ATTENTION CE CHAPITRE PEUT CONTENIR DES SCÈNES À CARACTÈRES SEXUELS. JE VOUS INVITE À QUITTER LA PAGE SI VOUS Y ÊTES SENSIBLES. BONNE LECTURE.
Une fois qu'elle a attaché les menottes aux quatre coins du lit, elle m'ordonne de m'allonger sur le dos. Je dois avouer que je n'ai jamais eu ce genre d'expérience. Pourtant, j'ai toujours voulu, mais mes précédents partenaires sexuels n'étaient pas intéressés par ces pratiques.
J'ai toujours mon bas sur moi, ainsi que ma chemise entre-ouverte. Elle me chevauche comme tout à l'heure, mais cette fois-ci, ce n'est pas pour me masser. Elle boucle fermement la menotte de gauche autour de mon poignet, puis elle effectue le même geste pour celui de droite.
- Ce n'est pas trop serré ? s'enquiert-elle.
- Non, ca va, réponds-je en étant un peu gênée d'être soumise.
- Je peux enlever votre bas ? continue-t-elle.
- Oui, je vous ordonne même de le faire, rétorqué-je insolemment pour essayer de reprendre un peu le dessus.
- Sauf que ce soir, c'est moi qui donne les ordres. Pour la peine, je vous laisse votre bas.
Je n'aurais pas du faire la maligne. J'aurais tellement aimé qu'elle me déshabille. Je me sens à l'aise avec elle. Je sais qu'elle aime mon corps. Elle m'a mise en confiance.
- Pfff ! Je me fais toujours punir sans raison, râlé-je.
- Vous appelez ça vous faire punir ? me demande-t-elle. Vous n'êtes pas prête pour ce qui vous attend alors.
La situation me donne des papillons dans le ventre et même plus bas. Mes tétons me démangent. J'ai envie qu'elle me les touche. Au lieu de cela, elle attache mes chevilles aux deux autres angles. Mes jambes sont tendues.
- Avant que je n'entreprenne quoique ce soit, je vais vous donner une règle de sécurité, annonce-t-elle. Si vous voulez que j'arrête à tout moment, vous n'avez qu'à dire « Atlanta ».
- Quoi ! Ça veut dire que je ne peux plus dire votre prénom ?
- Vous n'aviez jamais été autorisée à le faire, rétorque-t-elle avant de dégager ma chemise pour y découvrir mes seins.
Mes tétons pointent déjà. Elle m'embrasse d'abord dans le cou, puis descend petit à petit jusqu'à ma poitrine. Elle lèche lentement le bord de mes seins. Puis, elle fait des ronds avec sa langue autour de mon téton droit, alors qu'elle fait rouler mon téton gauche entre ses doigts.
J'émets un petit bruit à force de contenir mon excitation.
- Ça ne fait même pas une minute que je vous touche. Vous pourriez au moins faire semblant que je ne vous excite pas, me taquine-t-elle.
Elle se relève pour prendre le jouet que je lui ai ramené.
- Vous aviez l'air curieuse dans ma salle de bain, Miss Marinato. Maintenant, c'est à mon tour d'être curieuse.
Elle allume ce qu'elle tient entre les mains. J'entends le bruit des vibrations.
- Je me demandais l'effet que cela vous ferait si je posais ce vibromasseur sur votre clitoris, continue-t-elle.
Elle ne plaisante pas et guide le jouet entre mes jambes. Elle effleure mon clitoris, et même si elle n'a pas appuyé très fort, j'ai ressenti les vibrations dans tout mon corps.
J'en peux plus, elle fait durer la tension. J'ai juste envie qu'elle pose ce foutu vibro sur mon sexe et ne bouge plus jusqu'à ce que je jouisse.
Au lieu de ça, elle émet des petites pressions régulières qui me procurent un plaisir immense. Je ne peux même pas serrer les jambes, elles sont bien trop tendues.
Plus je m'approche de l'orgasme, plus ses pressions sont courtes. Mon clitoris devient de plus en plus sensible. J'espère qu'elle ne va pas s'arrêter avant que j'ai obtenu un orgasme cette fois.
- Ne vous arrêtez pas At... bégayé-je. Miss Johnson.
Je jouis, puis elle écarte immédiatement le vibromasseur de mon sexe pour me laisser le temps de me remettre de mon orgasme.
J'ai failli dire son prénom. Tout se serait arrêté. Je n'aurais pas pu jouir. C'est horrible comme mot d'alerte.
- Quand pourrai-je vous tutoyer ou vous appeler par votre prénom ? lui demandé-je.
- Jamais. Du moins, pas tant que je serai votre professeur.
C'était la meilleure expérience sexuelle de ma vie ! Je ne vais pas pouvoir dormir après cela. Je veux recommencer encore et encore. Je ne sais pas si c'est sain de baiser ensemble, étant donné que l'on a pas posé de mot sur notre relation.
Elle me détache, puis me laisse un léger baiser sur le front. C'est son tout premier geste affectif.
- Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? dis-je.
- Un deuxième round ? propose-t-elle.
- Je ne parle pas de ça. Je parle de notre relation.
- Je ne suis pas du genre à sortir avec quique ce soit. Je ne fais que flirter. Mais, rien ne nous empêche de s'offrir des orgasmes de temps en temps, à condition d'être discrètes. Je ne veux pas perdre mon job, s'inquiète-t-elle.
- Et moi, je ne veux pas me faire virer.
Si l'on s'en tient au plan, elle s'attache à moi. Je la manipule pour obtenir de bonnes notes en m'assurant un brillant avenir. Puis en attendant, on baise en cachette sans rien se devoir. Il n'y a pas plus parfait comme scénario.
Après avoir discutées de tout et de rien, je sens mes yeux se fermer. Le bout des doigts de Madame Johnson m'effleure la nuque alors que je m'enfonce dans le matelas.
Ce soir, elle m'a servi un verre digne de ceux que l'on reçoit en restauration. Elle m'a fait couler un bain. Elle m'a massée. Ensuite, elle m'a baisée comme on ne m'avait jamais baisée. Puis, elle me fait des papouilles pour m'aider à m'endormir. Je suis traitée comme une princesse chez elle.
- Si vous continuez de me chouchouter à ce point, je vais finir par tomber amoureuse de vous, murmuré-je avant de m'endormir.
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Spritz
RomanceKiara, risque de mettre en péril son avenir scolaire si elle continue de se comporter de manière aussi insolente en classe. Elle fait mauvaise impression au près d'Atlanta, sa professeur d'anglais qui n'hésite pas à la remettre à sa place. De cette...