fourty five

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«(PS: j'étais en congé je ne travaillait pas durant deux semaines)
Jena arriva avec l'entrée quand tout à coup...»

Une dizaine de personnes cagoulées, armés jusqu'au dents durent erruption dans le salon. Ils étaient rentrés en défonçant la porte.
J'avais peur ils étaient habillés de noir avec des sortes se ceintures qui faisait tenir des grenades, des recharges, des couteaux...
J'étais tétanisée. Mes membres ne répondirent pas lorsque papa m'ordonna d'aller me cacher.
Hugo qui avait vu que je ne bougea pas me prit par le poignet et me tirra vers la buanderie. Leva une dalle de carrelage (ce sont de grands carreaux) il me fit signe d'aller me réfugier dans la cachette qui se trouvait sous nos pieds.
Je m'exécuta.
Il me dit qu'ils reviendraient me chercher mais qu'il fallait que je sois discrète durant ce temps. Puis il replaça la dalle et je l'entendis prendre quelque chose dans la pièce qui se trouvait dès à présent au-dessus de ma tête. J'entendis le tintement d'une arme.
Je pouvais deviner qu'il sortait quelque chose de celle-ci et la remit. J'imagine qu'il l'avait rechargé.
Puis ses pas se dirigea vers la porte puis quelques celle-ci claqua.
Je n'entendais plus rien. N'observa alors l'étroite cachette dans laquelle je me trouvais.
J'arrivais a peine à voir mais grace aux quelques faisseaux lumineux qui se dégageaient des jointures du carrelage, j'arrivais a dissimuler une sorte d'assise ou quelque chose dans ce genre.
Je m'assia sur celle-ci et remarqua des tiroirs encastrés dans le mur en face de mon visage. J'ouvris lentement l'un d'eux afin de ne pas faire de bruit.
J'y découvrit tout un ensemble d'armes a feux.
Je scruta le contenu de ce tiroir quand soudain j'entendis une détonation. Puis une seconde, une troisième et ainsi de suite. Les coup de feux n'étaient espacés d'à peine une demi seconde.
J'étais terrifiée. Et à chaque détonation ma peur augmentait.

Un geste et tu tombes.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant