Spritz

Chap 12

ATTENTION CE CHAPITRE PEUT CONTENIR DES PASSAGES RÉSERVÉS À UN PUBLIC AVERTI. N'HÉSITEZ À QUITTER LA PAGE SI VOUS ÊTES SENSIBLES AUX SCÉNARIOS À CARACTÈRES SEXUELS.

          Au fur et à mesure que j'avance dans le couloir, je remarque que la lumière de la chambre d'amis est toujours allumée. Cela signifie que Madame Johnson ne dort pas encore.

Je vais lui dire que je l'ai malencontreusement vue nue en train de se donner du plaisir dans ma salle de bain. J'ai de quoi prendre le dessus pour cette fois.

J'avance à petits pas pour ne pas risquer de trahir mon approche en faisant grincer les parquet. Une fois arrivée, je stagne devant la porte. Je prends une grande inspiration et je frappe doucement.

- Entrez, chuchote une voix.

J'abaisse la poignée et je pousse la porte lentement. J'entre, puis je la referme avec la même lenteur. Je n'ai pas encore osé regarder Madame Johnson, pourtant je sais qu'elle ne se gêne pas.

- Vous mettez des cravates pour dormir ? me demande-t-elle.

J'ignore sa question car je n'ai pas de réponse à lui donner à propos de cet accessoire. Je suis venue lui parler d'une toute autre chose.

- J'espère que vous avez bien nettoyé la douche après votre passage, Miss Johnson. Je crains y avoir retrouvé de la cyprine, mens-je.

- Comment ça ? demande-t-elle en jouant l'innocente.

- Je sais que vous vous êtes touchée dans ma salle de bain.

- Je vous demande pardon ? s'étonne-t-elle en faisant toujours mine de ne pas comprendre.

- Il est un peu tard pour vous excuser, Miss Johnson, dis-je en volant une de ses répliques.

Je la vois rougir. Je lui lance un regard assassin alors qu'elle essaye de couvrir sa honte avec la couverture. C'est alors que je remarque qu'en dessous de son tee shirt oversize elle porte une de mes culottes.

- Enlevez-moi ça tout de suite, lui ordonné-je en fixant le tanga noir qu'elle porte.

- Vous m'aviez dit de me servir dans votre garde-robe, se justifie-t-elle.

- Pas au point de porter mes petites culottes ! J'ai des bien plus petites fesses que vous. Vous allez me l'agrandir !

- Mais je n'ai rien d'autre à me mettre Mademoiselle Marinato, dit-elle en implorant ma pitié.

Malheureusement pour elle, je ne cède pas sous la pitié.

- Bon, très bien. Je vais devoir me charger de vous l'enlever moi-même.

Je m'avance jusqu'au lit. Je grimpe dessus, un genou après l'autre, puis je tire la couverture pour dévoiler son corps.

Je peux enfin voir de près ses cuisses nues et fermes. Elles ont l'air douces au toucher. Je la chevauche et pose mes mains sur ses jambes.

- Dernière chance, Miss Johnson. Enlevez-moi cette culotte ou je m'en occupe, dis-je avec autorité.

- Allez-y, me répond-elle.

- Je veux vous entendre me le dire mot pour mot.

J'ai l'impression de revivre la scène où elle m'a fessée, mais cette fois-ci c'est moi qui domine la situation.