Chapitre 51.

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Sortit de l'hôpital, actuellement chez Liam...

Pdv Aurelia.

Je suis enfermée dans la chambre, après encore une dispute avec Liam, j'en ai assez, je préfère être seule.

Flashback : une heure avant...

— Dis-moi que tu plaisantes, quand tu me demandes de garder ce bébé ? Lui criais-je.
— Non. T'es la première que j'arrive à mettre en cloque alors tu vas le garder ce gosse, c'est moi le père et il fait mon accord pour l'avortement !

Je souffle et je lui lance un regarde noir.

— Et arrête de me lancer des regards d'assassin comme ça.
— Des regards d'assassin ? Rappelle-moi lequel de nous deux a fait de la prison pour meurtre ?, lui dis-je tout doucement comme une mère à son fils.
— Ne mêle pas ça à la conversation... Aurelia, j'ai horreur de me disputer avec toi, mais il fait comprendre que t'es pas facile à vivre comme meuf.

Pas facile à vivre ?

— Pas facile à vivre ? Tu t'es regardé avant de me dire ça ? T'es pire qu'un gamin qui fait des caprices dès qu'il n'a pas ce qu'il veut. Et on ajoute l'autorité à ces caprices, plus le meurtrier, crois-moi que tu devrais fermer ta gueule et réfléchir avant de parler. Ça pourrait t'aider dans la vie de tous les jours, notamment avec ton meilleur ami. Harry m'a dit ce que tu lui as dis avant de quitter le café... T'es vraiment infecte comme gars.

Il ricane et souris méchamment.

— Infecte ? Excuse-moi chérie, mais tu t'es quand même jeter dans ses bras ! J'ai le droit d'agir comme ça, parce que tu es à moi ! T'es ma propriété, compris ? Lâche-t-il sèchement.
— Je refuse d'élevé cet enfant sous le même toit que toi. Il est or de question qu'il soit éduqué par un criminel. Alors tu peux toujours crever. J'ai dix-huit ans, j'ai pas encore profiter de la vie, je ne veux pas le garder. C'est mon dernier mot.

Je commençais à quitter la cuisine, mais évidement, monsieur Payne m'attrape le poignet et m'immobilise pour m'empêcher d'avancer.

Il colle sa bouche à mon oreille, et le chuchote :

— Si tu ôtes la vie de cet enfant, Je t'en lèverai la tienne.

Il me lâche, et je ne peux retenir ma main qui part à la rencontre de sa joue. Avant qu'il ne réalise ce que je viens de faire, je monte m'enfermer à doubles tours dans sa chambre.

Fin du flashback.

Je suis envahi par la peur, la colère et la tristesse. Je pense que ces sentiments sont normaux, étant donné la situation.

J'attrape mon téléphone, et je décide d'envoyer un message à Harry.

Daddy PayneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant