Chapitre 34

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- T'inquiète n' y a pas de problème, je m'appel Evan , Evan Meery. J' ai actuellement dix neuf ans et toi ? me dit il.

Je suis Lina, j'ai seize ans. Comment sa se fait que tu sois toujours au lycée ?

- J'ai louper une année.

- A merde, désoler pour toi.

- Tu y es pour rien, il y a ta pote qui arrive je te laisse on se re-verras peut-être.

Quand je tourne la tête je vois Amélie venir avec un grand sourire aux lèvres, quand je veux saluer Evan il est déjà partie, il marche vers le lycée et passe devant Amélie. Qui en profite pour mater son cul au passage. Elle me fait comprendre très vite que son cul lui plait, cela me fait rire. Le pauvre s'il apprend qu'on lui mate son cul, comme les mecs  regarde les miens, il va être gêné. Elle fait des gestes les uns plus gênant que les autres, mais ça me fait rire, c'est le plus important.

- Sa drague dit donc, me taquine Amélie.

Il ne me drague pas, il voulait juste savoir si j'allais bien.

- Et te draguer !

Non!

- Si si je connais les mecs comme ça.

- Pfff ouais si tu veux, mais pour moi Evan ne m'a pas draguer.  

- En plus il t'a dit comment il s'appelle, ou la la.

- Me gonfle pas.

Je prends son bras, et nous nous dirigeons vers notre premier cours. 

Aujourd'hui j'ai moins été posséder par son image, je ne vais pas jusqu'à dire que je n'ai pas du tout penser a lui, mais mon esprit n'était pas  fixer dessus. Je vivais ma vie, je rigolais avec Amélie, et je repensais à ce moment où elle a maté l'arrière d'Evan. Elle en pas parler limite pendant toute notre première heure de cours, elle me parlais du faite que si il voulais apprendre des informations sur moi, ce n'était pas pour rien et qu'il avait une idée derrière la tête. Elle fait aussi référence que s'il a un cul de dieu le reste allais aussi être du même niveau. Qu'elle échangerait son mec du moment, juste pour un simple coup d'œil, et pour voir si se Evan est aussi beau que son esprit lui dit.  

Dans le bus, mon regard est plongée dans mes pensées. À me poser la question de la lettre, j'aurais du en avoir une hier matin mais rien, peut être que je ni est pas fait attention quand je suis passer, mais pourtant même si j'étais mal et dans les nuages j'aurais du voir se blanc et cette former rectangulaire, cela saute au yeux quand même. Je devrais faire attention lors que j'arriverais chez moi, mais pars chance ce soir la circulation est bouché, et le bus n'avance pas très vite, presque pas. Ça me permet de penser, de rêver, de rester dans cet endroit ou plein de monde son présent et vivre une vie comme la mienne, même peut-être  plus pourrie ou beaucoup mieux. Mais je ne peux pas me plaindre  

Quand je sors de mon bus, je regarde l'heure. On était a peut près plus de quarante minutes coincées dedans. Tout le monde qui sort après moi du bus râle, il râle tous. Ça me fait rire, moi ce retard ne me fait rien, il me laissait le temps de rêver, et d'éviter de me mettre directe dans mon lit dès que je serais rentré. 

 Plus je me rapproche de la maison, plus je reste attentive à tout ce qui m'entoure. Je regarde a chacun de mes pas si rien n'est par terre. Mais rien pas de lettre, lorsque je rentre je regarde sur le comptoir de la cuisine si mon père n'avais pas trouver la lettre se matin, mais pas une seule lettre, juste des prospectus de plusieurs marque des alentours. Je pose mon sac en bas de l'escalier, vais me poser sur le canapé pour voir la télé. Je pose mes pieds sur la table basse, et me laisse regarder ces émissions stupides qui nous bouzie le cerveau avec leur personnes superficiels et qui ne savent pas les bases de l'éducation et de l'intelligence. Ces personnes m'énervent, mais je fais avec. Je n'ai pas l'envie de faire mes devoirs, je les ferais plus tard, et le temps que mon père rentre, s'il ne rentre pas à minuit. Je n'ai rien à faire, donc je reste planter sur mon canapé à regarder cette émission.

On sonne à ma porte, étonnant que quelqu'un vienne sonner à la maison alors qu'il va bientôt être vingt heures. Ça ne se peut pas que se soit mon père qui sonne a moins qu'il est paumé ces clés, mais pourtant il m'a envoyé un message avant pour me dire de ne pas l'attendre que ce soir encore je devrais manger seule, et rester seule. Sa re-sonne une deuxième fois je n'ai pas le choix je dois ouvrir. Je me dirige vers la porte, qui ça peut bien être ? J'ouvre la porte et mon regard se pause sur lui. Que fait-il là ? À cette heure-ci.  

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant