Éprouvée, J'ai Trouvé Ma Voie

chapitre 62

 
             PDV DE RAHMATOULAH

Le samedi vers 10h 30, nous arrivons chez mes parents. Je me dépêcha de descendre de la voiture et me dirigea en courant vers eux qui nous attendaient devant la porte. Je les serre fortement dans mes bras, les yeux larmoyants.

Moi: Oummih, aby vous m'avez tellement manqué..

Oummih, Aby : toi aussi encore plus mon bébé.

Ma mère m'effaçai les larmes alors que mon père me frottais affectueusement le dos.

Habib et mes frères : As salamou aleykoum wa Rahmatoulah

Nous : wa aleykoum salam wa Rahmatoullahi ta'alahi wa barakatouhou.

Aby : ah Habib ! Ça fait longtemps qu'on ne t'as pas vu ! Dans mes bras mon garçon !

Le concerné sourit largement puis pose les sachets qu'il avait dans les mains avant d'aller lui faire un câlin.

Oummih : oui Habib, tu nous as beaucoup manqué. J'espère que le chemin n'a pas été difficile.

Habib : vous aussi, vous m'avez beaucoup manqué. Et pour le chemin, cela s'est bien passé alhamdou lillah. D'ailleurs, nous avons apporté cela pour vous " en montrant du doigt les sachets qui contenait des fruits"
Oummih: oh mais voyons, ce n'était pas nécessaire.

Habib : je sais mais cela me fait plaisir.

Aby: shukran, qu'Allah te récompense.

Nous : amiine.

Driss et Ibrahim vont saluer mes parents.

Driss: et nous ?

Ibrahim : On ne vous a pas manqué ?

Les parents : " rire " mais si ! Vous nous avez beaucoup manqué mes deux garçons.

Ils rigolent en retour.

Je serre la main de ma mère et de mon père et nous entrons ensemble dans la maison.. elle m'avait manqué aussi.
Mais ce qui est sûr c'est que je vais coller mes parents aujourd'hui in shâ Allah.

Installé au salon, des rafraîchissements nous furent apporté par Fatou. Cette dernière était contente de me revoir et pareillement.

Habib : Rahmatoulah, tiens ton sac, tu l'avais oublié dans la voiture.

Moi: oh merciii Mouhammad.

Il me sourit comme réponse.

Aby: A ce que je vois, tu prends toujours aussi bien soin d'elle comme quand vous étiez petit.

Habib sourit, un peu gêné.

Ibrahim : Tu ne sais pas à quel point aby.

Oummih : A ce sujet, merci beaucoup Habib d'avoir veillé sur le bien-être de ma fille jusqu'à présent. Qu'Allah te récompense pour tout ce que tu as fait pour elle.

Habib : Amiine mais ne me remerciez pas pour ça, c'est mon devoir d'ange gardien voyons.

Nous rigolons tous à sa petite blague.

Après cela, nous entendons sonner.
J'allais me lever mais Ibrahim me devança.
Quelques instants plus tard, il revient avec Youssouf.

Youssouf : as salamou aleykoum wa Rahmatoulah la famille.

Moi: Youssouf ! Wa aleykoum salam wa Rahmatoullahi ta'alahi wa barakatouhou.

Il s'assoit après avoir salué tout les hommes.

Youssouf : ya seyda ! Tu nous avez beaucoup manqué tu sais.

Moi: vous aussi, tu ne sais pas à quel point, mais nous voilà tous réunis maintenant alhamdou lillah.