Chapitre 1

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Au moment où j'ouvre les yeux je me trouve dans une pièce noire, j'ai beaucoup de mal à savoir où je me situe à ce moment là. Jusqu'à entendre quelque chose qui vibre dans ma poche. Mon téléphone encore charger à cinquante pourcents. Un numéro s'affiche celui de Gabriel.

De Gabriel
" Hey Lina, je tes pas vue rentrer de la fête hier, je voulais savoir si tu es rentrée chez toi ?"

Mes souvenirs me revienne petit à petit, les moments où lui et moi ont dansait ensemble, ainsi que l'alcool que j'ai bue... J'éclaire l'endroit avec mon téléphone, je me trouve dans une petit chambre de la maison où c'est passé la fête. En marchant je fais attention à ne pas marcher sur les personnes qui dorment pars terre et dans l'escalier. Arrivé en bas de cette maison, plein de gobelets sont sur le sol. Je choisie de répondre à Gabriel.

A Gabriel
"Non, je ne suis pas encore rentrée, je souhaite rentrée chez moi, mais je sais pas se situe ce fichu bus"

En moins de deux minute il me dit qu'il vient me chercher, mais il faut que j'attende. Je tourne en rond, je décide de l'attendre dans la cour.

Je suis enfin assise au chaud dans sa voiture.

Alors beauté, on dirait que tu as plus la tête dans le cul que moi, me dit Gabriel.

- C'est bien pour ça que tu me sert de taxi.

J'aime pas qu'il me taquine surtout pas aujourd'hui. C'est vrai j'ai la tête dans le cul j'ai oublier de d'écrire Gabriel. Comment dire en un mots, belle homme, très belle homme même. Il a vingt ans, trois ans de plus que moi et Amélie. Il a son caractère bien a lui, grand séducteur, mais quand-t- on le cherche il a pas peur d'en venir aux mains, il me fait toujours aussi peur même avec les années qui passent. Notre amitié est forte même si je n'aime pas qu'il traîne avec tellement de filles. Après toutes les filles qui craquent sur lui je les comprends, il es bronzé, grand, avec des yeux gris, vert sa dépend, et ses cheveux noirs ébouriffés. Moi a côté de lui je suis de même physique, j'ai dix sept ans, blonde, grande mais pas aussi grande que lui, je lui arrive à la hauteur de son nez. Ce qui nous rapproche son nos problèmes familiaux, même s'il ne montre pas qu'il souffre.
Pendant tout le trajet il reste silencieux, j'en profite pour le regarder. Il se concentre sur la route. Dans ces moment là j'ai l'impression de n'être qu'une âme a coter de lui. Mais le faite d'être près de lui me rassure.

Voilà poulette on est arrivé.

Sincèrement j'ai pas envie de quitter cette voiture pourrie, j'ai pas le choix. Je devrais encore passé une journée seule, sans mon père a la maison.

Ouais... Gabriel je peut te demander quelque chose?

- Oui tout ce que tu veux.

Si cette après- midi mon père n'est pas rentré, on peut partir, pour ... se balader ou ... aller au ciné ?

Mais bien sûr, tu me dira par SMS.

- Oui.

Je lui fait un bisou sur la joue droite et sort. C'est je pense le moment que j'aime le  moins. Le quitter pour me retrouver seule chez mon père.
Ma mère elle sais pire comme elle rentre le soir de son boulot, elle n'es pas seule, chaque soir quand je vais chez elle, je vois des hommes chaque soir un différent. Et chaque soir j'entend ses débats sexuels. Elle me dégoûte, elle me fait honte. Ma mère est comment dire... strip-teaseuse, mais à mon goût elle est bien plus. Je pense que c'est pour sa que mes parents ont divorcé, cela fait bientôt un an. Un an que je vais chez l'un puis chez l'autre. J'en ai d'abord beaucoup souffert, mais maintenant je suis entre la colère de me faire vivre sa et le soulagement de ne plus les entendres se crié dessus dés qu'ils finissent de travailler. On peut dire que grâce a eux j 'ai appris l'indépendance, quand-t- ils sont pas là j'ai pas le choix je dois tout faire. Ouf par chance je n'ai ni soeur ni frère à ma charge. Juste moi et sa me suffit déjà amplement. Pour une fille de dix sept an je me sens plutôt seule, j'ai jamais eux des parents hyper proche de leur fille, si mon père était a mon petit soin quand j avais environ six an, mais sa fait partie du passé. Pour être honnête sa me manque de ne plus être sa puce avec qui il passait les week-ends a jouer, plus j'ai grandie plus le travail passais en priorité. Et seul ma mère devait s'occuper de moi. Pour elle c'était un supplice, elle attendait que je sois à l'école ou au collège pour qu'elle soit tranquille, qu'elle puisse boire. Quand je rentrais des cours elle était le plus souvent tout sauf sobre, puis le soir elle partait travaillée. Et me laissait seule le temps que mon père rentrais, si j avais de la chance il était a l'heure ou elle part ou sois je devais attendre. Il m'arrivait d'attendre plus d'une heure seule chez moi.
Revenons a ma petite solitude. Je n'arrive pas à attendre jusqu'à cette aprèm Gabriel me manque, ainsi que le conforte et le faite que je sois rassurer près de lui.

A Gabriel
" Re, désolé mais je peux pas attendre, je me change et on sort ?"

Je verrais bien sa réponse, j'espère qu'il répond vite.

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant