Mariée de force à un riche imam

Chapitre 18.

PDV DE SOMAYA.
On est vendredi et c'est aujourd'hui que je vais au restaurant avec Samir, j'ai accepté qu'on y aille uniquement pour que je lui dise que je ne l'aime pas et que je suis mariée. Meme si ça je vais divorcer.
Il est 19h et c'est à 20h qu'il vient me prendre, j'ai opté pour une robe beige avec un voile en soie marron. J'avoue qu'elle n'est pas conforme à l'Islam puis ce que le voile n'est pas un voile islamique car ça ne couvre pas la poitrine et les epaules mais j'ai pas trouvé un voile qui irait avec la robe. Je reste dans ma chambre à attendre qu'il m'appelle. Je reçois son appel quelques minutes apres, je vais à l'entré de la maison. Pendant tout le trajet on reste silencieux. On arrive au restaurant, un serveur prend notre menu puis repart en cuisine.

- Donc tu commences à te voiler ?

- Oui, je veux me remettre dans la religion. Et toi avec la délinquance, tu arrêtes ?

- On peut dire que j'essaie.

On discute un peu, le serveur vient nous donner notre repas.

- Somaya... j'ai quelque chose à te dire.

- Continue.

- J'ai des sentiments pour toi.

Je le regarde avec un sourcil monté.

- Je sais c'est bizzar de te dire ça mais j'ai des sentiments pour toi depuis quelques mois.

- Samir je suis... je suis dejas mariée enfaite.

- Oui je voulais en arriver à là aussi, je sais que tu es mariée.

- Et enfaite c'est pas la seule chose que je voulais te dire aujourd'hui. J'ai plus envie qu'on traîne ensemble, je parle plus aux hommes.

- Donc tu veux dire que notre amitié s'arrete maintenant ?

- Définivement.

Il me regarde d'une façon meurtriere, je ne l'ai jamais vue de cette façon. Je me leve pour partir au toilette. Je reviens quelques minutes apres, on reste silencieux à manger. Ma boisson a un goût plutôt fort, je tousse plusieurs fois. Je prend le verre d'eau.

Apres le repas, il paie l'addition et je m'en vais, la tête qui tourne et les mains qui tremblent, qu'est ce qu'ils ont mit dans ce jus ?

- Somaya ça va ?

- Oui c'est juste la fatigue.

- Je te raccompagne.

- Non c'est bon je vais prendre un taxi.

- Ok.

Il me prend par les hanches et place un mouchoir sur ma bouche. Mes yeux se ferment et je finis par perdre connaissance.

[Samir met rapidement Somaya dans sa voiture et commence la route. Il arrive chez lui, il la pose sur son lit et la déshabille pour apres la menotter les mains et les pieds. Il commence à l'embrasser sauvagement sur tout le corps pour ensuite commencer l'acte.]

Je sens une grosse douleur au bas du ventre, mes mains n'arrivent pas à bouger et mes pieds aussi. J'ouvre mes yeux et vois Samir entrain de me.... . Il n'arrête pas de me mordre de partout en m'embrassant, ses mains se forcent sur mes hanches. Je n'arrete pas de lui dire d'arrêter mais il continue, des larmes coulent sans cesse et le bas de mon ventre me fait extrêmement mal. Que meme mes jambes semblent paralysé. Je sens un liquide sur ma cuisse, il s'arrete avec un sourir pervers.

PDV DE AMIR.
[Le lendemain]
Je suis enfin arrivé à Marrakech, il est 19h30. Il est temps de rêgler tout ce probleme, je prend un taxi. J'arrive à la maison, qu'est ce qu'elle m'a manqué cette villa, surtout Somaya. Mais bon elle veut divorcer, j'suis pas sûre qu'un contrat de divorce franchira cette porte d'entrée un jour. Dès que j'entre, je vois Fatouma descendre les escaliers. Elle sourit dès qu'elle me voit.

- Dieu merci vous etes enfin là, cette femme n'arrete pas de pleurer depuis ce matin. Elle n'a pas bougé de son lit.

- Fatouma tu devrais rentrer il se fait tard. Et elle a quoi ?

- J'ai preferé rester encore un peu pour voir si elle irait mieux. Elle ne veut parler à personne depuis ce matin, elle refuse meme de se lever.

- Mais elle a quoi ?

- Je sais pas.

- Rentre chez toi, je vais m'occuper de ça.

- Assalam 'anleykoum.

- Anleykoum Salam.

Elle s'en va. A peine je rentre que j'apprend qu'elle ne va pas bien. Je monte dans ma chambre poser les valises puis je vais la voir. Somaya est blotis sous sa couverture, endormis. Je vois que son cou a des morsures et son front est chaud, peut-être parceque elle a trop pleuré. Elle reçoit un message, de ce fameux Samir dont j'ai envie de tuer.
Je regarde le message :

- Si tu parviens à ouvrir ta bouche pour me dénoncer je te forcerais et te ferais encore plus mal qu' hier soir.

C'etait alors hier le rendez-vous au restaurant, et c'est pour ça qu'elle est resté toute la journée dans sa chambre. Pour la premiere fois, je ressens une tonne de colère. Faire du mal à Somaya, c'est me provoquer pour casser la gueule de la personne. Surtout que ce mec, je me retiens de faire un meurtre. Je vois sa bague sur un coin de la porte, je la prend et la met à son doigt. Je quitte la piece avec une idée en tete.

PDV DE SOMAYA.
Le lendemain je me reveille avec moin de douleur aux jambes et au bas du ventre. Mais cette honte est toujours dans ma tête, je ne compte pas le dire à quelqu'un se qui m'est arrivé. Si je le dis, je sais que ça va partir sur toute la famille et la belle-famille. Parceque si on apprend qu'un mec m'a déviergé autre qu'Amir, il y aura une affaire de famille rapidement et des gens de la famille diront que Amir me laisse me faire toucher et violer par des hommes.
Je pars dans la salle de bain, il ya toujours les morsures sur tout le corps. Il est hors de question que je traine avec des vêtements courts ou manches courtes à la maison. Je me douche et m'habille comme-ci je sortais, une robe et un voile.
J'entend une voix familière dans les couloirs, Amir ? Je sors de la piece sans meme le regarder et me soucier de son existence. Je descend à la cuisine, Fatouma n'est pas encore arrivé.

- Somaya ?

Je ne le répond pas et essaie de prendre un bol de céréale dans une des étagères dont je n'arrive pas à atteindre. Je sent une présence deriere moi, je me retourne et tombe en face d'Amir, mes lèvres se trouvent juste devant son torse. Il me regarde de haut en bas avant de me prendre dans ses bras, qu'est ce qui le prend ?