Chronique : Mariée de force ?

Chapitre 9

Asalam aleikum,

Et la il ma lâcher ma main il ma regarder avec haine et regret ? Puis après il ma examiner de la tête aux pieds avant de sortir et de claquer fortement la porte d'entrer.

Je souris aussitôt fière de moi, il a cru quoi que j'allais faire un scandale ? J'avoue que sa me fais un pincement aux cœur car il reste tout de même mon mari est sa ne se partage pas sa ok peux être ailleurs mais pas chez moi !

--- fin du rappel ---

Quelques instants plus tard après avoir fait couler quelques larmes je me suis tout simplement dit qu'il n'en vaut pas la peine et je me suis légèrement maquiller pour effacer mes cernes et lui prouver qu'il n'a tout simplement pas d'importance pour moi lui faire souffrir comme lui me le fais chaque instants qu'il en a l'occasion.

Je suis aussitôt aller a la cuisine et j'ai préparer un plat Algérien. J'ai finis je suis monter en haut faire un peu le ménage et préparer une chambre pour Melissa même si je bouillonner en moi.

Quelques instants plus tard Omar est venu, il m'appelais depuis un bout de temps je me suis mise a le chercher et je l'ai trouver torse- nue, yeux vert brun (pour une fois qu'il ne sont pas fonce ) ses cheveux brun légèrement en bataille et sa barbe de trois jours bien tailler il ne portait qu'un short.

Moi : tu m'appelais ?

Lui : ouais.

Moi : désoler je faisais la chambre pour Melissa.

Il me souri d'un sourire extrêmement beau sur lui mais que je déteste tant, un sourire de satisfaction, de pure fierté, moquer, arrogant.etc...

Omar : sa sert a rien.

Je voulais sourire, crier de satisfaction, faire des youyous mais tout sa c' est arrêter à sa dernier phrase.

Omar : elle dormira avec moi.

Mon cœur c'est serrer a me donner une crise, ma respiration accélérer a be plus en avoir, je suis restée choquer et lui a sourire, j'étais confuses, et lui a le regarder, j'étais triste, et lui dans sa fierté de merde, j'étais déçu et lui souriait comme un malade, j'étais ailleurs et lui a le contempler et essayer de déchiffrer mon expression de visage, mais après avoir bien réfléchit et bien vue que je ne rêvais pas mais que c'était la pure vérité je me suis approché de lui. Il me regarder et commença à enlever ses gants de boxe. Il c'est approché et moi pareils.

Omar : ......

Moi : écoute moi bien stp, je suis ta femme, serte pas la fille de tes rêves, pas celle a qui tu penses chaque nuit, pas celle que tu as toujours voulu marier ou du moins celle que tu as temps fréquenter mais je vais juste te demander une seule choses.

Il c'est approcher de moi il était juste à quelques millimètres de moi et je dus alors relever ma tête car il est beaucoup plus grand que moi et je suis rien à côté de lui.

Omar : quoi ?

Je sentais son souffle sur mes cheveux et je tremblais ne me demander pas pourquoi car moi aussi j'ai pas une justification valable.

Moi : respecte moi comme ta femme.

Et la il c'est mît a rire un rire réelle pas celui qu'il me sorts pour se foutre de ma gueule.

Puis il c'est arrêter et à relever mon manteau car oui je l'avais baisser je me sentais route de même pas bien lui a rire et moi a le regarder et puis la on se fixait.

Omar : d'abord respecte ton mari il te respectera.

Je les regarder sans comprendre. Puis il a poser ses lèvres sur les miennes je l'ai repousser et il c'est remis à rire.