~ 𝐋𝐢𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐧𝐞́𝐞 ~
{ 𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝟒𝟎 }
⛓️💥
Les premières lueurs de l'aube commencent à percer à travers les fenêtres brisées. Le froid de la nuit laisse place à une légère chaleur matinale. Nous nous préparons à partir.
— On bouge. Restons discrets et rapides. La villa n'est pas loin, mais il faut éviter d'attirer l'attention, dit Erkan.
Nous descendons les escaliers en silence et sortons de l'usine.
Après une marche prudente à travers les ruelles et les quartiers déserts, nous arrivons enfin à la villa.
À l'intérieur, nous retrouvons le reste de notre mafia. Les visages sont sérieux, conscients de la gravité de la situation. Merwan nous attend dans le grand salon, entouré de nos conseillers.
Ce dernier n'est pas venu car maintenant qu'il est marier, il essaye de s'en éloigner le plus possible.
— Vous êtes enfin de retour. Racontez-moi tout, demanda Merwan.
Je prends une profonde inspiration et commence à lui expliquer les événements, les trahisons, l'attaque. Le meilleur ami de mon frère écoute attentivement, ses traits se durcissant à mesure que je parle.
— Ils ont osé s'en prendre à nous. Ils le paieront cher. Nous devons frapper vite et fort, avant qu'ils ne puissent s'organiser, cria avec détermination, le meilleur ami de mon frère.
— Nous avons quelques idées, mais il nous faut des ressources et des hommes. Ils ne s'attendent pas à une riposte immédiate,répondis Sierra.
Merwan hoche la tête et se tourne vers ses conseillers.
— Préparez tout ce qu'il faut. Nous frapperons ce soir. Montrez à tous ce qui arrive à ceux qui trahissent les Djellouli, ils sont de la chance que Zayan n'est pas avec nous, ils auraient était tous morts l'heure qu'il ai, dis-je.
Les préparatifs commencent immédiatement. Nous nous armons, établissons des plans détaillés et motivons nos hommes. L'atmosphère est électrique, chargée de la promesse de vengeance.
— Ce soir, nous reprendrons ce qui est à nous. Et ils regretteront le jour où ils ont osé nous trahir alors qu'on avait une collaboration depuis des années, dit Merwan en s'adressant à tout nos hommes.
— Pour la famille Djellouli, Cria Malik.
— Pour la famille Djellouli.
La nuit tombe, et avec elle, le calme avant la tempête. Nous nous préparons à partir, unis dans notre mission. Cette fois, nous ne laisserons rien au hasard.
Notre vengeance sera totale, et personne ne se dressera contre nous sans en payer le prix fort.
Nous atteignons la première ligne de défense de nos ennemis. Ils sont peu nombreux et semblent confiants, trop confiants. Je lève la main, un signal pour que nous nous dispersions et prenions position.
Nos hommes se faufilent comme des ombres, prenant les gardes par surprise et les neutralisant en silence.
— En avant. Pas de pitié pour ceux qui nous ont trahis.
Nous avançons plus profondément dans leur territoire. Nous savons où ils se cachent, où ils pensent être à l'abri. Mais ils ne connaissent pas notre détermination, notre rage.
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𝐋𝐢𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐂𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐞́𝐞 [ en réécriture]
RomansaNouhayla, une femme de 25 ans, infirmière en milieu carcéral. Un jour, elle entre dans une prison où elle commencera à travailler. Cependant, elle ignore que dès qu'elle franchit le seuil de cet établissement pénitentiaire, sa vie basculera. Quant...