Mariée de force à un riche imam

chapitre 7.

Je suis déjas prête, la robe me va à merveille.
Mais bon, Somaya c'est un mariage forcé donc évite de sourir comme une folle parceque tu vas etre mariée de force à l'homme que t'aime alors que c'est un inconnu et il te deteste.
[Imaginez le mariage car je sais pas trop comment le decrire comme je ne suis jamais partie à des mariages islamique, et désolé...]

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𝐋𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐧𝐮𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐜𝐞.
Pendant tout le mariage il est resté aigri comme une personne pas matinal, il tchipait à chaque fois que le imam tournait le regard et quand on nous prenait en photo il fesait le mec heureux. Je suppose que maintenant je suis plus célibataire hein, ça me manque déjas.

On est dans sa villa, une magnifique villa si vous l'aurez vu elle est incroyablement belle, il ya des décorations islamiques dans chaques pieces, une bibliotheque, une piece qui sert de mosquée, et heureusement qu'il ya 3 chambres donc j'ai ma propre chambre.
Nous sommes dans sa chambre, debout face à face à se regarder comme des ennemis à vouloir la mort de l'autre.

- Je ne compte pas faire ça avec toi. Dis je. Et jamais je me mettrais sur ce lit.

Son lit a un drap blanc avec des pétales de roses qui forment un coeur, des ballons en forme de coeur au plafond, des bougies qui font le chemin vers le lit, my god.

- Et bah tant pis pour vous car c'est obligatoire, et je t'ai dit qu'on se vouvoie.

- Je ne vouvoie pas les chiens.

Je cours vite vers la salle de bain, ma robe de mariée a faillit me tuer mais Dieu merci j'arrive à la salle de bain sans blessure. Je m'enferme, il frappe sans arrêt à la porte.

- Somaya ! Sors de cette piece depeche toi !

- Casse-toi !

- M'enerve pas et ouvre ça !

Il est pas énervé ?
Mais bon, un moment il faudra que je sors d'ici en plus je ne supporte pas les endroits enfermé. Et puis, une obligation religieuse c'est une obligation donc voila quoi.
Je compte me lever mais je sens un liquide couler entre mes jambes, j'espere que c'est ça. Je retire ma robe et regarde, OUI C'EST ÇA ! J'vais pas pouvoir le faire, enfin ! Je saute de partout avec tant de joie, en sachant que la nuit de noce est annulé maintenant. Je m'arrete un moment et prend son peignoir, j'ai rien en dessous à part les sous-vêtements, et je ne veux pas de jinn amoureux aussi hein. Son peignoir sent tellement bon à en mourrir purée, c'est noir avec son nom derriere, j'vais le voler je crois.

J'ouvre la porte, il est avec un couteau dans la main à me regarder de haut en bas, qu'est ce qu'il allait faire avec ça ?

- Bonne nuit.

Je pars dans ma chambre en sautillant comme une petite fille. Je me lance sur mon nouveau lit, un lit doux et confortable, je ne suis pas prête de m'en aller de ce matelas. Je me leve quelques secondes apres et pars me doucher et faire ma toilette, apres ça je reste en serviette dans ma chambre à chercher mon pyjamas dans ma valise. Mais cette famause valise que ma tante m'a offert me donne plusieurs curiosité, je l'ouvre et trouve plusieurs tenues en satin comme des mini robes tres seduisantes, des sous vêtements dont je n'ai aucune envie d'en voir et meme d'y toucher, il ya meme des parfums, un au nom de "Seduction", je crois que ma vie va prendre pause pour réfléchir à ce que je vais faire de cette valise. Je la ferme sans meme la regarder et la range dans un coin. Je prend un pyjamas en satin et pars dormir. 
                                                                                         
Le lendemain.
Je me suis réveillé d'une heure tardive selon monsieur, franchement 10H50 c'est rien. J'ai fait ma toilette et ma douche et je me suis habillé bien casaniere, un body noir et un short bleu foncé. Je suis dans la cuisine à manger MON petit dej, il croit vraiment que je vais lui faire à manger à ce mec, il n'a qu'à rêver. Je l'entend descendre les escaliers, je tchip et compte le regarder de haut en bas mais son outfit me dit de le matter, il est tellement beau dans son ensemble formel purée, Amir purée *clic*. Il vient dans la cuisine se faire un bol de céréale, donc les hommes d'affaires mangent des Miel Pop's, et moi qui pensait que ce n'etait que café dans la main comme dans les films. Il se pose devant moi.

