Partie 39 | Lyon

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Je passe jusqu'au départ, il était 13h. Mon train était à 14h45, je finissais de ranger quelques trucs dans la valise. Je finis de me préparer, je mange puis direction la gare avec ma grande sœur, maman et Maria bien sûre. Je descend avec ma valise, tout le monde me regarde. Sofian me regardait sévèrement, je calculais pas je rigolais. J'étais trop contente de partir de ce trou.

On roule puis je lâche quelques larmes, peur que mes alliés me manquent, mes nièces et mon neveu.
On arrive à la gare puis là c'était comme si on allait me retirer mon coeur, j'angoissais de ouf. Ils allaient trop me manquer. Maria pleurait maman aussi. Je leur ai fais un gros câlin. Je dis aurevoir à tout le monde puis je monte dans le train en pleure..
J'étais tellement triste de laisser mes amours et de partir.

On roule puis je m'endors.
Quelques minutes plus tard, Sofian m'appelle j'pense qu'il savait. J'ai pas répondu, il m'appelle une fois, deux fois, trois fois puis je décroche.

Moi: allô?
Lui: ouais c'est Sofian pourquoi tu réponds pas tarace??!
Moi: pourquoi tu m'harcèles encore? Laisse moi tranquille p*****!!
Lui: t'es ou?
Moi: dans le train, j'me casse tu me verras plus. Je te soûlerais plus t'inquiète !
Lui: t'es sérieuse la t'es aller ou? Mais p***** reviens wesh qui t'as dis que je voulais que tu partes??
Moi: t'as pas besoin de savoir. Sofian c'est finit maintenant. Oublies moi.
Lui: mais tu veux que je te casse les jambes toi c'est ça? WAllah tu vas m'rendre ouf Leïla
Moi: t'avais qu'à réfléchir à c'que tu faisais laisse moi reconstruire ma vie maintenant.
Lui: c'est mort, non non c'est mort c'est pas finit moi j'te le dis
Moi: Oublies moi.

Je raccroche puis j'éteins mon téléphone.

Je range mon tél, puis je commence à pleurer encore une fois. Je pouvais pas l'oublier et reconstruire ma vie sans lui. Je pleure et je regrette.
Je m'endors jusqu'à ce que j'me réveille une heure après.

Il restait pas beaucoup de station pour arriver à destination.
Quelques minutes plus tard, j'arrive. Je sors puis la je vois une folle me sautait dessus, c'était Safa.

Elle: hbibaaaaaa!
Moi: Safaaa, trop contente de te voir!
Elle: la même, alors pas trop long le trajet?
Moi: non cava alhamduliLAH!

Je m'avance dire salam à ma tante, Karim, mon cousin (j'vous en reparlerais) Myriam et Khadija. J'étais trop contente d'être là. On rentre puis on arrive à la cité, et là j'vois la masse de gars. J'marche tête baissée et on monte à la maison.

J'me mets dans la chambre à Safa, puis j'pars aider ma tante à faire à manger. Ils partent manger, moi j'avais pas faim, j'suis rester dans la chambre à Safa.

À suivre !

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Chronique de Leïla, une fille bien qui dérape.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant