Pourquoi moi...?

Chapitre 43

Liam, Lily, Lydia, Scott et Malia sont au commissariat, deux loups ont étaient arrêter et les cinq amis sont entrain de parler avec le shérif pour les libérer.

STILINSKI : Je ne les laisse pas sortir. Nous avons deux corps couverts de marques de coupures. Ils ont avoué avoir tué deux personnes.

SCOTT : Chasseurs .

STILINSKI : Des gens , Scott.

Lydia et Lily se regardent agacées.

STILINSKI: Auto-défense ou pas, ils sont toujours là. Les autres gars sont morts. Et il y a un processus que je dois suivre.

SCOTT : Ouais, mais tu sais ce qui se passe ici. Ce n'est pas sécuritaire pour eux.

STILINSKI : C'est peut-être en fait l'endroit le plus sûr pour eux à Beacon Hills. Au moins, je peux les protéger ici.

LYDIA : Est-ce que Stiles penserait ça ?

MALIA : Surtout si un de vos adjoints travaille pour Gérard ?

STILINSKI : Je n'y crois pas. Je connais ces députés comme ma poche. Je connais leurs familles, leurs enfants, leurs frères et sœurs... Je sais qui ils sont et je leur fais confiance.

LIAM : Vous savez qui ils étaient . Il y a quelque chose là-bas. Tout le monde a peur et la situation empire.

LILY : Oui, vous ne pouvez pas protéger deux loups-garous des chasseurs s'ils sont déjà à l'intérieur.

Le shérif réfléchit indécis, puis s'adresse à la fille qui est assise derrière les amis.

STILINSKI : C'est Quinn, n'est-ce pas ? Tu es sûr que c'est un adjoint qui t'a tiré dessus ? Absolument sûr à cent pour cent ?

La jeune fille hoche la tête et regarde le sol.

QUINN : J'ai vu des lumières clignotantes... une voiture de police... J'ai vu un badge, une arme à feu, et puis ils m'ont tiré dessus. Ils m'ont tiré une balle dans la tête . Et c'est tout ce dont je me souviens.

STILINSKI : Il y a quelques trous dans son histoire.

LYDIA : Peut-être parce qu'elle a un trou dans la tête.

Malia et Lily se regardent puis rigole, tout le monde les dévisages.

MALIA : ... je suis désolée.

LILY: Désolée.

SCOTT : Shérif, nous devons faire sortir Jiang et Tierney avant que quiconque ne réalise qu'ils sont là.

STILINSKI Et les emmener où ? Je ne peux pas les laisser partir.

LILY: Mais si vous les gardez ici, ils sont...

STILINSKI : Écoute, s'il y a un problème...

Une lumière provenant de l'extérieur éclaire tout le commissariat. Le shérif et ses coéquipier se dirige vers la salle principale.

STILINSKI : Eloignez vous des fenêtres ! Rangez ces armes.

PARRISH : Je suppose que vous savez qui est là-bas.

STILINSKI : J'ai une assez bonne idée. Ils seront armés jusqu'aux dents, ce qui veut dire que je ne le serai pas.

Le shérif pose son arme sur la table sous le regard interrogateur de Lily et Malia.

PARRISH : Je viens avec vous.

STILINSKI : Non, vous allez appeler des adjoints, vérifier les sorties et espérer que nous ne sommes pas complètement encerclés. Et gardez l'œil ouvert, assurons nous que nous sommes tous du même côté, ici.