Aujourd'hui est le grand jour, je vais aller visiter mon appartement. Je vais manquer quelques heures de cours puisque le vendeur tiens à nous donner les clés de l'appartement le plus tôt que possible puisqu'il veut ce préparer lui et sa famille pour leur voyage demain. Je met une camisole blanche, et enfile par dessus une veste Adidas. Je met un jean bleu foncé presque noir ainsi que des souliers Adidas.
- Alexia, tu prendras l'auto de ton père pour allé dans ton appartement, il y a une enveloppe sur la table avec l'argent. Bye ma chérie ! crie ma mère. J'entends la porte claquer. Je prend une brosse et me fais une queue de cheval, mes cheveux de bébé pendouille sur mon front.
Je prend mon sac pour le lycée et descend pour aller au premier étage. Je prend l'enveloppe sur la table et pour un instant je culpabilise de prendre cet argent. Je fourre mon phone dans ma poche et sort de la maison en prenant soins d'attraper les clés de la Cadillac escalade de papa. Je prend soins de bloquer la porte derrière moi. Une fois dans l'auto je lançe mon sac sur les sièges arrières, je met le moteur en marche et me met à conduire vers mon futur appartement. Le sourire qui étais plaquer sur mon visage s'aggrandit quand je vois le studio s'approcher. Je trouve un stationnement et me stationne parfaitement. Je descend de la voiture et manque oublier l'argent dans la voiture. Je la prend et ferme la voiture, après quelques « bip bip » je marche vers la porte de l'appartement.
- Enfin.. soupirais-je. Je cogne sur la porte et attend une réponse. Un monsieur dans la trentaine environ viens m'ouvrir, il à les cheveux noir et porte des lunettes. Sont sourire est chaleureux. Il me tend la main que je fixe un moment avant de me rendre compte qu'il veut que je la serre en retour.
- Alexia McKay ? C'est bien ça ? demande t-il en me faisant entrée dans l'appartement. Tout est meublée, et c'est encore plus beau que la première fois que je suis venue voir, je trouve.
- Oui. répondis-je en le suivant jusqu'au salon. Tout est à air ouvert, c'est grand les couleurs sont magnifiques. Il s'assoit sur le sofa et je m'assois sur le sofa en face de lui. Il sort quelques papiers de son classeur en fronçant les sourcils. Il ressemble légèrement à mon.. père. Je fourre mes mains dans les poches de ma veste.
- Bien ! Voilà les papiers. Il range les autres papiers qui ont pas rapport dans sont classeur brun. Il lève les yeux et je souris. Tu es prête à signer les papiers ? me demande t-il.
- Ma colocataire ne viens pas aujourd'hui ? demandai-je soudainement. Il ricane en secouant la tête de gauche à droite. Je ne me rappel pas avoir dis une blague. Je fronçe les sourcils.
- Ce n'ai pas une fille, c'est un jeune garçon, mademoiselle. Je passe mes mains sur mon visage. Bon, d'accord sa ne dois pas être si pire que sa être coloc avec un garçon, non ? Sa ne vous plaît pas être colocataire à un garçon ? me demande t-il.
- Oui, c'est correct. Il hôche la tête puis au même moment je sursaute en entendant la porte de l'entrée claquer. Je regarde le vendeur, sont nom est écris sur sont classeur, il s'appelle... Benoît. Benoît ! C'est qui ? dis-je en posant une main sur ma poitrine. Je sais pas s'il est surpris que je sâche sont nom ou s'il est surpris que quelqu'un est entrée dans l'appartement.
- Alexxxxxxia ! cette voix, merde. Je lève vivement la tête pour croiser le regard de Cameron. Mais il fou quoi ici ? Je regarde monsieur Benoît et lève un sourcil. Non ! Ce n'ai quand même pas lui mon colocataire ?
- C'est votre coloc, mademoiselle Alexia. Dis Benoît en se levant. Je cligne plusieurs fois des yeux, puis un rire sort de ma bouche. Cameron qui regardais autour de lui, pose brusquement sont regard sur moi. Je me lève en frappant dans mes mains de manière excessive.
- Tu n'ai pas heureuse Alexia ? Dis Cameron en s'avançant de moi. Je recule, il me dégoûte, des images de lui écrasant des œufs sur ma tête me reviens à l'esprit et pour réflexe je passe mes mains sur mes cheveux. La rage monte en moi.
- Monsieur ! criai-je. Je ne peux pas être coloc avec Cameron ! Il y'a une erreur quelques part je vous en supplie.. trouver moi une ou un autre colocataire que Cameron Dallas. Dis-je à bout de souffle. Benoît me regarde les yeux grands ouvert. Cameron ris en marchant vers la cuisine.
- Écoutez je ne sais pas ce qui se passe entre vous. Mais c'est sois que vous prenez ce studio appartement ou non. J'ai des choses à faire je vous rappel. Dit-il d'un ton légèrement énervé.
- Il n'y aurais pas un autre appartement pas loin d'ici pour que je pui-... Cameron me coupe la parole comme un gros mal élevé.
- C'est pas comme si que j'avais envie d'être ton coloc ! crie t-il. Sois tu fou ton camp ou ont signe c'est foutu papier pour en terminer bordel ! Je ferme durement la bouche et arrache brusquement le stylo et les papiers que le monsieur me tend. J'enlève le bouchon avec mes dents.
Je signe partout où je dois signer avec des larmes aux yeux. Ne me demander pas pourquoi j'ai les larmes aux yeux, j'en ai aucune idée. Je donne.. je veux dire je lançe casiment les feuilles à Cameron qui les attrapes, je lui lançe en pleines figure le stylo et je me tourne vers Benoît qui assiste à tout sa mal alaise.
- Les clés sont où ? dis-je durement. Il sort de sa poche deux clés. Il me les tends et j'en attrape une brusquement. Je marche d'un pas rageur vers une chambre. Je choisis celle peinte en blanche, avec des meuble brun. Tout est blanc, même le lit. Benoît entre dans la chambre après moi.
- Je suis désolé, je ne savais point que vous et lui vous vous connaissiez. Il passe une main derrière sa nuque. Je ne veux pas vous brusquez mais.. il me faut le premier paiement. Je prend l'enveloppe de ma poche arrière et lui donne. Il compte l'argent et sort de la chambre en me disant, au revoir avec un petit sourire désoler.
Je m'assois sur mon lit. J'entend Cameron et Benoît discuter puis, la porte de l'appartement s'ouvre et je l'entend se refermer. Cameron Dallas ! Non, mais sérieusement ? Ont se fou de ma gueule ou quoi ? Je lève les yeux et vois Cameron plantée devant ma porte. Je vous jure que j'ai envie de lui foutre une de ces gifles.
- Nous sommes officiellement colocataire. Je tiens à te dire que, ce soir je fais une fête donc, pourrais tu rester dans ta chambre ? dit-il. Je me lève et marche vers lui. Ma main me pique tellement j'ai envie de le gifler. Je me flanque devant lui et il baisse la tête pour me regarder.
- Écoute moi bien petit enfoiré. Ici, c'est aussi mon appartement. Donc j'ai le droit de prendre mes décisions aussi ta petite fête de cul tu la feras une autre fois et si jamais tu fais une fête ici il est hors de questions que tu me donne des ordres je fais ce que je veux ! dis-je sur un ton assez menaçant. Je fourre mes clé dans ma poche. Je ferme la porte de ma chambre. Et cette chambre, c'est la mienne. Terminai-je. Je le pousse pour partir.
- La fête aura lieu à 10 heures se soir. Je me tourne vers lui et lui fais un doigts d'honneur il fait vraiment ressortir mon côté rebelle, j'en crois pas.
- Je sais pas pour qui tu te prend petite salope, mais si tu ne fais pas attention... il termine pas sa phrase puisque ma main prend contact avec sa joue. Il ouvre grand les yeux et je vois qu'il deviens rouge. Évidement, personne n'a jamais osé lever la main sur lui.
- Ne me traite pas de salope ! criai-je. Je sort de l'appartement en claquant la porte derrière moi. Je dévale les quelques marches, puis je cours jusqu'à la voiture de mon père. J'ouvre les portes et grimpe à l'intérieur. Jamais moi et Cameron ont va s'entendre un jour.
Je met le moteur en marche et avant de me mettre à conduire je regarde ma main avec laquelle je l'ai giflé. Elle est rouge et elle me fait mal, j'imagine que la gifle étais forte. Tant mieux, j'aurais même du lui donner deux claques de chaque côté de la figure. Je pèse sur la pédales et sort du stationnement, je dois aller au lycée, maintenant. Je vois Cameron sortir de l'appartement, sont regard rencontre le mien et j'accélère pour ne pas voir sa face plus longtemps. Avant que je descend de l'auto pour lui foutre une autre gifle.
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COLOC ?
FanfictionJe n'ai jamais voulu le connaître. Pourtant je le connaît. Je n'ai jamais voulu être sa victime. Pourtant je le suis. Je n'ai jamais voulu être coloc avec ce connard. Pourtant nous le sommes. Que ce passe t-il quand ont apprend que la personne qu'o...