Loubna, enceinte d'un mafieu ~Chronique~

Chapitre.16~Menace~

Je me leva, et lorsque je vis une ombre passé près de la fenêtre je compris de suite. Je monta à l'étage en vitesse mais les personnes me virent, et rentrèrent rapidement dans la maison. Il me pourchassait et je rentrais dans le bureau à Said vu que c'était la seule pièce qui avais une porte blindée.

Je ferma la porte, et chercha un téléphone ou quoi que ce soit d'autre. J'entendis des coups de l'autre côté, et mon coeur se mit à battre plus vite que la normal.

J'entendais des coups de feu et je pense bien qu'il tirait sur la porte pour pouvoir l'ouvrir.

Je trouva enfin un téléphone, j'appela à la hâte Samy et lui expliqua la situation. Il me dis qu'il arrivais, et me dis de me cacher.

Il n'y avais aucun endroit possible, et au bout de 5 min j'entendis la porte lâché. Je vis un homme assez costaud brun, s'approchait de moi avec un sourire mauvais. Je pris la lampe et lui cogna la tête àvec quand il fut assez proche, mais au lieu de l'assommer ça l'énerva plus qu'autre chose. Il s'approcha pour m'attraper, mais la seconde d'après il se retrouva au sol, et je vis Said derrière une arme à la main.

Je courut vers lui et le pris dans mes bras.

Moi~ Je..j'ai crut que cette fois...je...

Il me caressait les cheveux, mais il ne dit pas un mot. 5 minutes plus tard Samy arriva. Il me pris lui aussi dans ses bras.

Lui~ Sava ? T'as rien ?
Moi~ Oui t'inquiète pas, Said est arrivé à temps.

Il se tourna vers son frère.

Lui~ Et toi ? T'as rien ?

Il regarda l'homme au sol, et fronça les sourcils, sa mâchoire se crispa.

Samy~ C'est Tonio de la mafia italienne ça. Qu'est ce que ce batard fais la ?

Said~ Il voulais s'en prendre à Loubna, en bas à part quelques meubles par terre rien a été pris alors qu'il aurait eue le temps.

Samy~ C'est censé être nos putains d'alliés !

Je m'approcha de Samy pour le calmer.

Moi~ Mais pourquoi ils veulent s'en prendre à moi ? Je veux dire j'ai rien à voir avec toutes ces histoires.

Said~ Tu portes mon enfant, donc un héritier. Les héritiers ne sont jamais les bienvenues, on a tous été victime d'attaques. Mais pas de mafia alliés.

Il se tourna vers Samy.

Said~ Y'a une histoire louche derrière tout ça. Il se passe un truc et on est pas au courant, mets des hommes sur cet affaire.

Samy acquiesça, il sourit à son frère, m'embrassa le front puis s'en alla.
Je me tourna vers Said.

~ Ça veux dire quoi ? Mon enfant sera toujours menacé ?
Said~ Au début ouais, mais quand il va naître ce sera autre chose. Au bout d'une semaine de vie, l'enfant n'a plus a être menacé c'est une règle.
Moi~ TU TE FOUTS DE MA GUEULE ?!
Said~ Évite de crier avec moi, ça m'empêchera de te faire mal.
Moi~ La vie de mon bébé est menacé et tu t'attendais à quoi ? Que je te saute au cou ? J'accepte qu'on me menace moi mais pas lui. En plus de ça c'est des personnes en qui vous avez confiance.
Said~ Je n'ai confiance en personne. Juste tais toi tu me fais mal au crâne, je te quitterais plus donc sois en sure qu'il ne t'arrivera rien.
Moi~ Tu veux que je te fasse confiance pourtant toi même tu n'a confiance en personne.
Said~ Parce que crois le ou non je suis un homme de parole. Et que celui qui touchera un seul de tes cheveux il aura à faire à moi.

Il s'en alla sur ces mots. J'eus envie de le prendre dans mes bras mais je ne pouvais pas étant donner que je m'étais juré de le détesté. Mais c'était bien la première fois que quelqu'un voulait à tout prix me protéger...

Qu'est ce que je raconte ? Il fait tout ça pour son enfant, quand j'aurais accouché ce sera une autre histoire. Je me mis à la recherche de Merguez et c'est à cet instant que la douleur surgit.

Moi~ Aaaaaaaah.

Je tomba à terre, et tout ce que je pus voir de mon ventre c'est que je saignais de l'entre-jambe.

Oh non ! Tout mais pas ça. J'eus à peine le temps de faire des Douhas que Said arriva et me porta en direction de l'hôpital.

Malheureusement pour moi je ne me suis pas évanouie, et je ressentais toute la douleur. Said était choqué, et avais accélérer lors d'un de mes nombreux cris.

Lorsque j'arriva à l'hôpital, on me transporta direct dans un des brancards.

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