Freedom... Chapitre 1

18K 784 297
                                    

Voici ma nouvelle fanfic sur le JiKook qui, je dois vous l'avouer, me plait beaucoup, je tiens par contre à vous prévenir que je ne pourrais pas poster les chapitres aussi rapidement que les autres, car je passe le bac cette année (et cela passe bien évidemment en premier). Je voulais poster ce premier chapitre plus tard car d'habitude j'attends d'avoir au moins un ou deux chapitres d'avance, mais je voulais vraiment le poster pour que vous me donniez votre avis et pour savoir si l'histoire vous intéresse et vous donne envie de connaitre la suite. Bref, je ne vous embête pas plus longtemps, bonne lecture!!

-------------------------------------------------------------------------

Freedom

« Rire, c'est risquer d'être ridicule. Pleurer, c'est risquer d'avoir l'air sentimental. Tendre la main vers l'autre, c'est risquer l'engagement. Exprimer ses sentiments, c'est révéler sa véritable nature. Exposer ses rêves et ses idéaux, c'est risquer de les perdre. Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer l'échec. Alors, il faut tout risquer pour exister ! »

Chapitre 1 :

« Ne perds jamais espoir. Lorsque le soleil se couche, les étoiles apparaissent. »

---------------------------------------------------------------------------------------

P.O.V Jimin :

Je me présente, je m'appelle Jimin et je dois avoir 16-17 ans je pense,(seulement l'âge de Jimin a été modifié dans cette histoire) vous vous demandez surement comme se fait-il que je ne connaisse pas mon âge et bien c'est parce que je suis victime d'esclavage, eh oui, cela est encore possible de nos jours, c'est ce que l'on appelle l'esclavage moderne. Bref je ne pense pas que vous raconter ma vie soit amusant. En gros, je suis dans ce merdier, je pense, depuis que je suis né et aujourd'hui mon « propriétaire » va me vendre sur un marché contre du fric bien évidement. Je suis le genre d'esclave que l'on pourrait qualifier de bonne, je m'occupe de la maison et de la cuisine pour mes « maitres », par chance, j'étais pour l'instant trop jeune pour être abusé mais je pense que cela ne saurait tarder. Pour ce qui est de mon corps, j'étais marqué de coups de fouets ou de ceintures, et je ne vous parle même pas de l'état de mon cou, mes poignets et mes chevilles à cause de ces grosses menottes en fer et de toutes ces chaînes, mais bon à force j'avais fini par avoir l'habitude.

Nous étions arrivé sur le « marché » et mon propriétaire me fit rentrer dans une cage ou il attacha mes poignets à un barreau du plafond, puis il referma la cage à clé bien évidemment et accrocha une pancarte sur le devant où devait surement être noté « mon prix ». Ces moments était ceux que je détestais le plus, être comme cela dans une cage à la vue de tout le monde sans qu'aucun d'eux ne vous prêtent attention, seulement pour savoir si vous êtes une bonne affaire ou si vous valez la peine. Le pire dans tout ça, c'est que je pense que mon corps n'allait plus tenir très longtemps, j'avais faim, très faim, j'étais fatigué et depuis quelques temps, je commençais à me sentir mal, j'étais surement en train de tomber malade mais absolument tout le monde s'en fiché, après tout je n'étais qu'un esclave.

Pendant que j'étais en train de broyer du noir et de réfléchir à ma misérable vie, quelque chose ou plutôt quelqu'un attira mon attention. Un jeune garçon était en train de me regarder, pendant qu'un autre plus âgé était en train de discuter avec mon propriétaire. C'était très rare de voir des personnes d'à peux près mon âge dans ce genre d'endroit, mais ce qui me troublait le plus, c'était la façon dont-il me regardait, ce n'était pas du mépris loin de là, ni de la pitié, mais de la compassion et de la tendresse, j'avais enfin l'impression d'être vu comme un humain plutôt qu'un animal. Si cette personne allait faire partie de la nouvelle famille à qui j'allais servir, je me sentais un peu rassuré, mais je ne me réjouissais pas trop vite non plus, on dit souvent que les apparences sont trompeuses.

FreedomOù les histoires vivent. Découvrez maintenant