Chapitre 18

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Je suis dehors à attendre Jace enrouler dans ma veste, il est parti rapidement se changer et je suis avec mes sac à me balancer d'avant en arrière nerveuse. Des bruits de clés arrive à mes oreilles et la porte d'un garage s'ouvre sur la Mercedes qui nous a conduit ici hier. Je m'approche de la voiture sans l'attendre et une pensé pour mon frère Césario me parviens, lui, son kiffe été les voitures. Pas intéresser par le poste d'Alpha, il a ouvert un garage aux abords de notre territoire, lui et mon beau-frère Tom s'était associés et tous Phoenix aller chez eux pour la réparation de leurs voitures sans compter les personnes de passages qui avait eu des crevaisons et autres problèmes.

Un sourire pris place sur mes lèvres en me rappelant des soirées que je passer à son garage, à l'aidez avec de la paperasse, normalement c'est sa jumelle Clarisse qui s'en occuper mais elle a eu besoin d'un coup de main quelques fois et vu que tout ce que j'aime faire est d'aider les autres et bien, c'était pour moi.

Jace ouvrit sa porte me ramenant sur terre, à mon tour je pris place sur le siège passager avec mes sacs à mes pieds. Sans aucuns mots, il démarra en actionnant le chauffage pour moi, ça ne m'arrange pas qu'il m'accompagne puisque je ne compte pas aller en cours aujourd'hui mais je vais devoir la jouer fine et attendre qu'il parte pour rentrer chez moi, puisqu'un système de sécurité a été mis en place, je me sens plus rassurer.

- Je suis désoler pour ce matin.

Tournant la tête vers lui, je ne réponds rien. Tu m'étonne qu'il soit désolé, me confondre avec son âme-sœur morte, ça ne doit pas être très correcte vis à vis de la sœur de la moitié de son cousin. Rien qu'en le disant, ça me donne mal à la tête.

A son tour, il me regarde mais je détourne le regard pour fixer l'extérieur. Que voulez-vous que je lui dise, " Oh, je ne t'en veux pas de vouloir me pécho car je ressemble à un fantôme". Mieux vaut que je me taise sur ce coup-là.

- Tu as entendus ?

- Oui, tu es juste à côté et je ne suis pas sourde donc oui j'ai entendu.

Bon, je l'ai dit plus méchamment que voulu mais je n'ai pas pu m'en empêcher, il me prend vraiment pour un bouche trous. Ça me fait mal mais il y est hors de question qu'il s'en aperçoive. Sur le reste du trajet, nous n'échangeons pas un mot et une fois sur le parking de la fac, je sors en le remerciant à la vas-vite mais sa main retient mon poignet. Me tournant vers lui, je ne le laisse pas parler en prenant les devants.

- Écoute, tu es le prochain Alpha et je te dois le respect, on sera amené à se voir à cause de nos familles mais fait-moi plaisir, reste éloigner, ça ne me fait pas spécialement sauter au plafond que tu me confondes avec une morte.

- Fait attention à ce que tu dis, grogne-t-il.

- Je ne suis pas un pansement, point barre.

Claquant la porte après avoir récupérer mon poignet, je me dirige vers mon bâtiment qui à plusieurs entré donc j'entre dedans et ressort de l'autre côté à l'abri des regards. Encombrés de mes sacs, je les traîne jusqu'à l'appart en râlant puis au bout de 20 minutes, souffle de soulagement en m'asseyant sur mon lit. Allant ranger mes affaires, je vérifie que toute nos affaires sont là puis regrette d'être venu ici.

Nous aurions dû aller en Alabama pour le coup.

                                                                      *

Flora arriva en fin d'après-midi et me rejoins dans ma chambre, elle me regarde bien installer dans mon lit, dans le noir et devant un film sur l'ordinateur avec un plateau de cochonnerie à mes côtés.

- Tu es là depuis combien de temps ?

- Depuis ce matin, je ne suis pas aller en cours, avouais-je.

Flora me regarde blaser mais je ne m'en formalise pas puisque je la désespère. Mais elle aurait dû s'en douter qu'avec ma mémoire retrouver, que me voir assise sur une chaise toute la journée, ça ne serait pas mon truc mais passons, je ne suis pas obligé d'y aller et à part aller dans la salle de sport, je ne compte pas y retourner. Flora se lève en tapant dans ses mains.

- Aller debout,

- Pourquoi ça ? Je suis très bien là où je suis.

- Ce soir on sort. Florian veut me faire découvrir une boite de nuit super et tu viens avec nous.

- Il y aura Jace ?

- Oui.

- Bah alors je reste ici.

Elle soupira en reprenant place sur mon lit.

- Bon dit-moi ce qu'il se passe avec lui.

- Il veut m'utiliser comme pansement puisque je ressemble à son âme-sœur.

- Il te la dit ? grogne-t-elle.

Secouant de la tête, je lui raconte le moment de hier soir dans ma chambre, celui de ce matin chez Jace en terminant par le trajet en voiture. Bien que mon tatouage réagis à sa présence, je dois l'ignorer et passer à autre chose. Il n'a plus l'air si malheureux que quand je l'ai rencontré donc qu'il se débrouille.

- Raison de plus pour venir, tu t'amuseras.

- Je préfère rester tranquille à regarder des films.

- Oh aller Caly, ça fait longtemps que nous ne sommes pas sorties et je ne veux pas te laisser seul.

Je souffle en lui donnant raison, c'est vrai que cela ne m'a pas aidé hier soir donc je lui certifie ma venue et elle partit fouiller dans mon placard afin que j'aie quelque chose de convenable à mettre. Elle sort deux robes et me les présentent. La rouge à bretelle moulante fendu pour montrer une jambe avec un beau décolleté et une robe noire moulante torsadé à ruché découpe à manche courte et sans hésiter je choisie celle-ci.

- Tu me laisse finir mon film et je vais me préparer.

Je suis en train de regarder " Le cercle des neiges" et cela raconte un crash d'avion et explique comment les survivants ont tenue deux mois et demie seul dans les montagnes des Andes et ce film est prenant, me posant seulement la question que je voie plusieurs fois un briquet et que personne ne pense à faire un feu pour au moins se réchauffer mais ce n'est jamais arriver. 

Pourquoi ? Bonne question.

Bref quand je termine ce film il est près de 18h donc je vais me rafraichir car je n'ai pas besoin de prendre de douche puisque je n'ai clairement rien fais de ma journée et vais m'habiller avant de me maquiller et me coiffé de cette perruque qui me sort par les trous de nez. Tout comme ses lunettes et j'espère ne pas avoir réellement besoin d'une paire une fois que tout sera terminer. Allant commander chinois, je rejoins Flora dans sa chambre en la voyant envelopper dans une serviette devant sa penderie en train de réfléchir à sa tenue.

Bon je vais lui donner un coup de main, le temps que la nourriture arrive.

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Chapitre 18 fini.

Bisous.

Marion.

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