Daddy Payne

Chapitre 17.

Pdv Liam.

Elle était maintenant nue devant moi. Je souriais, tandis que qu'elle tremblait.

— Tu vas ecoute Daddy, maintenant ? Je demande.
— Oui.
— Oui qui ?
— Oui Daddy.

Je passe mes mains dans son dos pour la rapprocher de moi.

— Qu'est-ce que tu veux de moi... ?
— Daddy t'a demandé quelque chose ? Je dis.
— Non, mais-
— Alors tu te tais. Aboyais-je.

Elle se raidit dans mes bras, j'attrape un préservatif que j'enfile rapidement, puis je profite de son manque d'assurance pour la pénétrer durement.

Elle crie de douleur, mais peu m'importe.

Je reste en elle, et je vais jusqu'au canapé pour l'allonger dessus, puis me positionner au dessus d'elle.

Je commence des va-et-viens durs, secs et rapides. Elle crie.

Elle pleure.

— Arrête.. Li.. Liam.. Je t'en supplie.. Pleure-t-elle.
— Daddy. Appelle-moi Daddy.
— Arrête Daddy ! Aaah... S'il te plait.. !!!

Je stoppe mes coups de reins, je m'enlève d'elle.

— Pourquoi le ferai-je ? Ce n'est pas moi qui doit recevoir les ordres, il me semble.

Elle se redresse en essayant de se lever, mais je lui attrape le pointe pour qu'elle me regarde.

— Où comptais-tu aller comme ça ? Ricanais-je.
— Je veux rentrer chez moi, Daddy. Laisse moi partir.

J'éclate de rire, elle me donne un coup de poing dans le torse.

— Ce geste va te coûter cher, Aurelia. Très cher, même.

Je la regarde sévèrement, ses yeux changent d'expressions immédiatement. Elle doit avoir compris que son geste allait être punit.

J'attrape une cravate ou je ne sais plus trop quoi qui traînait sur le côté du canapé. Ouais, c'est une cravate, bref, j'attache ses poignets avec et je les fixe au bras du fauteuil.

Elle était étendue là, gigotant dans tous les sens. Ça me faisait rire.

J'enlevais mon teeshirt, parce que bon, c'est encombrant dans ce genre d'actes.

Je me mets à califourchon sur elle, l'embrassant. En partant de sa bouche, pour descendre dans son coup, et lui laisser des marques qui violaceront demain. Je descends ensuite vers ses seins, elle frissonne. Je continue ma trajectoire sur la peau lisse de son ventre, puis j'arrive enfin à l'endroit fatidique. Elle bouge de plus belle.

Je me redresse, puis joue avec. Je l'effleure de mes doigts, elle gémit.

Puis je lui rentre un doigt. Un deuxième. Je fais des va-et-viens avec.

Elle se cambre.

— Aah.. Pu.. Tain..

Je souris, satisfait de moi.