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Un duel de regard c'était engagé entre les deux . N'ayant plus pouvoir immortaliser par Alvaro Laïa était obligé de garder son calme mais une chose en était, elle n'arrivais pas à le croire de toute façon c'était un homme il lui mentait sûrement

Voyant qu'elle avais perdu un peu de la braise qui brûlait dans son regard Alvaro relâcha doucement sa prise sur elle mais il était tout de même méfiant. Elle ne fit aucun geste brusque et garda son regard dans le sien.
Une fois complètement libérer la furie en elle reprend le contrôle. Elle le pousse violemment de ses 2 mains, mais il ne bougea pas d'un centimètre comme si son touché était semblable à une caresse du vent

Laïa: c'est faux ! Je sais que t'était en elle sale connard hurla telle furieuse

L'espace de quelque seconde il perdit son calme on peu l'entendre émettre un grognement avant de soulever le corps de Laïa le faisant flotter dans l'air un bref instant et la coller violemment contre le mur. Le choc fut tellement brutal que l'air quitta immédiatement ses poumons et que son visage se déforma face a la douleurs.

Il la tenait en haleine main sur son cou. Le front appuyer contre le sien il la tenait en haleine

Alvaro: Si no estuve en ella, no fue porque te temía, maldita furia, sino porque era de tu cuerpo que tenía ganas. Sa voix était basse remplie de colère
(Si je n'était pas en elle ce n'est pas par ce que j'avais peur de toi sale furie, mais bien par ce que c'est de ton corps que j'avais envie )

La poitrine de Laïa se levait et redescendait au rythme de sa respiration irrégulière alors que ce feu brûlait toujours en elle mais d'une autre façon il arrivais à canaliser sa colère

Alvaro: Y sigue siendo de tu cuerpo que tengo ganas. Il parla d'une voix rauque et suave
(Et c'est toujours de ton corps dont j'ai envie)

Elle devient allaitante perdant le contrôle de son propre corps tendis qu'un frisson s'emparait d'elle. Le désire qu'elle ressentait à présent était comparable à la haine qu'elle ressentait la colère qui la consumais. Elle le supplia du regard d'effacer cette distance qui existait entre leurs corps

Il la soulève en un mouvement plaquant contre le mur bassin coller au sien avant décrasser ardemment ses lèvres sur les siennes. Elle se fit raide au contacte avant que tout les muscles de son corps de se décontracte et que son corps se mirent à trembler férocement réaction au touché de Alvaro.

La langue de Alvaro glissa contre la siennes l'entraînant dans un baiser langoureux et profond faisant retourner l'intégralité de son estomac. Alors qu'il débraille la chemise fine en lin qu'elle portait elle lui caressais la nuque tendrement gagner par des sensations interdites.
Il glissa sa main avec habilité contre son ventre la faisant cambré tendis que son bassin exerçais des pression sur celle de Laïa qu'il savais relâcher. Une chose était sûre il savais comment lui faire perdre le contrôle.

Sa main froide vient empoigner son seins lui arrachant un râle de plaisir alors que ses lèvres se perdaient dans son cou. Elle frémis. Trembla. Hoqueta. Elle ne voulait qu'une chose qu'il mette fin à se supplice.

L'atmosphère devient lourd, le désire fusais à tout vas dans cet entrepôt vide. Les souffles saccadé de Laïa y résonnais telle un écho sous la lumière tamisée et orangé.

Il lui enleva sa chemise avec toute l'habilité du monde pendant que Laïa ? Elle, elle n'avais pas cette patience elle arrache d'un trait tout les boutons de la chemise noir de Alvaro. Lui offrant ainsi une vu imprenable sur son torse musclé et remplie, ses mains y glissèrent ardemment alors qu'elle n'avais envie de que d'une chose embrasser chaque parti de sa peau, en goûter chaque centimètres.
Il défait son soutif d'un geste entre son pouce et son majeur elle fonça les sourcils bon sang combien de soutif avait-il dégradée pour acquérir cette habilité.
Ses lèvres brûlante descende du cou frissonnant de Laïa pour se perdre sur sa poitrine un faible gémissement s'échappe de ses lèvres. Elle lui caresse la nuque alors qu'il avais ses lèvres autours de son téton la suçon tendrement, que sa langue en tournait autour, que ses dents la mordait que sa main caressais durement elle aurais pu atteindre l'extase rien qu'avec ça

Les cendres du diable Où les histoires vivent. Découvrez maintenant