ONE LIFE, ONE's HOPE [HISTOIRE FINIE]

XIX. Je revis !

-Ces derniers jours pour Kateleen et Harry-

Pdv Kateleen

J'ai un gros problème et cela me brise le coeur et je sais pas comment le résoudre...

Depuis deux jours, je me sens triste. Ce n'est pas trop grave mais pour moi si, mais bon...

Ensuite, Steacy ne me parle plus trop ces derniers temps. À mon avis, elle est avec Stan. Je suis heureuse pour elle. Puis, je la comprends, je ne sais pas s'ils sortent ensemble mais ça ne va pas tarder... D'ailleurs, je le sens mieux que Zachari, mais je ne sais pas comment Harry l'a pris.

Le problème que j'ai, c'est « mon secret. » Mais je ne peux pas trop en dire plus.
Une bonne nouvelle sur la route, c'est que je peux rentrer dans une semaine à Nice ! J'ai des bons points et mes parents voient que ça me manque là-bas, ils ont été super gentils de bien vouloir m'écouter et de me comprendre. Après une bonne discussion entre eux et moi, ça y'est c'est ok, je peux revenir à l'école à Nice et quitter Lyon et cet internat de merde. Bientôt dans les bras de mes meilleurs amis. Trop bien ! Je vais leur faire la surprise ! J'espère qu'ils seront contents. Ils ont intérêt.

Pdv Harry

Steac' sort avec un nouveau mec. Un certain Stan Lawrens. Je dois l'accepter...

Mes sentiments pour elle sont toujours présents mais un peu moins forts qu'avant. Avec le temps, ils partiront sûrement définitivement. Je n'ai pas le choix. Elle ne le saura jamais que je l'aime. Je préfère ne jamais lui dire pour ne pas gâcher notre amitié si forte. Son bonheur est primordial. Je suis heureux pour elle. Ça a l'air d'être un bon type, pas comme l'autre salopard.
On passe plus de temps ensemble Steacy et moi, c'est assez cool. Je l'aime fort. Elle a bon coeur, c'est une fille en or. Bientôt, tous ceux qui ont fait son malheur s'en mordront les doigts.

-Le lendemain matin, dimanche-

Pdv Steacy

-11h34-

Je me réveillai à cause de la lumière du jour qui passait à travers les volets. Il fait beau et les oiseaux chantonnent. J'aperçois que je suis dans une pièce qui m'est inconnue. Les murs sont blancs et gris, la pièce où je me trouve est pas mal rangée mis à part quelques trucs qui traînent dans les coins.

Je ne porte plus mes vêtement de hier mais un grand tee-shirt gris Super Dry, il sent d'ailleurs trop bon. À ma gauche, dans le lit... STAN ?! Oula, ne vous imaginez pas des choses hein. J'ai dû m'endormir quelque part et il a dû me ramener chez lui ou que sais-je.
Oui, je suis dans son lit, chez lui. Je me demande si ses parents sont là, je me sens gênée... Je l'observai un long moment pendant une demi heure, il est si mignon. Je décidai donc de le réveiller, oui je me gêne pas moi hein. Il est quand même tard et puis ma mère doit s'inquiéter ! Oh putain j'avais oublié ce détail ! Outch, je sens que ça va aller mal pour moi avec ma mère... Eh merde.

Pourquoi il ne m'a pas ramenée hier soir chez moi ?! Je suis à Cannes-là ! Enfin, je suppose. Je lui caressai les cheveux et lui fit un câlin, il est en petite boule tourné vers moi jusqu'à ce qu'il grogne et se réveille. Sa tête le matin est trop choue, sa voix aussi, en gros il l'est tout le temps.

Moi doucement : Mon coeur, il est l'heure là...

Stan encore endormi : Mmmmh.

Moi : Pourquoi je suis chez toi en fait ?

Stan voix endormie, parlant vite : Parce que tu t'étais endormie sur le banc du parc quand on s'était arrêtés, tu te souviens ? Puis, j'ai essayé de te réveiller mais tu bougeais pas, tu dormais comme un petit bébé. Puis reprenant son souffle ... Comme je connaissais pas ton adresse bah je t'ai ramenée avec moi. M'en veux pas s'il-te-plaît avec une petite voix d'enfant en prolongeant son mot. Je me suis pas posé cent mille questions hein.

Moi : Ah ok. Maintenant reste à voir comment ma mère va réagir...

Il se redressa d'un seul coup avec de gros yeux.

Stan : Merde, j'avais pas pensé à ça ! Grouille-toi faut aller à la gare et que je te ramène !

Moi : T'as pas de voiture ?

Stan : Nan, puis ma mère et mon père veulent pas que j'emprunte leurs caisses sans leur demander, puis j'ai pas encore le permis et ils dorment encore fin bref, passons... Aller on se dépêche !

Je me levai à une vitesse grandiose, m'habillai, me fis une queue de cheval haute, me démaquillai avec, je suppose, les produits de sa mère. Car oui, mon maquillage a coulé pendant la nuit. Je pris les sacs de vêtements achetés hier puis descendis en bas de chez lui.
Je fis tout ça à du « cent à l'heure. » Dommage que je ne puisse pas voir ses parents...
Puis, lui ce fut pareil, il se grouilla pour essayer d'éviter l'engueulade de ma mère. On fit notre possible, si ça se trouve elle n'aura même pas remarqué que je n'étais plus là hier, je ne l'ai pas prévenue. Glurps. Là, je me suis foutue dans la merde alone.

Arrivés dans le train en courant, on s'assit l'un à côté de l'autre.

Stan : Je cours toujours pour prendre le train. Rigola-t-il.

Moi rigolant aussi : On est des boss !

Stan : Clair.

On rigola puis je posai ma tête sur son épaule. On commençai à parler.

Moi : Sinon, je suis légère ?

Stan se moquant : Non t'es lourde comme Patrick dans Bob l'éponge.

Moi lui faisant une tape sur la tête : T'es un petit comique.

Stan se la pètant : Je trouve aussi.

Moi faisant mine de râler : T'es pas sympa en fait.

Stan me faisant un bisou sur la tempe : Je déconne, tu as plutôt le poids de Plancton dans Bob l'éponge. Il rigole.

Moi : Ah ça va ! Mais il n'a qu'un œil, lui.

Stan : Ouais mais toi, tu as deux œils et c'est mieux.

Moi : On dit « deux yeux » pas deux oeuils ducon.

Stan rigolant : Ah merde déso pas fais exprès.

Trop drôle ou pas.

Moi rigolant : T'es con.

Stan essayant de ne pas rire : Ouaip c'est un de mes côtés favs.

On éclata de rire, on est vraiment stupides.

Le trajet passa vite, voire même trop, dans peu de temps, on allait arriver à Nice et je devrai quitter mon chéri. J'ai passé des moments supers avec lui que je retiendrai toute ma vie.

-Devant chez moi-

Stan me prit dans ses bras et m'embrassa pour me dire au revoir.

Moi : Merci pour tout.

Stan : C'est normal.

Il allait de nouveau m'embrasser quand la porte de ma maison s'ouvrit... Eh merde.

Média : Stan et Steacy.