Partie 60 | Il a commit l'irréparable.

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Après la visite de ma mère, au tour de ma sœur Salwa. Elle entre avec sa petite famille d'amour, mashAllah ils étaient trop mignons!

Elle: Salam alaykoûm wa rahmatuLLAH wa barakatûh Leïla! Qu'est ce qui t'es arrivée ?
Moi: Alaykoum salam, un malaise encore.. Je sais même plus ce qui m'arrive!
Elle: Qu'Allah te guérit et te protège !
Moi: Amin oukhty, tu me fais encore la tête?
Elle: Non ce n'est pas bien le conflit familial mais saches que tu m'as beaucoup déçu Leïla. Reprends toi avant qu'il ne soit trop tard.

Puis je me mis à pleurer. Larmes de honte et de tristesse coulaient sur mes joues.

Elle: Leïla ! Pleures pas oukhty!
Moi: J'suis la fille du diable comme m'a dit maman!! J'ai tellement honte de moi, tu devrais même pas être là avec moi Salwa!!
Elle: A'udubillah Leïla! Dis pas des trucs comme ça, c'est n'importe quoi! Tu vas revenir sur le droit chemin, j'en suis sûre tu vas y arriver inshAllah. Je vais tout faire pour!
Moi: (pleure) J'ai été une honte pour ma famille, ce que j'ai fais ne se pardonne pas Salwa..
Elle: Non oukhty, ne t'inquiètes pas. Calmes toi, arrêtes de pleurer.

Elle me prit dans ses bras, tandis que ces trois merveilles vinrent me faire des bisous, des amours mashAllah.

J'étais grave heureuse d'avoir ma sœur à mes côtés, c'est la seule qui sait les décisions à prendre.

Qu'Allah la préserve.

Elle reste avec moi quelques heures puis elle s'en alla.

Je devais rester quelques jours, ils devaient me garder en observation.

Maria est revenu me tenir compagnie, cette fille c'est un amour.

Elle: Hbiba!
Moi: Maria d'amour! Heureusement que t'es là!!
Elle: Toujours je serais là oukhty, je te lâcherais jamais.

Je l'a prend dans mes bras.

Elle: Comment ça s'est passer cette crise de merde? D'où ça vient??!
Moi: Ohhh.. Qu'est ce que j'en sais Maria? Pourquoi tu t'énerves?
Elle: Pourquoi je m'énerve? Parce que j'en ai marre de voir ma sœur souffrir dans un lit d'hôpital. J'en ai marre de voir mon sang souffrir, dés que tu souffres moi je deviens folle Leïla! Je vais péter un câble!!
Moi: Maria.. Je ne sais pas d'où ça vient..
Elle: Tu le sais.
Moi: Non non!
Elle: Arrêtes de me mentir tu veux!
Moi: Mais je ments pas là!! Je te l'aurais déjà dis!
Elle: Tu le vois encore, je le savais.
Moi: Voir qui?
Elle: T'es une grosse mito Leïla!
Moi: Mais de quoi tu parles Maria? Je vois qui?
Elle: Sofian!!
Moi: Quoi??
Elle: Tu vois encore Sofian et tu étais chez lui les deux derniers jours!!

Elle se met à pleurer..

Elle: COMMENT TU PEUX ME FAIRE ÇA LEÏLA P*****!!! COMMENT TU PEUX ME MENTIR À MOI??! JE T'AI JAMAIS FAIS DE COUP DE P*** ET TOI TU ME FAIS ÇA !!! TU ME L'AS PROMIS LEÏLA !!!!
Moi: Calmes toi Maria..
Elle: NON NON!! non je vais pas me calmer, c'est ce que tu mérites Leïla! Tu m'avais promis que c'était finit!! Et toi tu me ments comme ça?? Comment t'as pu faire? T'as habiter chez lui deux jours!! Alors il était confortable son lit hein et ..

Je lui fou une claque, c'est ce qui l'a calmer.

Moi: MAIS T'ES SAH LÀ?? TU ME PRENDS POUR UNE BEURETTE !!! SOFIAN JE L'AIME OUI! SA MÈRE M'A HÉBERGÉE PARCE QUE MA MÈRE ME FRAPPAIT À MORT! ALORS QUAND TU SAIS PAS TU FERMES TA GUEULE!!
Elle: T'sais quoi? Maintenant tu vas te débrouiller toute seule, sans moi. Je vais te laisser tranquille, essaies de trouver quelqu'un qui te supporte parce que moi j'en peux plus!! S*****!!
Moi: JE T'EMMERDE LA P***** DE TA RACE, JE T'EN PRIS CASSES TOI!!

J'étais choquée par ce qui c'était passer. La relation que j'avais avec Maria était unique mais elle a voulu se comporter comme ça (sachant que c'était de ma faute) et bien tant pis.
C'était alors finit.

22h, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. Je repensais à tout ce qui s'était passer depuis hier, j'étais tellement choquée. Je me mis à pleurer, comment l'homme que j'aimais a pu me faire ça ? Il a tenter de me violer, il a commit l'irréparable. Si je ne m'étais pas enfuie, il allait me voler ma dignité, mon trésor. Rien que d'y penser il me dégoute. Je le haie.

Je reste sur mon téléphone.

Puis tout à coup, la porte s'ouvre.
Je ne savais pas qui c'était, je n'attendais personne.

Et je vois qui entrer..

À suivre !

Merci à toutes celles qui suivent ma chronique et qui commentent de jolies choses, vous êtes adorables.

Bisous.

Chronique de Leïla, une fille bien qui dérape.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant