On termine de discuter puis je vais dans ma chambre, je reste sur mon bureau à regarder mon téléphone. Ma tête n'arrête pas de me faire penser à lui, il me manque tellement, son parfum n'est meme plus présent dans sa chambre, et ces eyes contact ne sont qu'en téléphone. Mais bon, il reste encore quelques jours avant qu'il ne revienne et il faut que je continue à supporter son abscence insupportable. Mon coeur n'aime que lui et ma tête ne pense qu'à lui, mes mains ne veulent toucher que lui et mes yeux ne veulent voir que lui, mes pieds ne veulent marcher qu'avec lui et mes lèvres ne veulent que les siennes. Il me manque tellement que je finis pas pleurer. Je lave mon visage plusieurs fois mais les larmes n'arrêtent pas de couler. Si je savais que je l'aimerais autant je partirais avec lui. Je regarde sa chambre, il ya encore un peu de son parfum. Je prend un de ses pulls qui ont encore son parfum et la sent sans m'arrêter, je me lance sur son lit et me blotis sous sa couverture à pleurer de son abscence. A force de pleurer ma tête me fait mal, j'ai jamais autant pleurer pour un mec. Donc pleurer comme ça, c'est de l'amour sincere que j'ai pour lui. Apres de longues minutes à avoir pleurer je décide de partir me laver le visage, mes yeux sont rouge comme si je venait de boire une dizaine de verres. Si ça continu comme ça, on verra que je ne vais pas bien. Je reste dans sa chambre un moment et essaie de calmer mes larmes. J'entend mon téléphone sonner, c'est Amir.
- Bonjour ma femme.
Je reste silencieuse, on s'est parlé il ya 18h et sa voix m'a manqué.
- Tu reviens vite ?
- Dans quelques jours t'inquiete pas.
- Mmmh...
- Qu'est ce que t'as mangé ce matin ?
- J'ai fait du thé et des beignets.
- Ta voix est faible, ça va ?
Je sors une grosse boule de larmes.
- Tu me manques tellement, j'ai besoin de toi en ce moment. J'ai pas ta présence dans la maison et ça m'enerve, tu me manques.
- Pleure pas, j'veux pas être faible aujourd'hui. Je reviens vite, je te promet.
- J'ai plus envie d'etre seule le soir, et encore moin ne pas te voir de la journée. J'ai besoin de t'avoir dans mes bras pour me calmer.
- Somaya, je te promet que je reviens vite. Et quand je reviendrais, je resterais avec toi toute une semaine si tu veux. Sache que je tiens toujours mes promesses, donc je ne vais briser celle-là. Je t'aime et je ne veux pas voir la fille que j'aime s'affaiblir à cause de moi, je me tuerais si je te rendrais faible et malade.
- Alors je retiens mes larmes ?
- Economise les pour pleurer quand je te prendrais dans mes bras, parceque dès que je reviendrais cette distance n'existera plus. Je t'embêterais tout le temps pour n'importe quoi et je ferais que de te regarder dormir près de moi, je ferais de toi la femme la plus heureuse et la plus cherie par son mari, et je ferais de toi la reine et la mere de mes enfants. Et si un homme te fait du mal, il ne verra que les etoiles. Et si un jour je te fais tu mal, je me rendrais directement à la police. Je veux te voir heureuse, alors sourit et patiente s'il te plait.
Je sors un sourir.
- J'ai réussit à faire sourir ma femme ?
- Non.
- Elle a intèrêt alors.
Je coupe l'appel est pars dans ma chambre avec son pull, je laisse dans mon dressing puis regarde mon telephone, Samir m'a envoyé message.
- Somaya, on pourrait partir au restaurant vendredi soir.
- Ok.
PDV DE KAYLA. Aucunes de mes attirances et de mes tenues ne l'ont donné envie, il baisse toujours le regard lorsqu'on est de face ou quand il est dans mon champs de vision. Et pour mon frere Samir, il n’avance toujours pas avec cette Somaya. Si il continu comme ça je vais voir le meilleur marabout du Maroc. Je suis dans un bureau de l’entreprise à remplir des dossiers, je reçois un appel de Samir.
- Bonjour ma soeur préféré.
- Ferme ta bouche à gentillesse et dit moi ce qu tu comptes faire avec elle.
- Je nous ai donné un rendez-vous au resto vendredi soir, un peu un date quoi.
- C’est ça ton plan ? Faire un date ? Samir tu ne sais vraiment rien ! Tu sais quoi, pendant que vous mangerez assure toi de mettre un poison dans sa boisson. Et au moment ou vous partirez elle se sentira pas bien et elle s’endormira, et c’est à ce moment que tu la ramenes chez toi et que tu fais d’elle ce que tu veux. Tu verras qu’elle se sentira sale apres et qu’elle ne voudra que divorcer.
- Quoi ? Non j’vais pas la faire ça, c’est pas une pute.
- Ok alors cherche un plan et vite. Amir doit etre à moi.
Je coupe l’appel.
[Ce qu’elle ne sait pas c’est une femme a entendu toute la discution.]{ La femme se rend vite dans la salle de reunion où se trouve Amir.
- Mr.Bensharif, j’ai... des dossiers à vous apporter.- Attendez un instant, nous terminons la reunion puis venez me voir dans mon bureau.
- Bien monsieur.
La jeune femme ferme la porte et se rend à la reception discuter avec des collègues un moment. Amir vient la voir.
- De quels dossiers parliez-vous ?
- Il faut que je vous dise quelque chose, c’est mieux que je vous le dise autre part qu’ici.
- Allons dans mon bureau.
Ils partent dans son bureau.
- Dépechez vous de me dire car je dois partir à la mosquée.
- J’ai entendu votre collegue Kayla dire au telephone votre nom et celle d’une certaine Somaya, votre femme de ce que j’ai compris. Elle parlait à un homme au nom de Samir où ils disaient qu’il partirait dans un restaurant avec votre femme et qu’il mettrait du poison dans sa boisson pour qu’il puisse la ramener chez lui et la faire vous savez quoi. Et Kayla veut être avec vous.
- Vous êtes sur de ce que vous dîtes ?
- Oui monsieur, je ne viendrais pas vous déranger pour des choses inutiles. Je pense que c’est mieux que vous repartiez au Maroc pour gerer cette situation avec votre femme.
-....Vous pouvez partir.
- Bien monsieur.
La jeune femme quitte la piece, Amir reste un moment dans son bureau à réfléchir à comment gerer cette situation.}
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Mariée de force à un riche imam
RomanceSomaya, une jeune marocaine congolaise de 19 ans, vivant chez ses parents à Marrakech est une femme égaré et eloigné de la religion, elle frequente des personnes dans le haram. Mais un jour, elle sera mariée de force à un homme dans la religion. C...