- Mon peignoir.

Meme pas un bonjour, meme pas un salam, parole sec comme ça il dit.

- Apres.

- Quoi t'as tes rêgles et t'as tachée sans faire expres, tu le gardes pour la peine.

- C'est absolument pas ça.

Comment il le sait, il m'a espionné toute la nuit ou quoi ?

- Alors donne.

- Non, c'est... C'est sale, il y'a de la poussiere.

- T'es vraiment une mauvaise menteuse. 

Il termine son bol et s'en va. Je vais pouvoir sortir voir Samir et les autres, ils m'ont tellement manqués eux tous. Je me met en longue robe rouge avec des talons, je fais des nattes et me maquille, je me parfume de haut en bas comme si j'allais à un date. Prête à partir, je prend mon sac à main et m'en vais. J'arrive chez Samir quelques temps plus tard, je frappe à sa porte, dès qu'il ouvre il me prend dans ses bras.

- Somaya qu'est ce qui t'a pris de nous oublier comme ça pendant un mois, tu ne répondais meme plus à nos appels et nos messages.

- Ma mere m’a pris mon telephone pendant un mois.

- Ah oee chaud hein, j’etais venu te voir la semaine derniere mais ta mere m’a dit de partir.

- J’ai plus envie de parler de ça Samir, on rattrape le temps perdu ensemble pendant ces deux mois.

- Vas y rentre.

On s’installe sur le canapé et on commence à discuter, il me raconte tout ce que j’ai raté durant ma periode prison.

Le soir.
Je rentre vers 18h d’une longue journée, j’etais chez Samir puis on est parti ensemble au cinéma, ensuite je suis allé rejoindre Rayssa et les autres potes à la plage, on s’etait vraiment bien amusé, et j’ai évité l’alcool pour une fois aujourd’hui.
J’ouvre la porte d’entrée et le retrouve à une marche des escaliers, il est vêtu d’un tee-shirt blanc et d’un pantalon formel noir avec une durag sur la tete, purée j’pourrais me tuer pour ce mec.

- Bonsoir.

- Laisse moi tranquille Amir.

- Il faut qu’on parle.

- J’ai pas le temps pour te parler.

Je compte monter à l’etage mais il m’en empeche en se mettant devant moi, on a jamais été si proche à par le mariage, je sent mon coeur battre mille à l’heure, calme toi Somaya, tu ne vas pas embrasser un inconnu.

- On doit parler à propos de ces deux mois.

- J’ai hâte que l’on divorce c’est bon ?

- C’est quoi cette hodeur ?

Il pose son visage sur mon cou, Somaya il ne va pas t’embrasser, calme tes pensées. Il me regarde dans les yeux comme si il voulait me frapper.

- Vous avez touché des hommes ?

- Oui, mes amis maintenant laisse moi partir dans ma chambre.

- Hier on s’est marié et aujourd’hui vous touchez des hommes et vous vous amusez avec eux.

- Fait pas le saint Amir, laisse moi partir dans ma chambre.

- Non vous ne partirez pas tant qu’on aura pas entamer cette discution.

- Ok.

Je retire mes talons et cours vers le jardin, beaucoup trop sauvage comme fille. Je grimpe à l’arbre qui menne au balcon de sa chambre mais je sent des bras m’encercler et un torse collé à mon dos. Il pose sa main droite sur mon cou et m’etrangle petit à petit.

- Maintenant tu vas arrêter de faire ton enfant et tu vas gentiment poser tes grosses fesses sur ce putain de canapé et on va discuter, mais si tu refuses tu sais ce qui t’arrivera.(Il m’etrangle de plus en plus fort). Compris ?

- Oui.

- Tu progresses beaucoup, c’est le seul mot que te me diras désormais.  Depeche toi de partir dans ce salon pour qu’on puisse parler.

Il me lache, je m’execute.