Chapitre 21.

13.8K 314 4
                                    

Je poste ce chapitre et c'est le dernier jusqu'à lundi soir, excusez moi. Mais demain c'est la St Valentin et je la fais avec mon chéri, bref profitez de celui-ci et laissez des commentaires s'il vous plaît.

________________________________________________

Pdv Aurelia.

Il se rapproche d'avantage de moi.

— Tu as peur, me demande-t-il.
— Non, mentis-je.
— Tu sais que le mensonge est, normalement, une chose qui doit être punit?
— De toute façon, quoi que je fasse, d'après toi cela doit être puni, alors...
— Tu mériterais une claque pour ton insolence, mais comme tu viens de te réveiller je vais rester indulgent.

Il n'est pas sérieux là, j'espère ?

Je décide de me lever, et je le pousse au passage.

— Laisse moi me lever, putain ! J'accepte déjà que tu sois rentrée chez moi sans y être inviter, alors ne m'oblige pas non plus à rester dans mon lit. J'ai faim, laisse moi descendre. Il m'attrape les poignets et me regarde méchamment. Lâche-moi, Liam ! Tu me fais mal... Putain.. Non tu serres trop fort.. Liam !

Il tient mes poignet dans une main, puis de l'autre il tient ma joue. Il s'approche doucement de mon oreille, et me chuchote :

— Alors comme ça tu me donnes des ordres ? Mais ça ne marche pas comme ça, Aurelia. Non. Je vais te montrer qui c'est le patron, entre nous. Crois-moi que tu réfléchiras à deux fois avant de me manquer de respect à nouveau.

Il me prend par la taille et me jète sur mon lit.

Il monte à califourchon sur moi, et commence à me tripoter la poitrine.

J'essaye de me débattre, mais à quoi bon ? Quand tu pèses à peine 60 kilos et que l'homme au dessus de toi en pèse environ 75, c'est peine perdu.

— Hier je t'ai baisé mais je suis resté gentil, tu peux toujours t'asseoir. Aujourd'hui je vais à nouveau te baiser, mais tu pourras plus t'asseoir.

J'essaye quand même tant bien que mal de le repousser, mais ces tentatives ne servent à rien, alors pourquoi je continue ? Je ne vais réussir qu'à me tordre le poignet, c'est tout.

— Pourquoi cherches-tu à me résister, Aurelia ?
— Je ne veux pas.. De.. Toi.. Putain !
— C'est bien pour cela que je suis ici. Je ne suis pas là pour ton plaisir à toi, je suis là pour le mien, rien que pour le mien.

J'avais juste envie de lui dire que c'était un connard, mais je retiens. Je ne voulais pas me faire frapper.

Il se relève, le temps d'enlever ses vêtements, et moi je profite de cette occasion pour sortir de ma chambre en courant. Par chance il avait laisser la porte ouverte alors je n'ai pas eu à perdre du temps dessus. Bref, je descends les escaliers rapidement et je vais à la cuisine. J'avais faim, mais la peur passait avant quand même.

Liam m'avait -malheureusement- suivit, et avant que je n'ai pu attraper une fourchette, ou même une cuillère, il m'attrapa et me colla contre lui.

— Qu'est-ce que tu cherchais à faire au juste ? Me demande-t-il doucement.
— À te fuir.

Ces mots ont franchis mes lèvres sans que je m'en rende compte, et je les regrette aussitôt.

Il m'attrape et me mets sur son épaule, ce qui me laisse une vue d'ensemble sur son dos musclé.

J'essaye de le griffer avec mes ongles qui, pour une fois servent à autre chose qu'à me faire chier, mais il s'en fou totalement. J'essaye de les lui planter, mais c'est le même échec.

Puis finalement je me calme, jusqu'à ce qu'il me dépose délicatement sur mon lit.

En fait, je crois que je ne veux pas le fuir. Je crois même que je veux me laisser me faire baiser par lui.

Parce que je crois qu'en fin de compte que j'aime ça...

Ouais.. J'aime savoir qu'il est là, tout près.

Mais il est hors de question qu'il le sache.

Daddy PayneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant