Chapitre 22

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Point de vu de Cooper :

J'ai couru jusque-là plage, le vent frais de ce mois d'octobre me fais un bien fou.

On avais aussi une plage au Mexique une plage, plus polluer, moins propre, moins superficiel mais elle était mieux, c'était une plage ou les gens s'avaient s'amuser .

Personne ne se baigne ici même les jours chauds les gens restent a bronzer sur le sable comme si se nager dans l'océan était honteux et réserver aux pauvres.

J'avance en silence et tombe sur un groupe de jeunes qui sont en train de boire autour d'un feu, un des gars, un blond platine avec des cheveux plus long que la majorité des filles du coins me lance :

- Retourne dans ton pays l'étranger au lieux de polluer nos plages avec tes pieds de latino !

Je le reconnais, il est au lycée et il est dans quelques uns de mes cours.Il veut que je l'humilie devant ses petits copains et copines pète cul ?

- Fait gaffe a tes paroles, tu nous connais nous les étrangers on aime se balader avec un couteau dans la ceinture.

Je continue ma route en pensant qu'il en aurait assez et qu'il n'insisterait pas mais il est du genre a avoir une grosse gueule :

- C'est ça, va t'en ! Mais avant dis moi speedy gonzales comment est-ce que vous vous êtes payer une si grande maison ? Ta mère dois être a un tarif élever, tu me donnera le nom de la rue dans la quel elle bosse j'irais voir si les prix sont a la hauteur de son travail.

Je me tourne vers lui, il s'est lever au milieux de son groupe d'amis, il agite les hanches comme ci il était en train de baiser.

Je ne me sent pas partir, je ne sent pas mes points s'abattre sur son beau visage de blanc, j'entend juste des filles hurler autours de nous et si je me concentre je crois même qu'il y a des gars qui gueule.

Je ne m'arrête pas de frapper même quand je sent quelques chose de pointue et aiguiser trancher mon bras.

Je m'acharne sur sa gueule d'ange, il a osée traiter ma mère de guarra, je suis au dessus de lui et continue de le frapper, je suis comme en transe quand je sent deux bras puissant me saisir et m'écarter de lui.

Le blondinet se lève avec difficulté, il a du sang qui dégouline de sa bouche et son nez, il hurle en pleurs a l'agent de police :

- Ce mec est un malade ! C'est un fou je vous jure ! Il m'a attaquer sans raison ! Il s'est juste jeté sur moi.

Un autre agent arrive et prend le blond a part, plus loin, comme ci il était la victime, celui qui me tiens toujours m'entraîne avec lui vers une voiture :

- Je suis en garde a vue c'est ça ?

Il est noir et grand il me fait penser au père de Diego :

- C'est ça, je pense que tu connais les règles a suivre gamin ?

- Je ferme ma gueule et j'attend, oui je connais.

Le blond s'appelle Mathias et il porte plainte contre moi, sa fera beau dans mon casier judiciaire, ce chien m'a blesser au bras, ce n'est pas moi qui portais un couteau dans ma ceinture mais plutôt lui .

Mais dans son cas ce n'est pas un problème, les agents de police qualifie son acte comme étant de la légitime défense quand pour moi il parle d'agression .

Je ne tente pas de me défendre en rapportant les faits réelles de l'histoire, sa ne mènera a rien.

Je laisse donc Mathias au long cheveux affirmer qu'il était tranquillement entrain de s'amuser autours d'un feu avec ses amis quand je suis arriver tel un fou et que je me suis mis a le frapper .

Les policiers ne disent rien qu'en au fait qu'il buvée de l'alcool a seulement 17 ans alors qu'il n'y on pas droit avant leurs 21, mais je connais ça, nous vivons dans un monde injuste je n'y prête même plus attention .

Une infirmière est train de me faire des points de sutures quand père arrive, il signe les papiers de décharges et s'excuse comme un bon citoyen :

- Je suis désoler pour les problèmes que mon fils a causés, il a du mal depuis que ma femme est décédée mais je suis certain que ce n'est que le chagrin qui le pousse a agir de la sorte.

Les agents le prennent sûrement en pitié et c'est ce qu'il cherche, le pauvre homme veuf dois assumer un gamin rebelle .

Il attend d'être dehors pour ôté son masque de père perdu et triste :

- Petit merdeux, je t'avais demander d'être discret.

- Si tu voulais être discret tu aurais dû choisir une ville ou il y avais plus de latino, on a pas besoin de faire du bruit pour nous faire remarquer ici, on est les seuls étrangers.

Il s'arrête devant moi et me regarde d'un air mauvais :

- Tu n'avais pas a te battre ils vont jeter un coup d'œil a nos casier et on sera surveiller par ta faute.

- Il a insulter máma.

- Ta mère n'est pas une excuse, elle ne serais pas pour ce que tu viens de faire.

Je serra les poings :

- Et elle ne serais pas pour ce que tu fait tout les jours non plus. Ne parle même pas d'elle . Tu n'as pas le droit.

Il me lance une gifle :

- Rentre j'ai encore des affaires a régler .

Il s'en va juste comme ça, j'ai l'habitude que mon père m'envoie des gifles, je ne suis pas sa fierté c'est Luis qui l'es, je suppose qu'il aimerait que je suive ses traces .

Je marche vers notre maison et j'aperçois la voiture de Luis a un feu rouge, celle qu'il viens d'acheter pour les trafiques, je m'en approche et découvre la tête de Barbie qui se dandine a l'intérieur .

Mais qu'est-ce qu'elle fou la celle-là ? Je continue d'avancer pour voir si c'est bien Luis du côté conducteur et en effet c'est lui, il la regarde en chantant fort, il la regarde comme il regarde toutes ses proies avant de les attrapés .

Je vois la voiture redémarrer et me demande comment est-ce que cette fille a pu atterrir dans la voiture de mon frère, il faut que je mette les chose au points avec Luis, lui dire qu'il ne s'approche pas d'elle

Mon bras me fait souffrir et je ne me réjoui pas des cinq points de sutures que ce connard m'a infliger mais je pense que demain sa tête boursouflée le fera pleurer, j'ai l'habitude d'être blesser mais sa doit être la première fois pour ce petit blanc a la vie de riche .

J'arrive a la maison dix minutes plus tard, la voiture de Luis est garer dans l'allée et la lumière est allumer, je rentre prêt a m'entretenir avec lui au sujet de notre voisine plastic girl et lui poser les limites a se sujet .

Love Isn't An Option [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant