Chapitre 28.

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Cameron.

J'ai l'impression de devenir fou. Peut-être que je le suis déjà ? Mais qu'est-ce-qui m'a pris d'allé raconté se qui c'est passer entre Alexia et moi aux autres ? Pourquoi je n'ai pas garder ma putain de gueule fermer ?

- Putain ! criais-je en donnant un coup de pied sur le sofa.

Je passe une main dans mes cheveux. Je me dirige d'un pas rapide dans ma chambre. Une fois dans celle-ci, j'attrape mon classeur sous mon lit. Je prend maladroitement mon cahier de dessin et mon crayon. Mon coeur bat fortement contre ma poitrine. Je retire mon chandail trempé de sueur et le lance contre la porte. Je m'installe sur la chaise devant mon bureau et me met à dessiné. Je ne sais pas ce que je dessine. Mais je dois parvenir à faire sortir tout mes sentiments de mes pensées et c'est en dessinant que je peux y parvenir. C'est uniquement après de nombreuses heures de travail, que je réalise ce que je dessine.

Je lâche mon crayon et pose mon visage dans mes mains. Mais qu'est-ce-qui ne va pas chez moi ? Rien, rien ne va.

Alexia.

Il est exactement, 6 heures et demie. Je suis stationner à quelques minutes de chez Nathaniel. J'ai changée d'idée, se soir je dormirais dans ma voiture. Je fais reculé mon siège et détache ma ceinture de sécurité. Je me couche et sort mon portable de ma poche, j'ai un appel manqué de Nash. Mon coeur se serre et je le rappel immédiatement.

" Alexia ! " s'exclame Nash.

Je souris. Je souris face à sa joie de me parler. Peut-être qu'il est juste content parce-qu'il est à Cuba ?

" Nash.. ça va ? "

" Ouais, toi ? "

Je ne répond pas. Je réfléchis, mentir ou dire la vérité ?

" Alexia ? "

" Oui, je vais bien. J'ai hâte que tu reviens. " lâchais-je dans un gros soupire.

" Dans 1 semaine. "

" C'est long. T'auras pleins d'examens à reprendre. "

" Le temps passe plus vite que tu ne le crois. "

Je ferme les yeux et soupire. Ont continue de parler un bon 1 heures de temps avant de raccrocher. J'aurai voulu continuer de parler avec lui plus longtemps. Je fourre mon téléphone dans ma poche et ferme les yeux. Je suis épuisé.

Je me réveille. Je ne me rend pas tout de suite compte d'où je suis. C'est après quelques secondes d'étirement que je me rappel que je suis dans une voiture. Il est 10 heures 20. J'ai dormi tout se temps là ? J'ouvre la porte de la voiture pour aller mes besoins dans un petit coin. Lorsque mes pieds touche le sol je ferme la porte et titube vers une petite ruelle. Il n'y a personne, les rues sont complètement vide.

Lorsque je fini d'uriner, je m'arrange et au moment où je m'apprête à partir je vois une silhouette s'approcher de moi. Je me retourne pour faire mon chemin de l'autre côté mais je me rend compte que c'est un mur qui est solidement dresser derrière moi. Mon coeur cogne fortement contre ma poitrine. Je veux crier, j'essaie de crier mais aucun son ne sort. Je suis figé sur place.

COLOC ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant