Plonge dans un monde où l'ombre et le feu se confondent, où Laïa, brillante avocate au cœur brisé, devient la muse tragique d'un chef de cartel impitoyable. Entre les gratte‑ciel de New York et les ruelles enivrantes de Bogotá, leur passion se nourr...
Laïa tournait en rond dans son bureau, ses talons claquant avec agacement sur le marbre. Elle devait agir vite. Trop d'éléments échappaient à son contrôle, et elle détestait ça. Mais au-delà des complications juridiques, au-delà des médias et du procès qui se profilait, une menace plus sourde, plus personnelle, pesait sur elle.
Ismaïl.
Ce prénom seul suffisait à lui nouer l'estomac. Elle avait beau avoir changé, être devenue forte, rien ne pouvait effacer cette sensation de peur viscérale qui la paralysait dès qu'elle pensait à lui.
La lettre retrouvée chez elle des semaines auparavant était de lui. Elle l'avait laissée traîner, trop occupée pour s'en soucier. Mais hier, en la lisant enfin, son sang s'était glacé :
"Je viens bientôt te chercher, bébé."
Une phrase simple, presque anodine. Mais qui, dans sa bouche, résonnait comme une sentence.
Elle s'était immédiatement tournée vers Marco, son homme de confiance. Il enquêtait depuis hier, et elle attendait son retour avec impatience.
Trois coups frappés à la porte la tirèrent de ses pensées.
Laïa: Entrez.
Marco apparut dans l'embrasure, aussi imposant que d'habitude. Son visage était fermé, concentré.
Marco: Bonjour, Maître.
Laïa: Marco.
Elle abandonna son va-et-vient et alla s'asseoir à son bureau, l'invitant d'un signe de tête à parler.
Marco: Il habite maintenant a Upper East Side . Il marqua une pause avant d'ajouter : Il n'a pas un vrai poste chez les Acevedo, mais il est très proche de Santiago Acevedo . Il est au courant de presque tout... en tout cas, tout ce qui vous concerne.
Le visage de Laïa se ferma un peu plus à chaque mot.
Marco: J'ai mis des hommes sur ses traces. Ils vont le surveiller en permanence.
Elle soupira, exaspérée.
Laïe: Je m'en doutais. Ça m'aurait étonnée que ce rat ne soit pas devenu le jouet des Acevedo.
Marco hocha la tête, mais ajouta d'un ton plus prudent :
Marco: Pour le moment, il a l'air calme.
Laïa: Hum...
Elle se leva brusquement et attrapa son sac, signe que la conversation était close.
Laïa: Garde un œil sur lui quand même. Je veux savoir le moindre de ses déplacements.
Marco: Bien sûr.
Elle passa devant lui, sans ajouter un mot de plus.
Laïa: Rentrons.
Et tandis qu'ils quittaient le bureau, Laïa sentit ce frisson désagréable lui parcourir l'échine.
Ismaïl n'avait jamais été du genre à rester "calme".
*le lendemain
Après avoir passée des heures à se préparer elle finu enfin par choisir une tenue
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