moi et j'arrive?

— Le restaurant, il s'appelle la bonne franquette de Rose. Viens me chercher tout de suite!

— Je fais du mieux que je peux donne moi une bonne heure de route et j'arrive!

Sous grand dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant