Chapitre 25

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Que va t'il faire, ou dire.

- Mais pourquoi ?

Je suis rassurée pour l'instant, il ne s'énerve pas contre moi.

-Elle a pris contact avec moi, et vue que l'on est ensemble je  voulais en savoir plus sur ta famille, tu ne m'en as jamais parlé. Et moi tu connais mon père et un peu ma mère, je veux faire de même si tu es d'accord.

- Je ne sais pas quoi te répondre, j'ai aussi envie que tu connaisses ma famille mais en même temps j'ai tellement envie que tu les évites.

Pourquoi ? Il veut me protéger de quoi ?

- Mais je peux quand même toujours garder le contact avec Annabelle ?

- Oui ma puce, mais je souhaiterais assister à votre rencontre ?

Je le sers dans mes bras, il a l'aire toucher du faite que sa sœur veule avoir des nouvelles, mais en même temps il veux me cacher quelque chose. Je l'embrasse, il en a besoin, il a besoin de la force de mon amour.

-Je peut lui dire que tu viendras ?

Non je veux lui faire la surprise.

Je vois ces yeux se remplir de larmes et briller, quelques larmes coulent sur ses joues, je passe ma main au niveau de son visage, je l'embrasse, et lui enlève ces larmes. Il sourit.

- Merci mon amour.

Il m'embrasse, me sert dans ces bras, me soulève, je m'accroche a lui. Il m'embrasse encore un peu avant de me reposer. Je met la table même si ce n'est pas encore près. Je me mets sur la chaise haute côté cuisine, et le regard.


Nous sommes mains dans la mains à marcher dans ma rue, il sait changer, il a mis un Jean et un t-shirt rouge, moi une simple robe rouge elle aussi. Au moins on est assortie. Nous marchons vers un parc, il ne reste plus qu'à trouver un banc. Ça fait bizarre de mettre des tongs avec une atèle, normalement je devrais être avec mes béquilles, mais je n'en veux plus, toute façon prochainement je n'en aurais plus besoin. Mardi j'ai un rendez-vous avec mon médecin, il me diras déjà si de dois encore mettre l'atèle ou pas.
On s'assoit près d'une fontaine, car tous les bancs sont occupés. Le coucher du soleil est beau. On en profite pour prendre plein de photos de nous, on fait des grimaces, des bisous, des câlins, et des têtes normaux.
On y reste encore une bonne heure, on voit les personnes partir petit à petit. Quand nous partons nous devons utiliser la lampe du téléphone pour pouvoir sortir du parc et aller au niveau d'une rue éclairer.
Arrivé près de chez moi, je suis fatiguée de marcher. Je ralentis, je marche de moins en moins vite. Gabriel marche trop vite pour moi, il le voit. S'arrête prend mon bras le passe autour de son cou, puis passe ses bras au niveau de mes pieds et de mon dos. Il me soulève et me porte sur les quelques mètres jusqu'à la porte. J'avais l'impression d'être une princesse.
Je monte me met en pyjama, Gabriel me rejoint. Enlève son haut qui font apparaître son beau torse, puis enlève son jean. Prends son jogging et l'enfile, on voit encore son boxer à motif militaire. Ça me perturbe, je m'avance lui fait un bisou dans le cou et lui monte son jogging.

- Ça t'énerve de voir mon beau boxer ?

- Je sais pas mais c'est mieux que limite le cul à l'aire.

Il se marre. Je me regarde dans le miroir, il passe derrière moi et commence à m'embrasser dans le cou. Je prend ses mains et fait ce dont j'ai toujours voulu faire depuis que j'ai vue le film. Lui prend ses mains et faits comme le film Titanic. Il rigole, mais je l'ai enfin fait. On part de la salle de bain et on s'installe dans ma chambre, pour parler.

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant