Chapitre 32

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Le calme dans la voiture me fait froid dans le dos ni moi ni lui ose prendre la parole. Il roule mais n'a pas une seule attention envers moi je ne sais pas vraiment pourquoi, ni ce que j'ai pu  faire pour subir tous sa. Je n'ose pas poser mon regard sur lui, sur sa peau. J'ai peur de ce qui pourrais se passer par la suite donc je reste là à regarder par la vitre, les paysages qui  défile et mes yeux s'emplisse de larme. Je ne veux pas le perdre mais pourtant il m'a l'air que les difficultés entre lui et moi commence déjà. Pourquoi j'ai crut qu'Ikhlas allais se taire, pourquoi a-t'il du ouvrir sa gueule. Il ne se préoccupe même pas de se qui peut se passer a cause de lui. Merde je ne me comprend pas, je ne comprend pas le choix que j'ai fait ce jour là. J'aurais pu faire mille et une connerie sans que sa face de gros dégâts sur ma relation. Mais non j'ai choisie de me poser sur sa place de parking et d'attende qu'il vienne pour ensuite être dans son lit. Mais où j'avais la tête, comment j'aurais pu me dire que se mec allais juste me protéger, et pas me détruire. Mais non il a ouvert sa gueule et a déclarer la guerre avec Gabriel. Je l'ai jamais vue dans cette états aussi énerver, aussi possessif, aussi violent. Quand je pense à la lettre de l'inconnu ou il me dit que Gabriel sera celui qui pourras mener a ma perte, il m'a l'air qu'il pourrais avoir raison. Le faite de penser qu'un simple inconnu puisse connaitre Gabriel mieux que moi me fait peur.

Il roule de plus en plus vite, le paysage défile de plus en plus vite, je ferme les yeux. Qu'a-t-il en tête ? Je peux le comprendre qu'il soit un peu énerver envers moi, mais je ne veux pas mourir. Je veux juste rentrer chez moi, retrouver mon père, mon chez moi et surtout ne plus être dans cette voiture.

- Ramène moi chez moi je t'en supplie !

Il pose vite son regard survmoi. Je vois dans ses yeux qu'il est toujours énerver contre moi, mais que derrière son regards il y a toujours notre étincelle, le vrai lui. Celui qui n'osera jamais me faire du mal, celui qui m'aime tel que moi je l'aime.

- Okay mais nous aurons tout de même une discussion.

Je suis déjà un peu rassurer de retourner chez moi, mais j'angoisse quand même pour cette discussion. Il va  denouveau être en colère de mes actes, mais je n'y suis pour rien, du moins je pense.J'espère que tout se passera bien, comme dans les histoires ou les films.

La maison de mon père appairais au loin. Mon cœur est plus calme, je suis plus rassurer. Même si la conduite un peu rapide de Gabriel ma fait peur je suis toujours en vie et lui aussi.

Je sors de l'habitacle, il me suit de près. Son regards est posée sur moi je peut le sentir. Il me fixe chacun de mes pas. Je rentre je découvre que mon père n'est pas là, Gabriel me suit il referme la porte derrière lui. Il me suit quand je monte vers ma chambre. Je m'assoie sur le lit, on se fixe mais je n'ose pas aborder le sujet. Il s'assoie près de moi.je sens son corps chaud, même si nous somme un peu éloigner la chaleur qu'émet son corps.

Je rapproche mon visage du sien, ces lèvres matir, me rends folle. Je pose mes lèvres sur les siennes, mais je sens ses mains m'écarter de lui. Je viens de me faire refuser. Je suis gênée de l'avoir embrasser et de me faire rejeter telle qu'une merde.

-Tu peux pas faire ça !me crit- il.

- Mais...

Tu peux pas jouer avec moi comme ça, tu peux pas m'embrasser alors que tu as passer la nuit avec l'autre con !

- Ah nous y voici.

- Ouais nous y voici, tu comptais me le cacher longtemps ?

- Non j'allais t'en parler mais pas comme ça.

A ben c'est sur l'autre qui vient me chercher la merde, puis j'apprends que tu es aller chez lui je ne sais quoi faire.

Je n'es rien fais avec lui, j'étais mal a cause de plein de chose de toi qui me répondais pas, de ma mère et de plein d'autres trucs. Mais c'est vrai si je t'aurais appeler tu aurais fais quoi. Hein, tu n'aurais rien fais ! Tu m'aurais laisser là-bas tu n'aurais même pas vue mon message car tu fais je ne sais quoi qui passe avant moi.

-Oh je te ferais dire que tu n'as rien fais avec lui, tu l'as vue.On aurais bien dit que tu lui as fait plaisir.

Je ne suis pas une salope! j'était mal et lui il était la pour moi comparer a toi.

- Arrête tu me fais rire, je te ferais dire que moi je bosse comparer a d'autre qui ne foute rien.

- Ouais tu bosse et tu me prend surtout pour une conne !

- Non tu ne peux pas dire sa !

Il se lève, il me regarde la rage dans les yeux. Il pars en claquant la porte fort et me laisse la toute seule, et mal de se qui vient de se passer. Ça aurais put être pire, il sait contenu mais je suis quand même attrister de tout ses sous-entendu méchant. Je me couche, je fixe le mur. Mon téléphone vibre.

De Gabriel

" J'ai besoin d'être éloigner de toi pour réfléchir a certain truc, surtout toi et notre relation."

Mes larmes me viennes au yeux. Qu' ai-je encore fait. je risque de le perdre, c'est le seule que j'aime. Tout mes erreurs me font faire que je vais peut être perdre l'homme que j'aime. Je suis définitivement briser de mes actes, de moi et de cette situations. Je laisse les larmes m'envahir je pleure et je crie de douleur. J'ai mal de l'intérieur. Je reste plonger dans mon d'espoir.

Je n'ai  plus la force de rien faire, je reste là alors que je ne devrais pas. Je devrais me lever, manger, me battre, vivre. Même si son choix me tue de l'intérieur je dois quand même essayer, je ne peux pas tomber si facilement je dois me relever me montrer a moi-même que je suis forte. Que je suis invisible que rien ne me touche, ne me blesse, et ne me tue.

Mon réveil sonne, je n'es aucune envie de lever mon cul de mon lit.Je voudrais rester planter là à surfer sur les réseau sociaux et ne rien faire.Mais hier soir j'ai promis a Amélie de venir, donc je n'ai pratiquement pas le choix, je dois me lever m'habiller et bouger d'ici.

Quand je suis habiller je dévale mes escalier, prends une pomme au passage, puis mon sac. Je pars vers mon arrêt de bus, vue que je n'ai pas vue mon père dans la soirer de hier.

Je sors du bus, je marche vers le lycée, je regarde vite fais sur le parking. Je vois sa voiture, il est assit sur le capot et parle avec quelques garçons qui doivent être ces nouveau potes. Il pause vite son regard sur moi, mais moi je n'arrive pas à décrocher mon regard de lui. Il est si beau. Je marche tout en le regardant. Un de ses amis un grands, plutôt bronzer ou métisser je ne sais pas me fixe. Je ne fais pas attention a lui je garde mon regard sur Gabriel qui lui est plus intéresser à parler. Je marche jusqu'à me prendre en pleine figure un poteau. Je tombe par terre, j'entend quelque personne qui rigole en passant a coter de moi mais je ni fait pas attention.J'ai une douleur forte au niveau de la tête, elle tourne, je n'ai pas l'impression d'être stable.

- Ça va ? Tu t'es pas trop fait mal ?me demande une voix.

-  Ça va, j'ai la tête qui tourne mais sa peut aller.

Je ne regarde pas la personne qui me parle, mais je sais que ce n'est pas Gabriel il n'a pas la même voix, elle est beaucoup plus grave, beaucoup plus virile.

- Tu veux que je t'amène a l'infirmerie ?

Non tu peux juste m'aider a me lever.

Pas de soucie.

Il passe sa mains son mon bras droit puis me soulève, j'ai un peu de mal a avoir une vue stable. Mais j'arrive tout de même a marcher a peu près droit. Amélie me rejoint puis passe son bras près de moi pour me stabiliser.

- Merci.

Je remercie ce mec, mais je ne sais pas s'il ma entendu ni même qui sa peut être, mais c'est le seul qui est venu me demander comment je vais et m'aider. Gabriel était pas loin il aurais put me venir en aide, mais il préfère rester avec ces amis. Nous marchons vers la cafétéria, je dois me poser, sinon je ne vais pas passer la journée.

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant