My Secret Love.

chapitre 44

Deux jours s'étaient écoulés depuis que nous avions trouvé un terrain d'entente. J'avais apaisé mon cœur, et nous avions calmé nos nerfs.

Celà faisait aussi deux jours qu'on avait fait l'amour lui et moi j'étais resté alité.

Je ne savais pas qu'on aurait pu tomber malade d'avoir trop eu des sensations fortes mais le jour qui a suivi mon corps courbaturé n'a pas voulu se lever.

Ça avait été la nuit la plus intense de ma vie, j'avais pleurer de douleur, j'avais pleurer de plaisir, j'avais découvert une émotion fuse entre douleur et plaisir.
Il m'en vient encore la chaire de poule en y pensant.

Les marques sur mon corps pouvaient témoigner, les suçons présents sur ma poitrine pouvaient témoigner, les traces de fouets pouvaient témoigner, mon trou qui était il y a de cela deux jours vierge pouvait témoigner, seule ma bouche ne réussissait pas à mettre les mots sur ce que j'avais vécu.

Je raconterai cette nuit un peu plutard, je n'étais pas prête à la revivre une deuxième fois.

j'avais découvert la douleur semée de plaisir et j'avais eu beau le supplier de s'arrêter il m'avait dit : non , tant que je respirais j'avais assez de force pour le suivre. Ça avait été une longue nuit, j'avais perdu connaissance deux ou trois fois, je ne m'en souvient plus j'avais perdu le décompte mais une nouvelle vague de plaisir aussi plus forte que la précédente me réveillait à chaque fois et quand le sommeil me prenait et que je pensais être libéré de mon tourmenteur je me faisais réveiller par son sexe encrer en moi  .

J'étais finalement sortie de ma chambre aujourd'hui, Élodie c'était inquiété pour moi et du fait que j'étais tout le temps couché dans ma chambre. Comment lui dire que j'avais été baisé pour au moins un an.

- Monsieur nous a dit que vous aviez besoin de repos donc on ne voulait pas vous déranger. Me dit-elle

Je ne pouvais pas dire que j'avais été baiser au point de mourir non? Même William s'était inquiété le lendemain se disant bien trop tard qu'il avait peut-être exagéré. la colère qu'il avait refoulé depuis ces quatres dernières années je l'avais ressenti sur mon corps, il l'avait libéré sur moi et il était devenu plus doux le lendemain après les remords.

- je t'ai dis de rester coucher chérie me dit-il en venant vers moi quand il s'aperçut que j'étais sortie de ma chambre, chambre qui n'était plus là mienne seule car William venait m'y retrouver chaque soir pour me cocoler.

- tu m'as mit dans cet état ! Dis je en lui lançant un mauvais regard.

- j'aime quand tu me regarde avec ces yeux d'amour ça me donne envie de recommencer.

Je lui tapa l'épaule.

- William! Je ne te laisserai plus jamais touché mon corps dis je taquine tu l'as fracassé.

- je te fais couler un bon bain ce soir ? me demanda-t-il pour se faire pardonner.

- pas de sexe lui avertis je .

- même pas oral?

- will!! Tu es incorrigible m'exclamais je et Il rit .

- où est Elliot ? Demandais-je.

- avec sa nounou, avant d'aller le voir On doit parler de quelque chose me dit-il.

- qu'est ce qu'il y a ? demandais je suprise qu'il ai pris un ton grave.

-Cela fait depuis un moment que ta mère sait que tu es là. Me dit-il

- oui et alors ? Ce n'est pas mon problème. C'est toi qui m'a ramené ici, je n'ai jamais dit que je revenais pour résoudre mes mésententes avec qui que ce soit.