Chapitre 19

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Point de vu de Cooper :

Je déteste clairement cette ville, je m'y sens enfermés et il n'y a rien a faire a part traîner dans le parc de riche ou aller sur la plage pour finir avec du sable dans le caleçon.

Je déteste tout ces gosses de riche, il me donne envie de vomir, si seulement Alejandro et Paco étaient la, ça changerais tout, ils sont plus important que des frères pour moi et même l'ennuie se transforme en amusement quand ils sont dans les parages.

Mais ils ne sont pas la, ils ont la chance d'êtres rester au pays, avec tout le reste de l'équipe .

Mon père pense peut-être que venir ici fera fuir nos problèmes, il s'imagine qu'ici nous vivrons tranquille, il se fou un putain de doigts dans l'œil si vous voulez mon avis.

Lui et Luis se comportent tout les deux comme des merdeux en se cachant derrière des aires de bonne personnes dans cette ville ou ils essaient de s'intégrer, ils ont même étaient a se foutu repas chez Barbie, je vais bien rire quand la police va venir chercher papa, qu'est-ce qu'ils dirons a leurs petits amies bourgeois?

Et cette Zoey, elle est vraiment le type de fille que j'ai toujours méprisé, j'avoue que des blondes comme ça il n'y en avais pas ou on habitaient et je la trouve peut être jolie mais elle me dégoûte avec ces airs de princesse et sa perfection a toutes heures si j'ai une envie, c'est de briser cette perfection.

Je veux la décontenancé et je veux qu'elle se sente mal mais a chaque fois que je tente quelques chose elle me renvoie la balle .

J'ai tout de même réussi tout a l'heure ! Et c'était a mourir de rire , cette chica pense vraiment que je n'ai jamais embrasser de fille !

La nuit dernière quand elle m'a embrasser devant ce connard de Lucas je n'étais pas prêt et j'ai perdu mes moyens, elle a dû pensais qu'elle me faisais de l'effet et j'avoue que sa m'as rendu bizarre mais ça ne m'a pas plu.

Je voulais lui prouver aujourd'hui que la seule chose que j'ai ressenti c'était de la surprise en la surprenant a mon tour sauf qu'en dehors d'une respiration saccadée elle n'avait pas montré de signe particulier d'excitation.

Son Lucas m'a lancé des regards assassin toute la journée je pense qu'il essayer de m'intimider, je lui répondais par de larges sourires pour lui faire comprendre qu'il ne m'impressionne nullement, là d'où je viens les blondinets comme lui sont des victimes, ils ne jouent pas les rois .

Au moins Barbie s'en voudras demain parce qu'elle pense qu'elle m'a voler mon premier baiser .

On vois tout de suite que c'est le genre de fille a penser que le premier bisous qu'on reçois se dois d'être magique .

C'est un mensonge quand je dis que je ça ne m'as pas plu, cette chica m'as en réalité fait de l'effet l'autre nuit et même si je ne l'avouerais jamais a personne, j'ai aimais qu'elle m'embrasse,ok elle était pleine de colère envers l'autre mais elle voulait que ce baiser est l'aire authentique et de mon côté il l'était, je me suis perdu dans son parfum et j'en ai oublié que je la détester pendant un moment .

Mais a présent j'ai les idées clairs .

Demain Miss perfect se sentira mal pour moi, mal de m'avoir pris quelques chose qu'elle estime précieux et ça me réjoui . C'est bien la seul occupation que j'ai ici d'ailleurs, faire chié ma voisine bourgeoise.

Luis apparaît devant moi et la télé que je fixe sans la regarder, un épisode de Halvey beaks passe, j'ai les idées ailleurs :

- Papa ne rentre pas ce soir, va acheter de quoi manger

Il me lance un billet de 10$ que je jette sur la table :

- Va toi même, je ne boufferais pas quelques chose avec ton argent sale.

Il se met a m'insulter en espagnole, je me lève et me dirige vers la porte en l'ignorant, je déteste Luis pour se qu'il est devenu, depuis que mama est morte c'est un vrai salaud .

Il est entrée dans ce groupe douteux et a suivie le chemin de mon père, je ne suis pas comme eux, je suis un mauvais garçon et je ne vaux pas grand chose mais je ne ferais jamais se que Luis peut faire.

Je sors dans notre rue avec ces maisons immense qui me donne envie de rentrée chez nous dans notre deux pièces que j'aimais tant, notre cuisine était minuscule mais il flotter toujours une bonne odeur, celle de la cuisine de maman.

Cette ville est superficiel aussi superficiel que plastic girl qui vie a coté de chez moi, ici les gens ne savent pas se qu'est la vrai vie, ils vivent dans des prisons doré et ne se rendent même pas compte que leurs vie est triste, a part le matériels ils ne possèdent rien .

Je me demande ou je peux aller quand un homme m'interpelle :

- Excuse moi ?

Je m'arrête en face de lui :

- Ouais ?

- Tu habite dans cette rue ?

- Ouais pourquoi ?

- Je..je cherche la maison de Angélique Nexfort et de Zoey not..sa fille ton âge a peu près .

Se gars doit être de leurs famille puisqu'il a la même gueule que Barbie :

- Elle habite la

Je lui indique la maison des Nexfort et il me fait un large sourire :

- Merci mon grand

Je lui sourie sincèrement parce qu'il ne semble pas trop mauvais.

Je quitte la rue et me dirige vers quelques part en courant dans mon jogging , je ne cherche rien et je ne sais pas ou mes pas vont me mener, certainement encore sur cette plage déserte, je veut juste oublier pendant un moment, ma vie de merde et mes problèmes .

Love Isn't An Option [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant