Chapitre 41

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Je suis réveillée par de douce caresse de la part de Gabriel. Il me dit que j'ai passée toute la matinée ainsi que le début de l'après midi à dormir. Cette sieste ma remise en forme de ma soirée passer. Le repas est mis sur la table de la cuisine, je me demande bien comment il a pu faire ça a une main, et sans arriver à me réveiller. Un plat de salade est disposé au centre de la table, avec des morceaux de viande sur une assiette. Il a déjà dû manger car il ni a que des couverts pour une seule personne. Je m'installe à la place seule le temps qu'il est je ne sais où dans l' appartement.

Après avoir mangé pratiquement toute la salade et un bout de viande je suis rassasiée. Je range le plus possible la pièce, fait la vaisselle qui n'a pas dû être fait depuis un petit moment, puis pars voir où Gabriel peut être. Je le trouve dans sa chambre allongée, les yeux pleins de larmes. Je n'ose pas entrer dans la pièce je referme délicatement la porte puis vais m'installer sur le canapé le temps qu'il vienne. Peut-être qu'il se confira a moi. Si ce n'est pas le cas, je le comprendrai. Mais je veux tellement savoir qui est la cause de ces larmes.

Plus les heures défilent, et que Gabriel ne descend plus j'imagine le pire. Pourquoi ne descend-t-il pas ? Je prends mon courage et remonte en haut le voir. Quand j'ouvre la porte je vois qu'il ne pleure plus mais je vois toujours le chemin qu'elle on prit et on mouiller. Je viens près de lui, enlève avec moi dois les traces de ses pleurs et pose un baiser sur son front chaud. Il ouvre les yeux, il brille encore mais son sec.

- Gabriel dit moi ce qui ne va pas.

- Je ne suis qu'un salop ! Tu ne me mérites pas.

Ces paroles me brise, me glace le cœur. Il n'a pas le droit de dire ça. Je l'ai toujours aimée, et il mérite tout l'amour que j'ai envers lui, plus que d'autre.

- Si je te mérite. C'est parce que tu as fait le con dans le passé et que tu me la cacher. Que nous devons tout abandonnée, on ne peut pas baisser les bras à cause du passé. On s'aime je le sais, et c'est cet amour-là qui nous fait vivre. Mais faut que tu y croies toi aussi. Sinon ça ne peut pas marcher et durer.

- Je sais, et je t'aime tu le sais. Mais je m'en veux de t'avoir tout caché et n'avoir jamais eux le culot de te le dire, jusqu'à...jusqu'à que tu découvres tout de toi même.

Il n'arrête pas de culpabiliser, et je ne supporte pas le voir dans cette états-là. À sans vouloir de tout même presque de vivre, mais il ne veut pas comprendre que chaque être humain fait des conneries, et que le passer est passer.

- Il ne faut pas que tu te fasses souffrir à cause de ça parce que tu me fais souffrir avec, pense y.

- Ouais bébé, je vais essayer d'y penser. Mais là, j'ai besoin d'être un peu seul.

Je lui pose un baiser sur la bouche en espèrent que ça lui montrera que je l'aime et par de la chambre. Je vais dans sa salle de bains, et regarde mon reflet dans le miroir avant de fondre en larmes à mon tour.

Aime moi ou déteste moi Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant