Chapitre 39

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Je suis installée dans sa voiture, je ne veux pas le voir, j'ai juste envie de rentrer et de me coucher pour que cette journée passe au plus vite et que ces mauvaises nouvelles s'arrête.

Arriver je sors de la voiture, sans lui adresser la parole. Dès que j'arrive dans ma chambre je m'allonge sur mon lit, et pleure toutes les larmes de mon corps. Mon téléphone vibre je jette un coup d'œil.

De Gabriel
" Bébé ne m'en veux pas, pardonne moi. S'il te plaît donne moi de t'es nouvelle et ne m'ignore pas."

Je pose le téléphone, puis ferme les yeux pour dormir quelque heure au moins de quatorze heures à seize ou dix-sept heures.
Je me réveille à cause de l'alarme de mon foutu téléphone qui m'indique qu'il est six heure du matte. Je n'ai aucune envie d'allée en cours, je n'ai pas la tête à attendre tout leur merdiller. Et voir la tête d'Elise me dégoûte encore plus depuis que je sais tout, j'espère juste que je ne serais pas convoqué a cause d'elle ni que je me mette à pleurer comme une madeleine à la vue de sa tronche.
Je fais un effort sur humain pour descendre du bus le sourire aux lèvres comme si de rien n'était. Je pris pour que ni Elise ni Gabriel ne soient venu.
Je ne croise personne, juste quelque ami à Gabriel qui me salue le sourire aux lèvres. Je leur réponds par gentillesse, mais je ne vais pas leur parler pour savoir s'ils savent ce qui s'est passé hier. Je verrais bien au cours de la journée.
À chaque cours, j'étais prise de stress. À chaque fois que sa toc a la porte mon cœur s'emballais. J'avais peur que l'on venait me chercher, alors que non. Je décide de faire mes devoirs, et rattraper mes cours que Amélie ma vite passer, au moins ça va me permettre de rester focaliser sur un truc en principale.
Quand tout est fini je suis obligé, de chercher plein de choses à faire. Mais Gabriel me manque, je ne lui est pas donner de nouvelle depuis son message, mais j'hésite a lui envoyer quelque nouvelle de mon état. Surtout que comme toujours je suis seule chez moi.

À Gabriel

" Rejoins moi chez moi, je veux parler"

Je veux juste le revoir. Même s'il m'a fait un faux coup je dois faire avec, de toute façon je l'aime trop pour lui faire la tête éperdument.

De Gabriel
" Je suis là dans moins de 20 minutes bébé"

Il ne me reste plus qu'à attendre qu'il arrive.
Sa toc à la porte, mais je ne bouge pas du canapé. D'habitude il rentre dès qu'il avait toqué, mais la rien. Je décide de me lever, je me dirige vers la porte. J'ouvre doucement la porte. Jusqu'à voir un bouquet de rose rouge qui cache une partie de son visage.
- Entre
Il me suit, et me tend les roses. Je prends un vase, le rempli d'eau puis met les roses dedans. Un mot y est inscrit
Sache que je t'aime vraiment Lina
Je me demande ce qui pourrait le prouver, mais il m'a tellement manqué que le faite qu'il soit là est la chose la plus importante. Malgré le fait que je souffre toujours, je dois essayer de passer a autre chose tout en espérant que cela va s'améliorer.
Une partie de la soirée c'est écouler, j'ai pleurée presque pendante toute cette partie là. Mais au moins Gabriel et moi avons mis les choses aux claires. Plus de mensonge, ni de cachotterie, plus rien même si cela peut nous faire souffrir. Il a tenu cette promesse en m'avouant toute les conquêtes qu'il a connu, tout les plan cul qui l'a eux pendant que nous étions amies. Je sais maintenant que Gabriel a déjà ramassé un bon paquet de meuf qui son aller dans sa chambre où ils n'ont pas forcément jouer au jeu de société. Je suis démunie, de savoir que toutes ces filles est touché le corps de Gabriel, alors que moi qu'il le connaît depuis bien longtemps je n'ai pas eux le culot de ne rien faire. J'ai du mal à réaliser que ce mec là en face de moi, sans soucie apparent a pu coucher avec toutes ces filles. Sans que je me doute de rien. Il a même eux le culot de me dire qui elle était Chloé, Elise, Charlotte, Inès, Éva, Stéphanie, Capucine, Angèle, Candice et Amandine, c'est trop. Trop a accepté en une soirée, même si je vois qu'il est mal comme moi, je trouve que sait trop. Et que je le connais de moins en moins.
- Tu voudrais parler de quoi a pars de t'es conquête d'un soir.
Le regard ailleurs je vois qu'il cherche, mais j'ai peur de ce qu'il va dire. Je pense que j'ai eu ma dose de nouvelle.
- Le mec là... il t'envoie toujours des lettres ?
Ouf se n'est que ça, ça aurais pu être pire même si c'est déjà assez difficile de parler de cette inconnu à Gabriel.
- Oui, il m'écrit encore, moins depuis qu'il sait pour nous deux, mais il m'écrit toujours.
- Comment c'est t'il pour nous ?
- Je...je ne sais pas.
Je vois le regard de Gabriel changer.
- Je peux lire les lettres qu'il t'a envoyé ?
- Ouais, je vais les chercher.
Je quitte ma place sur le canapé pour me diriger dans ma chambre cherchée ces lettres. Arrivé à nouveau en bas je lui tends les quelque lettres dans leur ordre d'arriver. Il les lit, les unes après les autres, plus il s'approche de la lettre où il parle de lui plus j'ai peur de ce réaction. Va-t-il bien le prendre ?
- Tu m'expliques pourquoi il dit ça, pourquoi il dit que je veux te baiser alors que c'est faux. Il ne me connaît pas, alors il pourrait fermer sa petite gueule et faire chier une autre fille !
Ce que je redoutais est arrivé, il s'énerve.
- Mais merde j'en sais rien, pas la peine de s'en prendre à moi !
Il ne fait même pas attention a ce que je viens de dire. Il se lève et tourne en rond dans le salon.
Il se dirige vers la cuisine ouverte, puis dans un excès de colère prend le vase ou se trouve les fleures et l'explose au sol a quelque mètre d'où je me situe. Le verre se brise, de multiple morceau de verre vole un peu par tout, même a coter et devant moi. Je suis prise de tremblement, j'ai peur. Quand il remonte son regard vers moi, il voit que je tremble de peur ou d'angoisse je ne sais pas, mais il le remarque. Il enlève les bouts de verres près de moi, et s'assoit juste a coté de moi. Je sens sa main contre ma joue, et mon regard est baissé vers le sol.
- Je suis désolé Lina, je ne sais pas ce qui m'a pris.
Il se penche pour ramasser le bouquet et le mettre à la poubelle. Il prend le reste des gros débris de verres pour les mettre aussi à la poubelle, le temps que je reste paralyser. Quelque goutte de sang apparaît sur le sol. Ce n'est pas le mien, c'est donc celui de Gabriel.
- Gabriel, tu saignes.  

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant