Mancini

Casse couille

Irina

- Bon aller t'as geule avec t'es beau discours. J'en ai eu ma dose maintenant tu peux aller te faire encule et me laisser tranquille.

Je m'éloigne de lui après avoir dire ça.

- Connard va. Dis je avant de sortir.

J'entends des pas se précipiter un peu trop vite dans ma direction et je me retourne le pistolet charger devant sont front.

- Tu n'oseras pas. Dit il.

- Je suis capable de énormément de chose. Dis je.

- Tire alors. Dit il.

- Ok.

Je le regarde dans les yeux et il ne bouge pas d'un poil.

Ses yeux vert transperce mon âme. Je sais qu'il me comprends comme un livre ouvert mais je ne dois rien laisser passer même si je sais que je suis incapable de le tuer.

Je baisse mon arme et je lui tire dans la jambe avant de me retourner et d'avancer vers une limousine.

- J'en étais sûr. Dit il dans mon dos en rigolant.

- Me chauffe pas Mancini. Dis je.

- C'est vrai tu vas mouiller sinon. Dit il en souriants

- Dit il celui qui bande comme un porc quand je m'approche un peu trop mais après tous ça n'est qu'une erreur.

- Connasse.

- Connard.

- Va crever.

- De même pour toi Mancini.

- Que le jeu commence Belinski.

- Je ne joue pas avec les perdants. Dis je.

- Bon t'as geule et viens aux moins a la maison se soir ça évitera que tu dormes dehors.

- Ok.

On avance vers la voiture de Tyler et on se dirige vers la maison. Lorsqu'on arrive je vais à la douche et je vais me coucher.

Mais bien sûr je ne suis pas fatiguer et flemme de rester chez lui je ne voulais pas batailler j'ai la flemme la.

Il me faut de la tune même si j'en ai déjà beaucoup, j'en veux plus pour pouvoir vivre sans travailler et je sais ce qui peut m'aider.

Je me change et je descends doucement et pars chance il n'est pas en bas. Je descends dans le garage et je prends les clés de la McLaren.

Une fois arrivé devant je l'admire. Les voitures de sport c'est ma came et j'adore ça. La j'ai opté pour la McLaren P1 histoire d'être gâté niveau sensation.

Je monte à l'intérieur et je démarre à fond les ballons. Je suis sûre à 100% que je l'ai réveiller et puis je m'en carre l'oignon. Il peut même me suivre j'en aurais rien à carré.

Je me dirige vers le centre ville de Rome pour aller à un endroit précis où je vais me faire un jolie paquet de fric.

Je me gare devant et je rentre à l'intérieur. Je me dirige vers le bureau du patron et je rentre sans toquer.

Il lève les yeux et esquisse un sourire en voyant.

- Tu reviens ?

- Oui je veux du fric.

- Alors t'es la bienvenue. T'as la piste pour toi on en a pas beaucoup se soir.

- Tu veux pas me faire plaisir.