LOS ESPOSOS

Chapitre 41

Leyla 

Il y avait un silence assourdissent, Felix ne disait rien, tout le monde échangeait des regards interrogateurs. Personne ne comprendrait cette tension qui perçait entre le père et son fils. 

— Mon fils, regarde ce que j'ai pour ta jolie mariée, en montrant le bijou, le magnifique collier de ta mère.

Il ne dit rien et se contenta de fixer le centre de la table. 

— C'était le préférer de sa mère, en s'adressant à moi, j'espère qu'il vous apportera autant de bien que cela a pu apporter à ma défunte femme. 

Personne n'avait rien dit, il était le seul qu'on entendait. J'observais tous les moindres gestes de ce dernier. Il semblait satisfait du silence qu'il avait créé. Je n'étais pas stupide, je savais que ce qui avait rendu Felix aussi tendu, c'était ce cadeau que son père m'avait offert. 

— Bon, merci pour votre cadeau, dit Rosa, mais Felix s'apprêtais à inviter Leyla à danser. 

Je me suis retourné pour la regarder avant que Felix ne prenne la parole. 

— Tout à fait, tu peux dégager. Grinça ce dernier. 

— Je vois, on vous rejoindra avec Eva. 

Il ne s'était pas fait plus désirer et était parti en direction de la sortie. Derrière lui, il laissa un silence qui fut très vite rompu par la présence de Taylor et Àlvaro, Taylor avait sali son costume noir avec ce qui me semblait être de la crème blanche. 

— Ce n'est pas vrai Taylor ? S'exclama Rosa en voyant son état. 

— Je lui ai dit, il ne m'a pas écouté. Dit Àlvaro. 

— Ce n'est pas grave, ce n'est qu'une veste. 

— Suis-moi, on va enlever cette tâche. Àlvaro tu pourrais aller me prendre mon stylo contre les tâches. Il est dans la chambre dans laquelle je me suis préparé. 

— Oui, boss. Râla ce dernier. 

Elle lui lança un regard noir qu'il évita avant de prendre les escaliers. 

Elle attrapa le bras de Taylor et le tira vers je ne sais où. 

Donc il ne restait que Felix et moi. Lui semblait toujours autant dans ses pensées. Je me suis mise à le fixer un instant avant de me rendre compte que les mains de ce dernier tremblaient. Il ne fixait pas la boite, son regard était perdu. 

— Felix ? L'interpelais-je. 

Il leva son regard en ma direction. Il reprit ses esprits et leva son sourcille pour me questionner. 

J'ai tapé sur le siège à côté du mien pour lui demander de me rejoindre. 

Il me sourit avant de prendre place à mes côtés. 

— Tu veux danser ? Me demanda-il. 

— Je ne savais pas que le grand Felix me donnerait l'honneur de danser avec lui. En rigolant. 

— Il faut dire que je suis un homme rempli de surprise. En tournant sa tête sur le côté. 

Ça, je ne pouvais pas le contre dire. 

— Je ne raterais pas une occasion pareille. 

Il s'est levé et ma tendu sa main que j'ai attrapée. Je me suis levé et l'ai suivi, nous avions descendu les escaliers avant de nous retrouver au milieu d'une foule qui nous observait. La lumière avait baissé et la musique classique qui faisait vibrer mes oreilles, avait changer pour une autre qui était composé uniquement de violons et de contrebasses. Lorsque nous sommes arrivés au milieu, il prit ma main droite et posa son autre main sur ma hanche. J'ai levé mes yeux pour rencontrer les siens. Et à ce moment précis, j'ai réalisé.