LOS ESPOSOS

Chapitre 46

TW-AGRESSION SEXUELLE

Taylor 

— Ferme ta gueule. S'exclama Felix. 

Il était sur les nerfs depuis qu'il avait ouvert ses deux yeux. Personne ne pouvait contrer la colère de Felix encore moins celle d'aujourd'hui. Il avait allumé toutes les personnes qui avait tenté de donner les rênes à Rodrigo. Ce dernier n'avait même pas pointer le bout de son nez depuis un long moment. Mais nous étions bien trop occupées par les évènements présents pour y prêter attention. Il est une heure du matin, aucun signe de vie de Leyla et plus le temps passait, plus Felix semblait perdre la tête. 

Depuis son réveil, il était noyer d'appels auxquels s'il y venait miracle à ce qu'il y réponde il utilisait un ton agacé et insultant, ce dernier bien trop occuper à chercher la moindre piste pour retrouver la brune. 

Bien que cela ait été difficile à décrypter ses jours, mais je pense que maintenant il était clair, je ne l'avais jamais autant vu aussi désespérer que pendant ses dernières heures, aussi déchainer, jamais au paravent, il n'avait laissé une situation le rendre aussi dingue, ses émotions lors de situations compliquées ont toujours été calculer et géré à la perfection. Mais dès qu'il s'agissait d'elle, il devenait complètement incontrôlable, il n'avait aucun problème de montrer son inquiétude et sa peur. Il était prêt à se jeter au feu pour sauver cette fille pour qu'il avait juré ne jamais ressentir aucun attachement, cette fille qui du jour au lendemain avait commencé à se sentir mieux avec la présence de l'héritier du plus grand revendeur de cocaïne du Mexique. Il semblerait que cette indifférence qu'il avait tenté de construire autour d'elle ait finalement été inutile. Car ce dernier est tomber éperdument amoureux de ses yeux noisette. 

Il se leva de sa chaise et fit des tours en parlant au téléphone, au bout du fil se trouvait un de nos hommes qui ne semblait pas avoir trouver grand-chose en revisionnant les vidéos de surveillances du manoir qui avait pris feu. Depuis on était dans l'une résidence de Juan qui en mourant sont devenu celle de Felix. 

J'étais en train d'envoyer des mails aux acheteurs de cocaïne du Minnesota qui semblait un peu perplexe à l'idée de faire affaire avec Felix après la mort de son géniteur. Putain comment tu peux faire confidence à Juan et faire des manières quand un autre instable vient te vendre la même chose. 

Je le voyais fulminer aux moindres mots que prononçait l'homme au bout du fil. Ses yeux rouges dû à la fatigue complétaient son look d'hystérique. 

Il coupa son appel avant de regarder en ma direction. 

— Je ne le sens pas. Dit-il. 

— Dis pas ça, on va la trouver. Tentais-je de le rassurer. 

Ce qui était complètement inutile car s'il ne la voyait pas, il ne serait pas apaisé. 

— Tu as parlé avec les membres du conseil ? Lui demandais-je. 

— Même pas, j'ai demandé à Foster de géré ses conneries. 

— Fallait voir comment ces cons avait l'intention de donner le créneau à Rodrigo. 

— Il devait clairement aimer la situation ce chien, il apprécie se faire sucer par tout le monde cet enculer. Cracha-il. 

— Il ne s'est même pas ramener ce puceau. 

Il fronça les sourcils. 

— Il était où ? 

— En train de faire le deuil. Apparemment la mort de son père ne lui a pas plu. Dis-je. 

Le visage de ce dernier montra encore plus d'irritation. Mais alors que ce dernier allait dire quelque chose, il fut coupé par la porte qui fut ouverte brusquement.