Addicted to him { Nash Grier }

Impossible

Loreilei : Moi, je fais quoi?

Tess : Et moi?

Moi : Vous, vous faites rien. Vous n'êtes pas dans les Crips, à ce que je sache.

***

Ouais, je l'ai peut-être dit un peu plus sèchement que prévu.

Tess : Je peux faire au moins un petit quelque chose! Je veux me rendre utile!

Je m'approchai d'elle et lui donnai un bisou sur le front.

Moi : Vas te reposer mon amour. Pour l'instant, je n'ai besoin de rien d'autre de ce que je leurs ai demandé.

Tess : Mais-

Moi : Repose-toi. Reste avec Loreilei et profitez-en pendant que vous n'avez rien à faire. J'ai du travail, moi.

Tess : Ok...

Moi : Merci bébé, je te jure que je vais me reprendre.

Je mis ma main sur sa nuque pour l'embrasser mais remarquai une chaîne. Je me rendis compte qu'elle avait mon collier, ce qui me fit sourire. Je l'embrassai mais fut coupé par Loreilei, qui s'impatientait.

***

Les caméras étaient déjà installées et il était maintenant 8h du soir. C'est Keith qui surveillait les caméras. On s'était dit qu'on trouverait un autre moyen de les surveiller h24 parce que 2h à regarder des caméras, c'est long. J'étais en train de me servir un verre d'eau quand j'entendis quelqu'un descendre l'escalier beaucoup trop rapidement.

Keith : Nash!

Je me dirigeai vers l'entrée en fronçant les sourcils.

Moi : Quoi?

Keith : Y'a quelqu'un en arrière de la porte, je te jure.

Moi : Surveille mes arrières.

Je pris l'arme dans le garde-robe en un temps record et me dépêchai d'ouvrir la porte.

Un membre des Bloods était en train de s'enfuir. Mais il s'arrêta net en m'entendant charger mon arme. Il se retourna et resta figé comme un con. Je sais pas pourquoi mais il avait l'air étonné de me voir. Je suis pas Dieu quand même, faut pas exagérer. Bref, je profitai de son "état de choc" pour le projeter par terre et le ruer de coup de poing. Il essaya du mieux qu'il pouvait de se défendre mais c'était évidemment un nouveau dans le métier.

Lui : Arrête, putain! C'est moi!

Je restai surpris à ce qu'il venait de dire mais continuai quand même. Ce n'est pas tout les jours que mon ennemi me supplie d'arrêter de le frapper en prétendant que je le connais.

Lui : Nash! Arrête-toi, merde!

Puisque mon esprit me poussait d'arrêter, j'arrêtai. Je trouvais ça tellement étrange qu'il me demande ça. Quelque chose clochait et je n'arrivais pas à mettre la main dessus. Il s'assit avec difficulté et enleva le bandana rouge qui recouvrait son visage...

Non.

Impossible.

Ce n'était pas lui.