Connard

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Irina

Hier on a donc visiter les plages et nous venons de partir pour nous diriger vers un autre endroit.

Je ne sais pas où on va et il ne veut pas me le dire. Ce qui m'énerve plus qu'autre chose, je n'aime pas les surprises.

Surtout que bien sûr le trajet ce fait dans le silence.

- On va où ? Demandais je une nouvelle fois.

- Tu verras. Dit il.

- Mais dis moi c'est vraiment chiant.

- T'as geule Irina.

- Pardon ? Mais tu casses les couilles c'est tous Tyler ! Dis moi.

- Non.

- Si

- Non.

- Si.

- Non.

Nous continuons ce petit jeux pendant plus d'une heure jusqu'à qu'il s'agace et arrête.

Quel naze ce mec.

Nous arrivons enfin à notre destination mais il fait déjà nuit alors je ne sais même pas où nous sommes.

On se couche et je m'endors assez vite.

Mon crâne me procure une douleur atroce et je ne comprends pas la provenance.

Je suis plongé dans le noir. J'essaye de me repérer en bougeant mes mains mais elles sont attaché derrière mon dos.

Putain c'est quoi cette merde ?

Je regarde autour de moi mais je n'arrive pas à percevoir quelque chose. La pièce est plongé dans un noir profond et intense.

- Tyler ? Chuchotais je.

Aucune réponse. Il n'est pas là. Je ne suis pas dans le camping car et je suis attaché.

Putain non.

La porte s'ouvre laissant rentre un rayon de lumière qui éclaire la pièce.

Je me trouve dans une ridicule cave avec seulement la chaise où je suis assises.

Une femme pénètre dans la pièce et me regarde d'un air mauvais.

Roh elle veut quoi celle là.

- Qu'est ce que tu veux ? Demandais je.

- Des infos sur Tyler. Dit elle.

- Jamais. Tu peux aller te faire foutre.

- Oh je vois pourquoi il t'apprécie. Tu as du caractère.

- Raconte pas t'as vie je m'en fous.

Elle écarquille les yeux l'air offensé mais pourtant elle ne fait rien.

- Bon c'est tous ? Demandais je.

- Tant que je n'aurais pas de réponse tu ne partiras pas. Dit elle sur d'elle.

- Ok bah sois patiente. Dis je d'un air insolent.

Elle me regarde sans rien dire durant quelque minutes.

Elle veut mon cul ou quoi ?

- Bon tu peux partir. Tu pollues ma pièce. Dis je.

- Petasse.

- Je sais.

Elle sort de la pièce et deux hommes rentre après elle.

- Vous venez me frapper pour que je crache le morceau ? Demandais je.

ManciniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant