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Irina

Cela fait deux semaine que je ne suis pas rentré à la maison et puis ils sont partis sans moi aux philippines...n'essayant même pas de me chercher ou de me contacter.

Il n'en avait absolument rien à fait c'est seulement lorsqu'il est rentré qu'il a essayer de reprendre contact avec moi en m'envoyant des messages.

Depuis tous ce temps, je suis dans une chambre d'hôtel aux 10 eme étages qui me donnent une vue splendide sur Rome.

Je me perds à regarder les gens marcher en essayant de deviner leurs émotions...

Des enfants, adultes et personnes âgé passe dans ces rues splendide. J'imagine qu'il y a des italiens comme des français, marocains, espagnols ect....

Mais mon regards se posent sur un couple assis sur un banc avec une glace à la main. Ils rigolent, s'enlace et s'embrasse ils ont l'air vraiment heureux ensemble...

Je rêverais de pouvoir avoir une vie comme celle là un jour, pouvoir avoir un enfant et un homme aimant qui me plaît physiquement comme mentalement.

J'entends la sonnerie de mon téléphone retentir à l'autre bout de la chambre ce qui me fit sortir de mes penser tristes et démotivante.

Le nom « connard » s'affichent, bien sûr que j'ai changer sont contact pff.

Je raccroche automatiquement en reposant le téléphone à sa place.

- J'ai besoin d'une douche froide. Me murmurait je à moi même.

Ces douches froides m'aide à oublier mes pensés qui pourrait nuire à ma concentration ou confiance en moi. Ce n'est pas le moment de tout relâcher mais plutôt d'être la femme forte que j'étais il y a seulement 1 mois.

Je rentre dans la salle de bain avant de poser mes affaires de rechange sur le bord de l'évier et de me déshabiller pour pouvoir aller dans la douche.

J'allume l'eau et les gouttes me font un bien fou...ces gouttes froide qui me font tous oublier ou plutôt qui me fait oublier mes faiblesses et qui me rappelle que je ne peux pas être faible dans mon monde.

Après de longues dans la douches je me décide enfin à en sortir. Je m'habille et je sors de la salle de bain en me séchant les cheveux.

Puis mon regard se pose sur lui...

- Qu'est ce que tu fous là ? Dis je énervé de la situation.

- Tu ne réponds pas à mes appels.

- Car je n'en ai pas envie.

- Tu peux arrêter de toujours tout dramatiser comme une gamine de cinq ans ? Demande t'il d'un ton insolent qui me donne envie de tout casser.

Je m'approche de lui avant de lui coller mon poing en pleine geule.

- La gamine elle t'emmerde. Dis je.

- T'es vraiment insupportable comme femme Irina !

- Lâche moi la grappe alors !

- Non.

- Et pourquoi ça ?

- Car tu as ramené un gosse à la maison et je ne comptes pas m'en occuper tous seul Irina ! Dit il agacé.

- Tu ne l'aurais pas tue, il ne serait pas avec nous. Dis je en baissant les yeux.

- Irina arrête de toujours trouver des excuses à tout et reviens à la maison. Dit il en levant le ton.

ManciniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant