Du monde vient à peine d'arriver, quelque filles me dévisage, mais je n'y fais pas attention. Je ne fais pas attention à leurs chuchotements. Moi je ne les connais pas et cela me va amplement, je ne supporte pas qu'elle parle sur moi, quelle se foute de moi. Mais j'ai tellement d'autres problèmes qu'elles qui parlent de moi derrière mon dos. Elles n'ont qu'à parler j'en suis fière, je vois à quel point ces personnes que tu ne vois que le matin et le soir, avec qui tu prends le bus peuvent te juger comme bon leur semble. Elle ne me connaisse pas, et moi non plus. J'en ai marre que plus les jours passent, plus cela devient pire. Les problèmes s'accumulent.
Personne ne sait assis a côté de moi, a pars lui. Dès qu'il m'a vue il sait placer à côté de moi sans même me demander mon avis, mais je ne crois pas que j'aurais refusé qu'il soit a mes côtés. Je suis étonnée de le voir ici, à cet arrêt-là, alors que je ne l'ai jamais vue dans les parages, ni même comment il sait que j'habite pas loin d'ici. En fait comment c'est t'il ou j'habite ?
Je monte dans le bus, il me suit de près. Puis quand je m'assois sur un siège je m'attends a ce que il n'y est personne, mais il décide de s'installer a coté de moi.
Pourquoi est-ce qu'il me suit comme ça ? Je n'ai pas peur de lui, il n'est pas mal, mais ça fait bizarre que quelqu'un vous suive, vienne chez vous alors que vous le connaissez à peine, et qu'il prenne votre arrêt de bus alors que vous ne l'avez jamais vue dans les parages.On parle peut, comme hier il m'a l'aire. Je ne suis pas si timide, mais c'est a lui de venir me parler. Comme il l'a fait la dernière fois pour savoir si le poteau que je m'étais pris. Mais depuis a pars venir juste pour ne pas parler il ne se passe rien d'autre. Je veux entamer la conversation, mais quelque chose me bloque comme hier soir.
- Pourquoi tu me suis comme ça ?
Il me fixe, me sourit.
-Je suis obligé, je dois être près de toi, je dois te protéger.
- Me protéger ? Me protéger de quoi ?
Je ne comprends pas trop pourquoi.
-On m'a dit de te protéger, de tout, de lui. Que rien ne t'arrive de mal.
- Je ne comprend pas.
- Il n'y a rien à comprendre il m'a donné l'ordre de te protéger.
- Qui il ? L'inconnu ?
- Je ne peut rien te dire, n'insiste pas.
Je me mure dans le silence, c'est quoi ce bordel. L'inconnu a fait à ce qu' Evan, me suit tel un chien pour qu'il soit sur que rien ne m'arrive. Ça ne me rassure pas, j'en ai des sueurs froides, des frissons me parcours. Je le regarde. Il me parait tellement à l'aise comme si cela ne le dérangeais pas.
- Je te demande juste de ne pas venir chez moi le soir on de me suivre tel un chien. J'ai besoin de ma liberté.
- Ouais t'inquiète il n'y a pas de souci. On est ami ?
- M'ouais.
À ces mots nous arrivons au parking du lycée, est- ce vraiment une bonne idée de devenir amie avec lui. Sachant qu'il peut me rapporter plus de problèmes que j'en ai déjà. Je n'ai plus le choix je lui ai dit que oui, et qui sait peut-être il me dira qui est l'inconnu qui se cache derrière ces lettres. Mais pour cela il faudra que je trouve le moyen de tout me dire. Mais pour l'instant je souhaite juste que tous mes problèmes s'arrangent, et que Gabriel me dise au plus vite sa réponse.
Je rentre je suis exténué, m'a journée a été fatigante. Les cours étaient peu intéressant comme d'habitude, et Evan qui est venue me voir dès qu'il avait la pause. Amélie m'a gonflée en me disant qu'il ne fait que me draguer. J'aurais voulu lui dire la vérité, mais je ne peux pas tout lui raconter, elle ne pourrais jamais le garder pour elle même. Et le lycée serait au courant de tout.
Quand j'arrive chez moi, mon père n'est pas là. sur le comptoir est poser la clé de la poste,je vais donc voir se qu'il peut y avoir dans ce fichue boite aux lettres. J'ouvre et découvre comme d'habitude une tonne de publicité. Quand je rentre et je m'apprête à jeter toute cette publicité à la poubelle, une lettre en tombe. Je regarde a qui elle peut bien être adressée, mon nom y est écrit. Mais se n'est pas celle qu'il y a d'habitude, celle de l'inconnu est moins lisible que celle-ci. On dirait une écriture d'une personne qui est encore a l'école, la plupart des lettres sont accrochées entre elles. Cette écriture ne me rappelle rien, j'ai beau chercher mais je ne vois pas a qui elle peut appartenir. J'ouvre donc l'enveloppe pour découvrir son contenu. Toujours de la même écriture ces mots son inscrit son un bout de papier : " Rejoins moi au parc à minuit. " Je suis intriguée, qui a bien peut m'écrire cela. Je suis curieuse donc j'irais voir ce soir à minuit, qui a bien pu me dire de le rejoindre.
J'enfile des vêtements bien chauds, prends mon téléphone chargé entièrement au cas où si on me veux du mal je peux appeler la police. Je me dirige tout doucement vers ma porte, je fais le moins de bruit possible. Je m'évade de mon propre chez moi pour aller voir une personne que je ne connais peut-être pas. Il est onze heures trente quand je sors.
Je marche dans la rue, elle est déserte. A pars les lampe et l'aire rien d'autre est sur mon chemin. Quelque fois un chien ou deux se mettent a crier quand je passe ça m'effraie sur le coup mais après quelque pas, mon cœur bas normalement. J'arrive à quelque rue, du stade. C'est à ce moment là que mon cerveau ce mets à réfléchir a ce que je fais, à ce qui pourrais m'arriver de venir là bas en pleine nuit. Plus j'avance vers le lieu de rendez-vous plus mes mains sont moites, j'angoisse a ce qui peut m'arriver. Mon cœur bas un peu plus vite qu'avant, je suis attentive à chaque bruit, à chaque branche qui bouge à cause du vent.
Au stade tout est noir, je marche vers le centre du terrain pour mieux y voir. Mais je ne distingue rien. On m'a peut être écrit ça pour rigoler, et comme une conne j'y suis allé. Je suis découragée, fatiguer et j'ai peur. Je décide de faire demi- tour. Quand je marche vers le chemin que j'ai pris pour venir, les lumières du stade s'allument, et me vise. J'ai mal aux yeux, la lumière est intense, je me demande qui a pu allumer la lumière. Je regarde l'heure sur mon téléphone, il est minuit. Cette personne est au moins à l'heure quand il dit quelque chose. Je tourne en rond doucement pour voir qui cela peut être. Je ne vois qu'une ombre marché au loin, je ne distingue que son ombre. Il est si loin, mais en même temps je ne veux pas avancer là ou je suis. La lumière ne sert a rien, je n'arrive a ne rien distinguer de lui, alors que lui dois me voir avec mon style immonde et ma tête qui montre la fatigue des jours passée.Il s'immobilise a quelque mettre de moi, je le fixe mais ne fais rien ni un pas, ni un mot. J'essaye à ce qu'il n'entend pas ma respiration haletante.
Dois-je m'avancer vers lui ? Ou resterons-nous tous les deux ici, fixer au sol sans ne faire ni un pas rien. Je suis perturbée par le fait qu'il ne se passe rien, je regarde au tour de moi il n'y a rien. Je décide donc de m'asseoir sur l'herbe froide, s'il m'a demander de le rejoindre c'est bien pour me dire quelque chose, donc j'attends qu'il me le dise. Même si cela doit inclure que dans les prochains jours je dois être malade. Je me demande bien pourquoi moi je reste là à attendre, alors que d'autre en aurais profité pour partir loin. Est ce que je suis vraiment normal ? À ne jamais réagir comme d'autre le ferais.
Il décide enfin a s'avancer a nouveau vers moi après un quart d'heure d'attente. J'ai froid je frisonne lorsque je me relève. Et je découvre enfin son visage, ces yeux, et son sourire. Je me retiens de lui sauter dans les bras, je dois attendre ce qu'il va me dire...
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Aime moi ou déteste moi Tome 1
Novela JuvenilLina va connaitre les plus belles ainsi que mauvaise année. Plein de problème vont venir animé sa vie si tranquille. D'abord de mystérieuse lettre lui seront adressées, puis les problèmes vont s'accumuler. Cette inconnu va t'il être un pervers...