Chapitre 49

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La porte d'entrée s'ouvre, mon père débarque. C'est étonnant qu'il soit déjà là alors qu'il n'ait pas encore dix-neuf heures. Il jet sur la table basse plusieurs prospectus ainsi que des lettres, puis se dirige vers la cuisine, pose sa sacoche sur l'une de nos chaise haute blanche.

- J'ai vue Gabriel.

- Ah.

- Il m'a demandé de t'es nouvelle.

- Ah bon ?

- Tu ne lui parle plus ?

- Non.

- Sinon il m'a demandé de te donner cette enveloppe, et m'a dit de te dire qu'il faut absolument que tu réfléchisses à lui pardonner et qu'il t'attendra le temps qu'il faut.

Comment peut-il dire ça de une à mon père, et de deux me le redire il croit vraiment que je suis ce genre de fille, a zapper en quelques jours et lui retomber dans les bras. Il m'a fait mal, il m'a prise pour une conne, malgré qu'il a eût de la peine, le respect dois comme même rester.

Je me dirige vers la seule lettre qui a mon nom, elle est toute au-dessus de la pile qu'à jeter Mathieu. Quand je l'ai entre mes mains, mon cœur bas de plus en vite que j'ai peur qu'il ne s'arrête d'un coup, mon ventre se crispe, ma tête tourne. L'enveloppe vole jusqu'au bas de l'escalier, je lirais ce qu'elle contient seule dans ma chambre après avoir mon ventre remplis.

Quand je monte les escaliers il n'y a pas d'envie, pas d'émotion. Comme si je savais que j'allais être à nouveau réduit en cendre.

La lettre entre mes doigts tremblant. Je ne sais pas ce qui me prends me l'ouvre jet sont contenus sur mon lit. Des photos de nous re-scotcher en trombe, je vois celle qu'on avait pris lors de notre enfance on devait avoir à peine dix ans, son visage me fixait il était souriant, moi je fixais l'objectif. Puis il y avait celle qu'on avait pris le jour où nous avions sécher les cours pour aller au parc d'attraction. Celle ou nos mains étaient ensemble. Une ou l'on nous voyait tout proche avec Amélie, et quelques autres personnes dont je ne me souviens pas l'identité. Il y avait celle qui me brise quand je l'ai vue face vers moi, déchirer en mille morceaux et qui a été scotché on y voyait plein d'écarts mais j'arrive a voir que c'était la photo où ces lèvres douce était poser sur les mienne, on souriait, on était heureux. Puis il y avait ce mot, ou cette lettre. Je ne voyais rien, elle était face cachée. Quand je l'ai retourné j'ai reconnus son écriture, elle était tremblant. La seule chose qui était écrite dessus est " Souviens -toi ".

Je me suis écroulé, je ne savais pas qu'il avait autant de photos de nous tant de souvenir qui étaient les plus beau au monde qui sont maintenant une bombe. Aucune larme se déverse mais je suis brisée je voudrais pleurer pour faire partir la douleur et ne plus rien ressentir. Mais je n'y arrive pas. Je reste juste fixé devant mon lit a voir toute ces photos.

A mon réveille, plus de photos ni de moi sur ma pars sur mon lit. Ils sont au fond d'un sachet qui est situé dans la poubelle du bas. Plus je suis éloigné de ces choses mieux cela est pour moi.

Mon père est dans la cuisine, une tasse fumante et quelques viennoiseries sont poser à ma table.

- Aujourd'hui Samuel a pris libre encore une fois. Tu ne serais pas pourquoi ?

- Non, je sais pas.

Il me fusils du regarde comment veut-il que je sache pourquoi il a pris libre alors que nos discussions par SMS sont réduites a des « ça va », » tu fais quoi ? » et a « travail bien a un de ses quatres. » Je ne comprends jamais vraiment la cause qu'il fait a ce qu'il ne croit aucun des mots qui sort de ma bouche. A cause de lui maintenant je suis intriguée à mon tour, que fait-il encore ? Qu'a t'il en tête ?

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant